@Aristide
Bonsoir,
Sujet brûlant que celui-ci.
Sur le fond, l’amalgame est constitué entre deux faits :
1) des squatters ont investis un logement vide (c’est pour cela que chacun doit se méfier en cas de départ en vacances par exemple même pour queles jours, voire même si personne n’est présent une seule journée - ne rigolez pas, j’ai du un jour appeler mes voisins au travail car on déménageait leur logement - ) voici ce que j’écrivais à un intervenant suite à l’avant dernier article de Chalot (bizarre, on dirait qu’il y une suite volontaire de posts interconnectés) :
« Désolé, mais ce logement était bien vide, non ? C’est fou ce que la propriétaire devait s’en intéresser.....même pour l’entretien.....puisqu’elle n’y habitait pas ! Et ne percevait donc pas de loyer, bravo, pas besoin de sous, Mémé ?
C’est bien cette désaffection pour un bien qui est visée par la loi dite DALO.
En fait, elle n’avait qu’à louer son bien avec un bail régulier et le cas échéant faire valoir sa reprise des lieux pour motif familial ».
Ceci fait référence au fait que parfois on se met involontairement mis en situation de faiblesse, parfois pas ou mal conseillé et qu’on s’en mord finalement les doigts.
Et référence aussi à la fameuse loi dite DALO, réclamée à corps et à cris par la majorité des associations qui n’ont à ma connaissance émis aucune réserve sur les dérives possibles et pourtant imaginables, désormais légalisées et utilisées par des petits malins peut être conseillés, pourquoi pas, sans arrière pensée par les mêmes associations (fallait le trouver, quand même, l’article ne permettant plus l’intervention de la force publique passé 48 heures sans procédure judiciaire lourde et coûteuse, si je ne m’abuse).
Mais le détournement des lois existe depuis toujours, c’est même devenu un sport mondial, qui mériterait une coupe du monde !
Ca, c’est la réalité.
2) ce qui est abject et inadmissible, si on se fie aux éléments d’information mais qui sont absolument à vérifier, c’est le comportement de la municipalité qui préférerait,faute de moyens, n’intervenir que pour les sans-papiers ou les migrants (sic). A mon avis, ça n’est pas une position officielle, ou alors, il faut brûler l’hôtel de ville (et le maire avec s’il avalise de telles conneries)..
Tout comme dans l’article de Chalot, on entend le son d’une cloche, mais pas les autres, comme d’hab......ce qui fait qu’on épingle en version publique le maximum de supposés coupables et qu’au passage, on sort les mouchoirs pour s’en faire pub et vitrine.
Bien à vous,