« Le courage ou la lâcheté : il faut choisir ! »
Hi, hi, hi !
Pour rappel, la lauréate 2012 des Ya bon awards ne rigole pas avec la liberté d’expression : elle avait même porté plainte contre les jurés qui lui avaient décerné l’auguste distinction, tant la liberté d’expression se résume dans son chef à salir et dénigrer tout qui voit les choses autrement qu’elle et ne peut en aucun cas supporter la contradiction.
Après celle des Femen, la pasionaria néo-libérale de l’« intelligentsia » parisienne et de la presse à la botte n’allait quand même pas louper l’occasion du massacre d’une équipe avec laquelle elle a un temps sévit - pas l’équipe, elle ! - pour nous fourguer ses salades en nous illuminant de sa prose. Même si j’imagine qu’elle s’abstient soigneusement de développer sur l’éviction - pour cause de « blasphème » antisémite, et quand bien même un tribunal l’aurait invalidé, un vrai celui-là ! - de Siné de l’équipe de Charlie Hebdo.
Libre à elle de se parer de l’étendard de la laïcité pour encore une fois, d’arguties qui ne tiennent pas la route en insinuations malveillantes, nous servir en matière de déontologie journalistique son fiel toujours aussi sirupeux que convenu.
Chalot, tant qu’à avoir eu le courage - ou l’inconscience - de vous être farci sa « littérature », l’idée ne vous effleure-t-elle pas que la laïcité - et même l’intelligentsia parisienne - valent mieux que çà ?
Cordialement !