Bonjour Siatom
J’ai eu vent d’une affaire similaire en région parisienne, il y a 2 ans de cela.. Un papy qui part en vacances 1 mois et se retrouve devant son appartement squatté, les serrures changées... Celui ci se rend au commissariat ou il lui est répondu que ses occupants ont des droits... Bref qu’il y a une procédure à respecter pour déloger les c oucous...
Mais papy ne peut se payer l’hôtel en attendant que la justice veuille bien étudier le cas et procéder à l’expulsion aussi désemparé, à la rue, s’en va t’il frapper à la porte des « indélicats »...les suppliants de le laisse rentrer chez lui...
Le coucou a bon coeur (traduire : tiens on pourra partager les factures d’électricité, d’eau etc...) et daigne accepter faire une petite place au légitime occupant des lieux qui, depuis détient le statut de propriétaire-colocataire à l’insu de son plein gré tout de même faute de mieux...
Le papy a renconcé à la procédure ne voulant pas se retrouver encore une fois dehors mais cette fois ci pour une durée indéterminée...
Vous dire, je me suis sentie impuissante, scandalisée et inquiète... il semblerait que l’on soit devant une pratique pas si inhabituelle que cela, voire même courante... puisque certains (combien sont ls ?) réduits à un choix qui n’en est pas un, préfèrent recourir à un arrangement plutôt que faire valoir leurs droits..
Fait pas bon être vieux dans notre pays, quand ce ne sont pas des étrangers qui squattent leur logement, ce sont les enfants (pour ceux qui en ont) qui les installent d’office dans un quelconque mouroir pour récupérer leur bien immobilier... !