@philippe913
J’ai commencé à réfléchir sur votre propagande OMS, et en particulière sur cette phrase :
« Les personnes vivant avec le VIH et infectées par la tuberculose multiplient par 29 et jusqu’à 31 fois le risque de développer une tuberculose évolutive que les personnes qui ne sont pas infectées par le VIH. »
D’abord, je trouve extraordinaire cette fourchette 29-31. On m’aurait dit 20-40, ou même 25-35, j’aurais été moins surpris, dans un pays où les distances sont énormes, les population dispersées, les communications difficiles, et donc les statistiques très aléatoires. Là, on est dans une précision difficile à croire, une précision sans doute destinée à faire croire à une rigueur scientifique pour éblouir les naïfs, donc pour les aveugler. Mais passons, et admettons.
Ce chiffre nous dit qu’on trouve 30 tuberculeux séropositifs pour un tuberculeux séronégatif. Ou bien j’interprète mal ?
Or le nombre de tuberculeux en Afrique est à peu près le même en 2015 qu’en 1980, avant l’apparition du Sida.
Cela voudrait dire que sans le Sida, la tuberculose en Afrique aurait diminué de 97% ?
Bon, si ça ne vous pose pas de problème, alors c’est incurable.
Ce chiffre est une authentique arnaque.
Tout ce qu’il peut signifier, en analyse objective, c’est que l’exposition au Bacille de Koch positive les test Elisa et Western Blot (de grandes supercheries), parce que ces tests détectent des antigènes non spécifiques au VIH, mais communs à de nombreuses particules biologiques (dont le BK) comme cela a été expliqué plus haut.
Il me semble qu’alors, et alors seulement, ce 29-31 devient compréhensible.
A trop vouloir prouver, on prouve le contraire, dit-on.
Alors je réécris la phrase, avec autant d’honnêteté que je peux :
« Les personnes atteintes d’une tuberculose évolutive multiplient par 29 et jusqu’à 31 fois le risque de développer une positivité aux tests VIH. »
Avec ça, je peux être d’accord.
Donc voilà ce qui doit se passer : ces pauvres gens attrapent la tuberculose, comme tout le monde. Du coup, ils deviennent séropositifs. Du coup on les décrète sidéens en puissance. Du coup, au lieu de s’occuper prioritairement de leur tuberculose, on les bourre d’antiviraux inutiles et dangereux.
Et on dit qu’ils meurent du Sida, alors qu’ils meurent d’une banale tuberculose, et des effets iatrogènes des médicaments qu’on leur a donnés pour combattre un virus qu’ils n’avaient même pas.
Grandeur et misère de la médecine moderne...