Fausses illusions de la médecine moderne : la causalité VIH-SIDA
Ce titre est celui d’un article publié ce mois-ci dans le journal de l’Association of American Physicians and Surgeons, par le Dr Donald W. Miller : Fallacies in Modern Medicine : The HIV/AIDS Hypothesis.
- David Kirby on his deathbed, Ohio, 1990.
L’AAPS n’est pas exactement connue pour ses opinions de fumeurs de moquette et sa prise de position sur cette grave question de la cause réelle du Sida pourra, peut-être, faire vaciller ceux et celles qui se réfugient encore et toujours dans le – très profitable pour certains – dogmatisme de la “science officielle”. Ce blog soutient depuis longtemps (clickez sur le tag VIH pour obtenir une liste d’articles) le mouvement remettant en cause la supposée causalité entre VIH et Sida – et non pas de la réalité du Sida lui-même, contrairement à ce que se plaisent à colporter les idiots utiles qui peuplent nos médias et commentateurs autorisés.
Comme le dit le Dr Miller dans son article sus-mentionné : Les sceptiques vis -à-vis de l’hypothèse que le Vih cause le Sida sont ridiculisés et sujets à des attaques personnelles. Tout personne remettant cette hypothèse en cause est libellée “Négationniste du Sida”, et ainsi associée au négationnisme de l’Holocauste. Néanmoins, des savants non orthodoxes questionnent le paradigme Vih/Sida depuis 30 ans et maintenant, au 21ème siècle, comme le dit Rebecca Culshaw (dans son livre Science Sold Out : Does HIV Really Cause AIDS ? – ndt) :”Il y a de bons indices que toute la base de cette théorie soit fausse”. (1)
Juste pour préciser, le Dr Miller est Professeur Émérite de Chirurgie et ancien chef du département de chirurgie cardiothoracique à l’Ecole de médecine de l’Université de Washington. Il reprend dans son article quelques éléments classiques de la position “dissidente” tels que :
– Le Vih est supposé se transmettre sexuellement. Mais statistiquement un acte non protégé sur 1000 transmet le Vih, et seulement un américain sur 275 est séropositif. Les prostituées non droguées ne deviennent pas séropositives, malgré leur activité. (2)
– Le Vih est censé créer l’immunodéficience en tuant les lymphocytes T. Pourtant ces cellules infectées par le Vih en laboratoire ne meurent pas, au contraire elles se multiplient. Et se faisant elles produisent une grande quantités de virus que les laboratoires utilisent pour détecter les anticorps au Vih dans le sang des gens. Dans le corps seule une cellule T sur 500 est infectée, ce qui rend sa détection difficile. Et le test de séropositivité ne détecte que les anticorps au virus, pas le virus lui-même. (3)
– Un test sérologique positif n’indique pas nécessairement une infection au Vih. Les vaccins contre la fièvre et l’hépatite B, la tuberculose, et plus de 70 autres conditions médicales peuvent induire des faux positifs. Chez les gens en bonne santé, la grossesse ou l’ascendance africaine conduisent également à un diagnostic séropositif. (4)
Le Dr Miller fait références à des travaux de fond sur la question, notamment par Henry Bauer dans son étude “The case against HIV“. Bauer est Professeur Emerite de Chimie et études scientifique, ancien Président de la Virginia Tech College of Arts ans Sciences. Il fait bien entendu référence à l’initiateur de ce mouvement réfutant la thèse Vih=Sida, le Dr Peter Duesberg et cite un extrait de la critique, par le professeur de géo-ingénierie de l’Université de Washington Gerald Pollack, d’un livre qui lui est consacré intitulé Oncogenes, Aneuploidy, and AIDS : a Scientific Life and Times of Peter Duesberg, “Ce livre nous rappelle que malgré les 100 milliards de dollars investis dans la recherche contre le Sida, pas un seul malade n’a été guéri – un échec colossal aux conséquences tragiques. Il (le livre, ndt) explique de manière on ne peut plus claire les raisons qui font que la recherche se focalise exclusivement sur cette seule hypothèse (Vih=Sida, ndt) à l’exclusion de toute autre : ego, prestige et argent. (5)
Le Dr Miller termine son article en citant un important et récent papier de Patricia Goodson, du Département de Santé et Kinésiologie de l’Université du Texas A&M. Elle introduit son travail ainsi : Ce papier est un appel à réfléchir sur nos pratiques de santé publique vis-à-vis du Vih/Sida… Le débat entre scientifiques orthodoxes et non-orthodoxes (ou dissidents, ndt) va plus loin que la réflexion intellectuelle ou l’escarmouche scientifique : c’est une question de vie ou de mort. C’est une question de justice. (6)
Et le Dr Miller de conclure en disant : Malgré sa longue et profonde acceptation, on en arrive à démontrer que l’hypothèse de la causalité Vih / Sida est une erreur substantielle de la médecine moderne. (7)
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(1) “Skeptics of the HIV/AIDS hypothesis are chastised and subjected to ad hominem attacks. Anyone who questions this hypothesis is now branded an “AIDS denier,” which is analogous to being called a Holocaust denier. Nevertheless, non-orthodox scholars have been questioning the HIV/ AIDS paradigm for 30 years ; and now, in the 21st century, as Rebecca Culshaw puts it, “there is good evidence that the entire basis for this theory is wrong.”
(2) A key feature of the HIV/AIDS hypothesis is that the virus is sexually transmitted. But only one in 1,000 acts of unprotected intercourse transmits HIV, and only one in 275 Americans is HIV-positive ! Drug-free prostitutes do not become HIV-positive, despite their occupation.
(3) HIV is said to cause immunodeficiency by killing T-cell lymphocytes. But T cells grown in test tubes infected with HIV do not die. They thrive. And they produce large quantities of the virus that laboratories use to detect antibodies to HIV in a person’s blood. HIV infects less than one in every 500 T cells in the body and thus is hard to find. The HIV test detects antibodies to it, not the virus itself
(4) A positive HIV test does not necessarily mean one is infected with this virus. Influenza vaccines, hepatitis B vaccine, and tuberculosis are a few of the more than 70 things that can cause a false-positive HIV test. In healthy individuals, pregnancy and African ancestry conduce to testing HIVpositive
(5) The book reminds us that although over $100 billion has been spent on AIDS research, not a single AIDS patient has been cured—a colossal failure with tragic consequences. It explains in too-clear terms the reasons why AIDS research focuses so singlemindedly on this lone hypothesis to the exclusion of all others : egos, prestige, and money
(6) This paper represents a call to reflect upon our public health practice vis-à-vis HIV-AIDS… The debate between orthodox and unorthodox scientists comprises much more than an intellectual pursuit or a scientific skirmish : it is a matter of life-and-death. It is a matter of justice
(7) Despite its long-term, widespread acceptance, the HIV/ AIDS hypothesis is proving to be a substantial fallacy of modern medicine
136 réactions à cet article
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Si vous adorez tout ce que Internet peut produire de paranoïaque, de théorie du complot, de croyances et de religion, et si vous appréciez que des gourous vous révèlent la « vérité » (cachées, la vérité, ça va de soi) alors cet article est fait pour vous.
Si vous croyez intimement que tout pouvoir est forcément corrompu. Et que par conséquent, les savants, les scientifiques, les médecins, les institutions médicales, sont forcément menteurs et manipulateurs alors cet article est fait pour vous.
Si vous n’aimez pas les croyances mais avez soif de connaissance, d’intelligence, de science et d’indépendance d’esprit, passez votre chemin. Mais vous pouvez aussi lire cet article comme une curiosité sociologique... Ça vaut le coup d’œil !
Sur le fond :
- Le consensus scientifique reconnait le lien entre le VIH et le SIDA (en pratique tous ceux qui connaissent le sujet - je vous rappelle que le professeur cité est... chirurgien. Donc absolument pas spécialiste d’infectiologie).
- Je vois venir l’habituel argument de la mort : « La majorité peut se tromper ! » Bien sûr, mais l’occurrence, dans 99.999% des cas, quand le consensus est aussi important, c’est la majorité qui a raison...
- Bien sûr, si ce professeur apportait des arguments intéressants, alors il méritait qu’on s’intéresse à lui, quand bien même il serait minoritaire... Sauf qu’en l’espèce, n’importe quel gamin en 3ème année de biologie ou de médecine est capable de démontrer l’absurdité de chacun des « arguments » apportés.Par charité, on va passer le fait que chacun des points qu’il avancent sont contredits non seulement par les expériences scientifiques, mais également par la pratique médicale de tous les jours : tous les traitements efficaces sont basés sur les théories qui sont selon lui, fausses...
Vous pouvez me croire ou ne pas me croire, seulement moi je n’ai rien à vendre. En l’occurrence, la création, mois après mois, de nouvelles théories du complot, aboutissent à la publication de nombreux ouvrages qui se vendent très très bien. Sans parler des recettes publicitaires des sites internet ou des ventes de places de conférences ou de produits alternatifs...
Ceci dit, libre à vous d’engraisser ces nouveaux marchands de croyances et de produits dérivés, si vous pensez que ça va vous faire du bien... Mais entre nous je pense qu’il y a de meilleurs solutions.
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@Agerate
Il ne s’agit pas d’une théorie du complot.Il est plus que probable que c’est au contraire l’exact reflet de la vérité, une vérité parfaitement scandaleuse, à une échelle inouïe.Le VIH est très probablement aussi inoffensif que le virus de la grippe, et est certainement innocent du SIDA, qui lui existe bel et bien, mais a d’autres causes.On ne détecte ce virus (un rétrovirus, dont la caractéristique est de ne jamais tuer sa cellule-hôte) que par les anticorps qu’il produit : vous avez des anticorps anti-VIH, vous êtes déclaré séropositif, et on va vous affirmer que le SIDA vous pend au nez, même si vous n’êtes pas malade : votre galère commence. (en passant, si vous avez des anticorps dirigés contre n’importe quelle maladie infectieuse, on vous déclare guéri ou protégé : ici, c’est le contraire !!!)On vous dira aussi que ce virus va provoquer chez vous une immuno-déficience, et que vous allez mourir, maintenant ou... dans trente ans !Pourtant on ne trouvera jamais ce virus en vous, mais seulement les anticorps qu’il a produits, et qui l’ont fait disparaître.Curieux contraste entre un assassin absent (et patient) et l’immensité du crime...On peut avoir le SIDA en étant séro-négatif, et ne jamais l’avoir en étant séro-positif, le saviez-vous ? C’est normal, le VIH n’a rien à voir...Dans toute maladie virale en évolution, on trouve le virus, on le cultive sans problème.Ici, non : il faut, par une méthode spécifique, faire se multiplier, non pas le virus, c’est impossible, mais un antigène réputé caractéristique, lequel est commun à un grand nombre de virus, et nullement spécifique du VIH. Vous pouvez devenir séropositif après une grippe, ou un vaccin....Avec ça, on vous pose un diagnostic qui va vous pourrir la vie. Et dont la simple évocation va affaiblir vos défenses.La dessus on va vous administrer des drogues (l’AZT en fut le précurseur) qui vont affaiblir votre système immunitaire et provoquer les symptômes qu’elles sont censées combattre. Votre terreur fera le reste.Je ne peux pas vous détailler l’ensemble de la thèse, qui me paraît bien étayée. Le mieux est de lire l’intégralité de cet article de 38 pages :Il décrypte fort bien le mécanisme de l’escroquerie de Robert Gallo, et la justesse des arguments de Duesberg, un savant authentique.Je m’attends à une volée de bois vert, mais ce n’est pas la première escroquerie médicale à défier les années avant d’être dévoilée.Le SIDA existe bien, mais ses causes sont tout autres, la drogue en fait partie, mais aussi toutes causes qui affaiblissent le système immunitaire : dénutrition, manque d’hygiène, et peut-être d’autres facteurs, mais pas le VIH.A vous de vous faire une opinion, après lecture de l’article. -
Le p’tit Charles 5 mai 2015 17:23@doctorix...Source OMS...Avec plus de 39 millions de morts à ce jour, le VIH continue d’être un problème majeur de santé publique. En 2013, 1,5 [1,4-1,6] million de personnes sont décédées d’une cause liée au VIH dans le monde....en effet c’est comme une petite grippe... !
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@Le p’tit Charles
Le SIDA, pas le VIH.Le SIDA est un rassemblement arbitraire de 35 maladies connues et disparates, qui s’attaquent à un organisme privé de défenses par la malnutrition et l’abus de drogues.Le VIH, par contre, c’est bien comme une petite grippe.Je vois que vous n’avez pas pris le temps de lire mon article et surtout mon lien. -
@doctorix
Rien qu’à voir le titre de l’article je savais que ce faux médecin allait traîner dans les parages.C’est fou comme je commence à le connaître.Un VRAI médecin saurait que n’importe quel virus n’est détecté QUE par les anticorps induits par sa présence.Pour une raison toute simple : un virus est incroyablement plus petit qu’une bactérie. Il n’apparait pas dans les objectifs des microscopes optiques en raison de sa taille minuscule.On peut le voir, mais uniquement dans les machines les plus puissantes, utilisées en général dans les grands centres scientifiques genre CNRS. Pas le genre de truc qu’on utilise pour les analyses sanguines du Kevin moyen.Pas étonnant donc qu’il vienne vomir ses mensonges ici. -
Le p’tit Charles 6 mai 2015 07:50@doctorix...Vous ne savez pas lire.. ?
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@doctorix
waow, toujours aussi impressionnant de connerie. -
@Mmarvinbear
« Un VRAI médecin saurait que n’importe quel virus n’est détecté QUE par les anticorps induits par sa présence. »
Google donne 311.000 références sur la culture des virus, in vivo et in vitro.Instruisez-vous avant de pérorer.Votre place est au zoo, et non dans un débat scientifique.Par contre, la seule méthode possible pour détecter le virus du Sida est la PCR, une technique de réplication de l’ADN (adn qui n’est pas spécifique de ce virus).Son inventeur, Kary Mullis, en 1993, ne croit pas lui-même que son invention soit capable de détecter le VIH.http://www.sidasante.com/themes/tests/pcr/charge_virale_et_pcr.htm
Par l’utilisation des méthodes traditionnelles de détection de virus, on n’a jamais trouvé le VIH en quantités significatives chez les personnes ayant le SIDA. -
@doctorix
il va falloir m’expliquer alors comment, si on est incapable de détecter ce virus, comment on sait tout ça :Le VIH est un rétrovirus du genre des lentivirus (du latin lenti, signifiant lent), qui se caractérisent par une longue période d’incubation avec, par conséquent, une évolution lente de la maladie.
Le VIH-1 est un virus sphérique d’un diamètre moyen de 145 nanomètres39. Comme de nombreux virus infectant les animaux, il dispose d’une enveloppe composée d’un fragment de la membrane de la cellule infectée. Dans cette enveloppe lipidique sont insérés des trimères de glycoprotéine d’enveloppe (Env). Chaque protéine Env est formée de deux sous-unités : une sous-unité de surface gp120 et une sous-unité transmembranaire gp41. La surface d’un VIH contiendrait en moyenne seulement 14 trimères Env40. Lors de l’attachement du virus à la cellule, la protéine Env gp120 se lie à un récepteur CD4 présent à la surface des cellules CD4+ du système immunitaire. C’est pour cette raison que le VIH n’infecte que des cellules ayant ce récepteur à leur surface, qui sont en très grande majorité les lymphocytes CD4+.
À l’intérieur de l’enveloppe, se trouve une matrice protéique (MA) composée de protéines p. 17 et, encore à l’intérieur, la capside (CA) composée de protéines p. 24. C’est ce dernier type de protéines qui, avec gp41 et gp120, sont utilisés dans les tests VIH western blot. Les protéines nucléocapside p. 7 (NC) protègent l’ARN viral en le recouvrant. La protéine p. 6 est exclue de la capside et se trouve entre la matrice et la capside, elle permet la sortie par bourgeonnement des virus nouvellement formés dans la cellule.
Le génome du VIH, contenu dans la capside, est constitué d’un simple brin d’ARN en double exemplaire, accompagné d’enzymes :
- La transcriptase inverse p. 66/p. 51 ou rétrotranscriptase qui rétrotranscrit l’ARN viral en ADN viral.
- L’intégrase p. 32 qui intègre l’ADN viral à l’ADN cellulaire.
- La protéase p. 12 qui participe à l’assemblage du virus en clivant les précurseurs protéiques Gag p. 55 et Gag-Pol p. 160. La protéase est présente dans la capside41.
Ces trois enzymes sont les principales cibles des traitements antirétroviraux, car elles sont spécifiques aux rétrovirus.
Le génome du VIH est composé de neuf gènes. Les trois principaux sont gag, pol et env, qui définissent la structure du virus et sont communs à tous les rétrovirus. Les six autres gènes sont tat, rev, nef, vif, vpr et vpu (ou vpx pour le VIH-2), qui codent des protéines régulatrices.
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@philippe913
J’ai dit qu’on était incapable de mettre en évidence le VIH chez un sidéen, ce n’est pas pareil.Ce copier-collé aussi précis qu’indigeste ne prouve en aucun cas que le VIH soit responsable du SIDA.On connait certes très bien le VIH, ce qui n’a aucun intérêt puisqu’il n’est pour rien dans le Sida.Une grosse perte de temps.Mais une grosse source de profits : tests coûteux et bidons, traitements dispendieux et sans intérêt thérapeutique. Une véritable poule aux œufs d’or.C’est bien pour la recherche fondamentale, par contre. Sauf que bien connaître les rétrovirus n’apporte pas grand-chose, à part pour le chat, chez qui ils provoquent des leucémies. Pas d’autre pathologie en rapport avec eux, pour ce que j’en sais.J’en profite pour rappeler que l’immense majorité des virus et des bactéries sont nos amis, et que sans eux nous ne survivrions pas une heure. Et que nous servons de domicile et de milieu de culture à 100.000 milliards de bactéries, pour notre plus grand profit. Enfin que les virus sont le moteur de notre évolution, sans lesquels nous ne serions, vous et moi, au mieux, que des amibes.
Ce qui, au moins pour certains, ne serait pas plus mal. -
@doctorix
ah, vous avez des preuves de ce que vous avancez ? Je ne suis pas ultra informé sur la chose mais voici ce que je comprends, détrompez moi :
—> on sait très bien isoler le VIH. Il semblerait toutefois que ça soit compliqué (et cher et long j’imagine) du coup, ...
—> on utilise une autre méthode pour le détecter, celle ayant trait aux anticorps.En quoi ces deux faits vous font conclure que le VIH n’a jamais été détecté chez un sidéen ??
Et comment les traitement actuels, qui visent le VIH, rallongent la vie des sidéens si ce même VIH n’est pour rien dans le SIDA ?
Je ne reviens pas sur les affirmations à la con de l’article, notamment ce passage :
"Le Vih est supposé se transmettre sexuellement. Mais statistiquement un acte non protégé sur 1000 transmet le Vih, et seulement un américain sur 275 est séropositif. Les prostituées non droguées ne deviennent pas séropositives, malgré leur activité. (2)"
ça veut dire quoi ??? -
@doctorix
Il y a une différence notable entre observer un virus et observer les EFFETS d’un virus sur un milieu de culture ou in vivo.Même cela, vous l’ignorez ?Soi dit en passant, on utilise aussi la PCR pour d’autres virus, surtout dans les cas ou la charge virale est trop faible ou douteuse. On amplifie, ce qui évite les faux positifs.Par curiosité, vous avez acheté votre dernier journal en 93 ? Parce que depuis, il s’est passé des trucs vous savez.Mais bon si vous vous basez sur le canard qui est resté 20 ans près de vos toilettes sans en racheter un nouveau, alors je comprends pourquoi vous êtes à la ramasse.Allez, je ne vous en veux pas. Tiens, a votre avis, qui va gagner la prochaine coupe du monde aux USA ? Moi je vois bien l’ Italie ! -
@philippe913
« le VIH n’a jamais été détecté chez un sidéen »Que voulez-vous que je vous dise ?C’est un fait, et prouvez-moi le contraire.« Et comment les traitement actuels, qui visent le VIH, rallongent la vie des sidéens si ce même VIH n’est pour rien dans le SIDA ? »Là, prouvez-moi que c’est exact. Comment pourrait-on prolonger la vie de quelqu’un en éliminant un virus qui ne le menace pas ?Un sidéen est traité par d’inutiles (voire dangereux, car imuno-suppresseurs, et ce n’est pas le moment) traitements anti rétrovirus, mais aussi par un changement complet de mode de vie, alimentaire, hygiénique, abandon des drogues. Sinon il ne guérit pas.Quand aux prostituées, c’est encore un fait : elles ne sont pas plus touchées que les autres. C’est ainsi, et je n’y suis pour rien. -
@doctorix
Bah, c’est simple.Aux premiers temps, il n’y avait pas de traitement, et le gars contaminé avait une longévité de quelque mois, trois quatre ans au mieux.Maintenant le mec qui se chope le HIV vit 15 20 ans dans de pas trop mauvaises conditions en moyenne.C’est ce que j’appelle un résultat significatif.Et c’est encore plus flagrant quand le malade est un gosse né avec le virus.A moins que vous nous prouviez que les nourrissons d’avant se faisaient régulièrement des shoots d’héroïne... -
@Doctorix
Je ne rajouterais rien / ce qu’a dit Mmarvinbear, enfin si, j’imagine que vous allez dire que c’est faux ?
Sur les prostituées, pourquoi sont elle protégées alors ? le fait d’avoir énormément de relations sexuelles avec un tas d’inconnus protège du SIDA ? car c’est exactement ce que dit l’article. : "Les prostituées non droguées ne deviennent pas séropositives"
Des sources ? non bien sûr.Et pourquoi les hommes homosexuels sont-ils plus touchés que les autres ? pourtant ils ne se droguent pas plus que les hétéro non ?
http://www.invs.sante.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/VIH-sida-IST/Infection-a-VIH-et-sida/Incidence-de-l-infection-par-le-VIHPunaise vous n’en avez pas assez de raconter d’aussi grosses conneries ? Si encore ça n’avait pas de conséquences, mais ça a une conséquence réellement mortifère pour les gens qui vous croient.
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@philippe913
Les homos sont plus touchés parce qu’ils utilisent toutes sortes de drogues pour stimuler leurs sensations érotiques.Selon Duesberg, à une époque, 150.000 sidéens étaient adeptes des drogues intraveineuses, et 250.000 des poppers (inhalation de nitrite d’amyle).Des proportions qu’on ne retrouve pas dans la population générale.Quant aux prostituées, voici ce qu’on pouvait en dire (l’étude est ancienne, mais reste valable, pourquoi non ?) :http://www.sidasante.com/themes/transmissibilite_de_la_seropositivite/le_pa radoxe_des_prostituees.htm
On y retrouve cette notion que le sexe seul, sans dogues IV, ne transmet pas le VIH (pour ceux qui croient que VIH=SIDA). -
@philippe913
Votre étude ne parle que de la transmission du VIH et de la séropositivité, pour autant que les tests soient fiables, ce qui n’est pas le cas (voir vidéo plus bas).Mais pas du SIDA.Or le propos du jour est que c’est sans rapport.Et je mesure très bien la portée de ce que j’écris : le SIDA est une maladie grave, et ce qui est criminel est de ne pas traiter sa cause véritable.Perte d’argent, perte de chances, perte de temps. -
@doctorix
une vieille étude de 1993 qui va à l’encontre de bcp de faits. Vous irez dire à des gens qui n’étaient pourtant pas affaiblis par quoi que ce soit et qui ne se droguaient pas qu’ils n’auraient jamais du chopper le sida...Les homos sont, vous pensez donc, bcp plus camés que le reste de la population ?
je vous laisse seul responsable de cette opinion.Sinon, relisez le lien que je vous ai donné et qui donne le nombre de malades / une population donnée.
pop hétéro : 4-9 /100 000
usager de drogue injectable : 86 /100 000
homo homme : 1000 / 100 000et ça ne vous fait pas douter un peu de votre affirmation non étayée ?
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@philippe913
Lisez vos chiffres : 10 à 20 fois plus de séropo chez les usagers de drogue.Et si vous vous piquez, et si on vous demande au coin de la rue si vous vous piquez, vous allez dire oui ?
Si on vous demande si vous êtes homo, vous allez dire oui ?Et si on vous demande si vous êtes un homo qui se pique, vous allez dire oui ?C’est ce qu’on appelle un biais méthodologique en statistique.Il est probable que ces chiffres sont à multiplier par x.J’ai des amis homos, et vous n’imagineriez même pas ce qu’ils me racontent... Moi, j’en suis à imaginer ce qu’ils ne me racontent pas. -
@doctorix
Le « poopers » n’est d’aucune importance dans la transmission de la maladie, qui est réalisée par voie sanguine ou sexuelle uniquement.En revanche, il est faux de dire que les homosexuels sont les plus touchés par la maladie : 60 % des personnes contaminées sont hétérosexuels. -
@doctorix
Vu que les analyses statistiques sont basées sur des questionnaires anonymes, les chiffres sont considérés comme étant très fiables.Ils sont d’ailleurs corroborés par d’autres études réalisées par des organismes différents. -
@Mmarvinbear
les homos sont plus touchés en relatif par rapport à leur population, pas en absolu évidemment, ils ne représentent qu’une très faible partie de la population totale. -
@doctorix
mais vous êtes d’une mauvaise foi terrible, en ne regardant que ce qui confirme votre idée et en rejetant le reste.
Bien sûr qu’il y a 20 fois plus de cas chez les drogués, mais il y en a 100 fois plus chez les homos dont le comportement à risque est le sexe et pas la piquouze. -
@Mmarvinbear
Les homosexuels ne sont plus touchés que dans la mesure où ils sont beaucoup plus consommateurs de drogues. Le rôle des drogues est essentiel, puisque les drogués IV sont 20 fois plus touchés que les autres. Homos ou hétéros.Vous êtes de mauvaise foi, malveillant et obtus.Donc vous dites que 40% des contaminés sont homos. Croyez vous bien sincèrement que c’est la proportion des homosexuels ?Alors l’humanité est en perdition...En fait, en dehors d’expériences exceptionnelles, pour ne pas mourir bête, les homos sont moins de 5% de la population, peut-être même 1 ou 2. N’est-ce pas ce que vous constatez autour de vous ? Alors vos 40% de contaminés homos, c’est énorme, et significatif. Pour autant, le sexe n’a rien à y voir. La drogue, oui. -
@doctorix
vous suivez des cours pour être d’une aussi mauvaise foi ? malveillance et étroitesse d’esprit ?
20 fois plus de contaminés chez les usagers de drogue,
100 fois plus chez les homos.qu’est ce qui vous faut de plus ??
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Cette videéo va dans le sens indiqué par Doctorix et emporte totalement mon adhésion à ses affiramtions !Ecoutez : (cliquer à la rubrique vidéo)En effet, si le VIH ne menace pas votre santé, pourquoi prendre un traitement lourd avec des effets secondaire induits et au final le risque d’une résistance au traitement médicamenteux, mauvais pronostic pour la suite ? -
@doctorix
Ah bon ? Alors pourquoi des gens bien nourris, avec une hygiène de vie correcte, et qui ne se droguent pas meurent du SIDA ??????Vous plaisantez avec votre petite grippe ou quoi ? -
@Mmarvinbear
Vous devriez savoir que si on trouve des anticorps chez une personne en bonne santé, cela veut dire qu’elle a vaincu la maladie (n’importe quel test sanguin vous le confirmera, indiquant que vous avez été exposé à telle ou telle maladie, parfois sans vous en apercevoir).Le diagnostic de séropositivité entraîne un cercle vicieux de stress, de dépression et de médication mortel (voyez la liste des effets secondaires de la trithérapie) et c’est souvent cela qu’on appelle « sida ».Il n’y a pas de consensus autour du sida, juste une sorte de décret publié par le ministère de la santé américain vers 1984 : « HIV is the probable cause of AIDS ». Ce « probable » laisse suffisamment de marge pour explorer dans d’autres directions. Or ce n’est pas la cas en raison des intérêts financiers en jeu et de la censure et de l’intimidation déployées à la moindre hypothèse non conforme.Le test de dépistage du sida est éminemment douteux et le « consensus » autour du sida n’existe que parce qu’on interdit depuis plus de trente ans toute autre piste de recherche que la piste virale. Il s’agit d’un cas de corruption scientifique et médicale.De plus, le test n’est pas harmonisé, ce qui fait qu’en plus de réagir à plus de 70 conditions différentes (stress, rhume, grossesse et j’en passe), il peut être positif ou négatif d’une région du monde à l’autre. (il est du reste renié par son inventeur Kary Mullis ; et je tiens de source fiable que même le mode d’emploi de la machine utilisée pour le test décline toute responsabilité en ce qui concerne le HIV). Le diagnostic est donc bien fragile.Il y a plus de trente ans, alors qu’on admettait déjà ne pas savoir comment agissait le HIV, on ressortait quand même des placards un traitement, l’AZT, qui est reconnu aujourd’hui comme un véritable poison, même par les tenants de l’orthodoxie VIH. IL y a trente ans, ils auraient affirmé qu’il fallait se soigner à l’AZT et que boycotter ce produit équivalait à un meurtre de masse.Lisez donc bien les arguments des personnes qui ne croient pas à la causalité VIH/sida ; regardez les documentaires (House of numbers et d’autres sur internet). Lisez, pour un exemple édifiant des effets du conformisme en médecine le Semmelweis de L-F Céline, documentez vous sur une maladie qui s’appelle SMON avant de vous faire une idée, si du moins vous n’êtes pas trop paresseux ou trop conformiste pour vous donner cette peine. -
@doctorix
Une réponse facile et plus claire que la vôtre, si je puis me permettre, Doctorix (qui me semble confuse et j’essaie de me mettre à la place de ceux qui croient toujours que VIH = sida) :Si les trithérapies sont « efficaces » (j’insiste sur les guillemets), c’est parce qu’elles ont remplacé le traitement à l’AZT seul qui a sévi pendant des années et dont tout le monde reconnaît aujourd’hui la grande toxicité. Dans les années quatre-vingts, en Europe et aux Etats-Unis, tous les gens qui « mouraient du sida » étaient traitées à l’AZT.Quant à l’Afrique, on y mourait des maladies habituelles (malaria, tuberculose, etc), rebaptisées sida suite à des tests à vue. -
@philippe913
je croix que c’est vous qui racontez des conneries !
Les prostituées se protègent tout de même car il existe une longue liste de mst.
Vous n’avez aucune idée de la consommation de drogue des homosexuels, ou en tout cas de la population fortement contaminée. -
La première cause de transmission du sida en Europe c’est la TV.
En affirmant que l’avoir n’est pas grave.
Et surtout en omettant la transmission par le sang.-
@Ruut
Avoir le SIDA (enfin l’une des 35 maladies qu’il englobe arbitrairement) est très grave. C’est le témoin d’un système immunitaire bousillé.Avoir eu le VIH ne l’est pas.Je dis « avoir eu » parce que quand on a des anticorps, on ne l’a plus.Rappelons qu’une tuberculose chez un séro-négatif est une tuberculose. Chez un séro-positif c’est le SIDA. Il est ainsi facile d’atteindre des millions de morts... -
@doctorix
Hum, pas du tout...Les anticorps sont la marque d’une infection, mais seul l’étude des symptômes permet de dire si l’ infection a été jugulée ou non. Ensuite, avec le temps, les anticorps concernés sont de moins en moins produits, parfois jusqu’à disparition.Mais c’est trop vague pour être juste. En fait, la réaction du corps dépends du type de microbe à qui il a eu à faire.Certains virus ou certaines bactéries induisent une production d’anticorps constante par la suite, et d’autres non.C’est une raison pour lesquelles un type de vaccin doit être renouvelé tandis qu’un autre rappel n’est pas nécessaire pour d’autres infections.Et puis mon gars, apprends que le VIH est un virus alors que la tuberculose est provoquée par une bactérie. Impossible de confondre les deux.Surtout si on fait médecine !Ce qui montre bien encore que ce n’est pas ton cas ! -
@Mmarvinbear
RRRrrrraahhhhh, mais arrete de vituperer sur Doctorix qui te repond calmement, c’est insupportable d’arrogance et de betise. Tu m’as l’air assez intelligent pour comprendre cela, non ?Ta derniere pique est aussi mesquine que non fondee :
"Et puis mon gars, apprends que le VIH est un virus alors que la tuberculose est provoquée par une bactérie. Impossible de confondre les deux.«
Il explique, Doctorix, qu’avoir le virus du VIH, ce n’est pas etre atteint du SIDA. Et que ce virus disparait par lui-meme si l’on prend soin de sa sante quelque peu.
Au contraire, avoir le sida est tres grave, entraine l’affaiblissement des defenses immunitaires, le developpement de differentes maladies, dont la tuberculose, qui peuvent, de maniere erronee, donner un resultat positif au test VIH alors que le sujet n’a pas ce virus mais est atteint du SIDA.
Donc, invectiver Doctorix en affirmant qu’il ecrit n’importe quoi parce que la tuberculose est une bacterie et le VIH un virus, c’est raconter n’importe quoi, ce qui arrive a tout le monde et est excusable, mais toi tu le fais d’une maniere tellement nauseabonde que ca peut donner l’image du sale morveux a qui on a envie de coller une bonne claque dans sa sale bobine.
Tu as compris la »subtilite", toute relative, du debat ou tu es encore dans les choux ?
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@zic_quili
Laisse tomber, la haine est toute sa religion et toute sa science.Il est obtus, borné, et parfaitement irrécupérable.Il ne sait pas par quelles affres je suis passé avant de remettre en cause tous les dogmes qu’on m’avait injectés de force.Cela demande du courage, les remises en question, que ce soit pour les vaccins qui furent mon gagne-pain, ou le Sida.Une vertu qu’il ne possède pas.L’insulte et la calomnie, ça, il connaît.Tu sembles par contre avoir bien compris qu’il y a un problème.Lui aussi, mais il ne le reconnaîtra pas : caractéristique des imbéciles.Par contre, on recherchera vainement que j’aie dit que la tuberculose était due à un virus...il n’y a donc rien à excuser. Mes articles ont jusqu’à 50.000 lecteurs, et je ne prendrais pas le risque de dire une connerie.Mais il est difficile de convaincre quelqu’un qui ne sait pas lire. -
@zic_quili
Sauf que 99,99 % des scientifiques compétents en la matière ont prouvé que le HIV était responsable du SIDA. En apportant TOUS les éléments reliant le virus à la maladie.Quand au reste, à part affirmer leurs convictions en boucle, ils n’ont jamais rien apporté. Ni éléments de doute, ni preuve, rien.Je sais qu’en science une part de doute doit toujours animer la recherche, mais quand mille géologues me disent que la Terre est ronde, j’ai plus tendance à les croire que le dernier qui dit qu’elle est plate et carrée.Moi, je suis d’accord pour écouter ce dernier mais il ne m’apporte aucun élément me montrant qu’elle est plate et carrée à part sa « conviction profonde » et sa « certitude que la science officielle est corrompue par le complot judéo-géographique mondial »...Oui, parce que dans leurs rhétoriques, le mot « juif » apparait toujours à un moment ou un autre... -
@doctorix
50 000, en effet.Mais bon il n’y a pas de quoi pavoiser non plus. J’ai plus de réactions en moyenne par article ( 72 ) que notre médecin en herbe ici présent ( 70 ).Je ne compte même pas Morice, la star des lieux qui passe la barre des 100 commentaires en moyenne.Comme quoi, tout est relatif ! -
@Mmarvinbear
72, certes.Et presque tous négatifs.Facile de faire du chiffre en faisant chier tout le monde et en débitant des âneries.Moi, presque tous positifs, et le plus souvent en tête de gondole.Quant à vos articles, les derniers, à part un par an, remontent à 2011, et vous avez abandonné quand vous avez vu que vous n’attiriez plus que dix réactions. Has been, en quelque sorte...Ma moyenne se maintient à 5.500 lecteurs, après 42 articles.Je n’en suis pas plus fier, mais cela m’incite à continuer.Contentez-vous de cracher dans la bonne soupe, c’est ce que vous faites le mieux, et on a toujours besoin d’un sparing-partner. -
@Mmarvinbear
« Sauf que 99,99 % des scientifiques compétents en la matière ont prouvé que ... »
Prouvé que Galilée était un âne ? C’est ce que vous vouliez dire ? Nous savons tous de quel côté vous auriez été à cette époque.« dans leurs rhétoriques, le mot « juif » apparait toujours à un moment ou un autre... »Je me disais bien que le point Goldwin finirait par être atteint, et je me demandais juste qu’elle crétin serait le premier à me traiter d’antisémite.J’aurais pu parier. -
@doctorix
J’admet que ma production d’articles est très basse, mais j’ai une vie à côté, moi... -
@doctorix
Pour être franc, je ne pensais pas à vous. D’ailleurs, relisez le message. Vous verrez que je vise les complotistes de tous poils en premier lieu.En vous lisant de toute façon, j’estime, mais c’est mon impression, que vous êtes trop bête pour pouvoir être antisémite d’une façon ou d’une autre.Ah, oui, que vient faire Galilée ici ? Lui était un scientifique. Les autres étaient avant tout des religieux, défenseurs obtus des écritures. Cela ne fait pas d’eux des scientifiques. -
Humm ! Avoir l’esprit ouvert, ça n’est pas être "complotiste. Le professeur Montagnier est-il complotiste, ou bien est-il capable d’un certain recul sur ses propres travaux ?
https://www.youtube.com/watch?v=c0c6wdiY9fA-
@Ramana
On l’a démoli à cause de cette interview, le traitant de gâteux, après l’avoir encensé comme gloire nationale.Pourtant, il reconnait là l’innocence du VIH.Le SIDA, la plus terrible maladie du monde, qui serait guérie par de l’eau propre, un minimum d’hygiène, et une alimentation saine...Et bien sûr le renoncement aux drogues intraveineuses et autres nitrite d’amyle (poppers).Pourtant, depuis cette interview, tout continue comme avant.Ah non, peut-être : la publication de cet article, qui a passé la barrière des chiens de garde (après de nombreux essais d’autres auteurs) est peut-être un signe des temps ? -
@doctorix
Sujet au moins aussi étouffé que la pédophilie rituelle chez les élites franc mac’.
Malgré des centaines d’articles, vous serez noyé sous le déluge des infos officielles.Depuis 10 ans je lis des articles à propos du stress oxydatif mais sur des sites très très complotistes.
Merci pour l’interview de Montagné.
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@Montdragon
Ce combat est sur la même ligne que la recherche de la vérité sur les vaccins : tabou. Et avec les mêmes milliards derrière pour l’industrie pharmaceutique.Mais ces deux combats avancent bien. Nous sortirons du moyen âge. -
@doctorix
On pourrait ajouter aussi le combat pour la vérité sur le cancer et son traitement. Un jour le totem « chimio & radio » apparaîtra comme une divinité de pacotille que nous avons adoré parce que sous l’influence de Big Pharma.
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@Luc-Laurent Salvador
Sauf que celles et ceux qui se traient de façon normale, scientifique en guérissent de plus en plus alors que les allumés qui se gavent de fruits et d’oligo-éléments gouroutisés en crèvent tous et rapidement.Sauf bien sûr celle et ceux qui n’avaient pas de cancer. Comme cette salope australienne qui a fait croire à tout le monde qu’elle s’était soignée avec des pissenlits ou assimilés...Je me demande combien de personnes elle aura tué en donnant de fausses illusions. -
@Mmarvinbear
« Sauf bien sûr celle et ceux qui n’avaient pas de cancer. »Ou ceux qui n’avaient pas de Sida...
Il est très facile de guérir d’une maladie qui n’existe pas, ou qui est parfaitement bénigne, comme l’infection au VIH. Ce qui explique bien d’apparents succès.Guérir du Sida est autrement difficile, surtout si on se contente de lutter contre un innocent virus...Quand au cancer, il est certain que ceux qui en guérissent le mieux sont ceux qui n’en avaient pas. Même chez ceux qui en ont un, il y a de nombreuses formes non évolutives.Pour une fois, nous serons d’accord. J’ajouterai par exemple qu’à 80 ans, cent pour cent des hommes ont des cellules cancéreuses dans leur prostate, mais que seuls 3% en meurent. Traitement « moderne » ou pas. -
L’information contenue dans cet article devrait susciter au minimum 300 commentaires tellement elle renverse l’ordre établi.
C’est à se demander si internet contribue à éveiller les consciences.
On dirait que chacun veille surtout à bien consolider sa confortable vision de la réalité.Les agents du N.W.O peuvent dormir sur leurs deux oreilles, le projet est dans la boîte, ça baigne... !
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@Luc-Laurent Salvador
J’ai le même problème même dans mon entourage. J’ai imprimé le rapport de sidasanté, je dis : « lisez ! », mais personne ne veut lire. Pas besoin, ils SAVENT !!!Les gens ont besoin de croire, pas de savoir.C’est terrifiant.Encore, pour les vaccins, on progresse. Mais l’empire médiatique a une puissance colossale, et la force d’inertie fait le reste. On n’est pas sortis de l’auberge...Finalement, ce n’est pas si difficile d’exercer une dictature quand on a l’argent, les media, et qu’on s’adresse à des veaux. -
@Luc-Laurent Salvador
le problème c’est que vu l’ampleur de l’imposture globale qui touche tous les domaines dès qu’on creuse un peu c’est juste : trop
le psychisme ne peut pas assimiler ,qu’elles que soient les preuves , les évidences, face a la réalité le cerveau déconnecte et entre dans une phase de dénion ne peut pas sortir les gens de la caverne sinon ils y retournent en courant : rendez moi ma drogue ( mes illusions ) il faut qu’ils sortent par eux même
la matrice c’est un film , n’est ce pas ?
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Oui le VIH/sida est la plus grande escroquerie criminelle de tous les temps
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merci à l’auteur pour cet article qui donne des informations essentielles pour ne pas tomber dans le piège diabolique de la fausse et mafieuse médecine postmoderne
Il ne faut donc pas tomber dans le piège des tests du sida qui vous font passer pour un malade pestiféré comme que vous^ êtes sains et en bonne santé et donc les fuir comme de la peste
M^me problème pour le cancer et les vaccins
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Et si Agoravox a quelque légitimité ou raison d’exister qui fait utilité et son honneur ,c’est bien ce genre d’article .
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Merci donc aussi à Agoravox
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@franc
erreur de frappe ci dessus-
mettre _ alors que _ à la place de _ comme que _
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Il ne faut donc pas tomber dans le piège des tests du sida qui vous font passer pour un malade pestiféré ALORS que vous^ êtes sain et en bonne santé et
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@franc
NON.
Il ne faut pas tomber dans le piege des tests du VIH
C’est le sens de tout l’article et des commentaires argumentes de Doctorix.Apres chacun est libre de ses opinions.
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@zic_quili
Concernant la farce des tests HIV, le mieux est de visionner ce petit film (un petit quart d’heure) :Bon sang, il faut avoir la foi en la science officielle solidement chevillée au corps pour croire encore à ces foutaises ! -
Bon, j’ai beaucoup écrit, j’espère avoir donné l’envie d’en savoir plus, et mis quelques puces à quelques oreilles. Ne me croyez pas, vérifiez.
C’est le moment d’en profiter, parce que la loi sur le renseignement est justement là pour faire taire des bouches comme la mienne.Quelque jour, vous serez obligés d’avaler toutes les pilules, sans contestation possible.Et tout sera pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comme disait Aldous Huxley.Ce jour-là, même l’ours hypocondriaque me regrettera.-
Bonjour DoctorixVoilà ce que dit la littérature de la médecine officielle, ce qui est, si j’ai bien saisi les tenants de votre article, totalement à l’opposé de vos affirmations ?"Avant que les traitements pour lutter contre le VIH n’existent, toutes les personnes vivant avec le VIH passaient de la phase 1 à la phase 4. Maintenant qu’il existe des traitements, l’évolution de l’infection ne se fait plus automatiquement dans cet ordre précis. Par exemple, une personne peut passer de la phase 1 à la phase 2, ensuite à la phase 3 et, grâce aux traitements, faire un retour à la phase 2. Une personne peut même retourner de la phase 4 (SIDA) jusqu’à la phase 2. Il est par contre impossible de retourner à la phase 1.
Peu importe la phase dans laquelle vous vous trouvez au moment du diagnostic, il existe des traitements qui permettent de ralentir l’évolution du VIH.
Qu’en dites-vous (du topo) ?
Passe-t’on de la phase 1 à la phase 4,mais jamais de la phase 4 à la phase 1 ?
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@Vipère
Avant, il y avait un traitement « AZT » c’est ce soi-disant traitement qui achevait les patients.
Les traitements d’aujourd’hui sont essentiellement ciblés sur le stress auxidatif.
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@Vipère
J’en dis que le SIDA peut bien suivre les phases qu’il veut, le VIH n’a rien à y voir.Les passages d’une phase à l’autre relèvent de l’amélioration des défenses propres du sujet, et nullement du traitement. Parce qu’il n’y a pas que le traitement chimique qui a évolué, mais aussi la prise en charge non médicamenteuse. Les mesures hygiéno-diététiques sont capitales, l’alimentation, les vitamines, tout ce qui met nos défenses au top. Bien des malades ne se contentent pas de l’ordonnance, et se supplémentent copieusement, sans le dire.Egalement, la peur a diminué ou disparu, et ça aide bien. Comme pour le cancer, la foi en la guérison (ou la mort annoncée) est un puissant facteur.Nous ne sommes pas qu’une usine chimique, et notre psychisme est très important. Nous guérissons (ou nous laissons mourir) avec notre intellect.Devant tout malade grave, je sais presque toujours qui va se laisser mourir et qui va se battre, qui va perdre et qui va gagner. Et c’est de loin ce qui compte le plus. -
@nagon
L’AZT était une vieille molécule qui tuait les animaux exposés.Comme tout est vendable, comme tout doit être vendu, on lui a trouvé une nouvelle jeunesse avec le sida.Il tuait tout pareil les humains, avec ce détail piquant qu’il reproduisait les symptômes du sida, ce qui dramatisa encore la mortalité du sida. En plus, on trouvait ça normal, qu’ils meurent , puisqu’ils avaient le sida...Malheureux séropositifs de l’époque, qui se sont faits tuer par leur médecin, par des tests bidons et par un poison violent, et qui seraient sans doute en vie aujourd’hui...Mais la nerivapine (inhibiteur de la transcriptase inverse) de 2002 ne valait pas mieux. Quant aux autres, je ne sais pas, ça ne m’intéresse plus de tuer un virus innocent.Les médicaments du stress oxydatif sont plus intéressants, mais ils ne s’attaquent pas au VIH.Tiens donc... -
@nagon
ah bon ? détaillez pour voir, les trithérapies ne ciblent que le stress oxydatif ? des sources peut être ? car il me semble que ça n’est pas du tout le cas, mais je me trompe sûrement. -
@doctorix
tiens, http://www.planetoscope.com/mortalite/354-deces-dus-au-sida-dans-le-monde.html
"Selon une étude de l’OMS parue en mars 2009, le nombre de cas de sida chez les hommes de plus de 50 ans augmente considérablement. Le recours de plus en plus fréquent au Viagra, des relations sexuelles non protégées, un âge où les hommes se sentent moins concernés par le virus expliqueraient en partie cette augmentation."pourtant ce sont des gens qui n’ont plus peur du sida, ça devrait aller mieux non ?
vous êtes dingue.
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@philippe913
Vous lisez ce que vous avez envie de lire.Votre article mélange allègrement les séropositifs et les sidéens.Il montre une épidémie en pleine régression. Comme l’ont fait avant elles toutes les épidémies.Il dit clairement que la plupart des morts en Afrique sont dues à la tuberculose. Normal chez des crève la faim, et pas original depuis 100 ans. Il y a 200 millions de porteurs du bacille en Afrique, et c’est une maladie liée à la misère et à la faim, avant ou après le sida. Ces gens meurent de tuberculose, et pas de VIH. D’ailleurs seuls 1/3 des morts sont séropo. Donnez leur de quoi manger plutôt que des vaccins, donnez leur de l’eau propre à boire, et ils guériront.L’article dit aussi qu’il n’y a que 29.000 morts du sida en Europe occidentale, centrale et en Amérique du nord, en 2011.Ce qui est 20 fois moins qu’une méchante grippe.
Bref, il dit des choses que vous n’avez pas envie d’entendre ni de comprendre. Il dit les choses comme vous avez envie de les comprendre.Vous maniez mieux l’insulte que la comprenette. Parce que si je suis dingue, alors le Pr Duesberg, le meilleur spécialiste au monde des rétrovirus, et des centaines d’autres chercheurs contestataires sont dingues aussi.Moi, je crois plutôt que c’est ce monde qui est dingue. -
@doctorix
et c’est moi qui ne lit que ce que je veux....
où vous ai je dit que le sida était la plus grave peste de notre temps ? nulle part, alors il n’y a aucun intérêt à comparer le nombre de morts des différentes maladies.Oui l’épidémie semble régresser. Encore heureux, avec toute la prévention qui est faite... et, au moins dans les pays dits développés, avec les traitements qui fonctionnent.
Mais encore une fois, je ne vois absolument rien dans ce que vous dites qui contredise la « doxa officielle » comme vous aimez l’appeler. Et oui, vos centaines de chercheurs contestataires, s’ils ne sont pas dingues, ça veut donc dire que les milliers et dizaines de milliers de praticiens qui eux, sont convaincus de la relation entre le VIH et le SIDA, eux, le sont ? (moi aussi je peux faire de la rhétorique fallacieuse).Pour revenir à des choses plus concrètes sur la tuberculose qui semble vous intéresser :
Tuberculose et VIHAu moins un tiers des personnes vivant avec le VIH dans le monde sont infectées par le bacille tuberculeux bien qu’elles n’aient pas toutes encore développé une tuberculose évolutive. Les personnes vivant avec le VIH et infectées par la tuberculose multiplient par 29 et jusqu’ à 31 fois le risque de développer une tuberculose évolutive que les personnes qui ne sont pas infectées par le VIH.Mais non, aucun rapport selon vous. Ah pardon, l’OMS truque ses chiffres et ment éhontément à tout le monde ?
http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs104/fr/
je prends le passage qui m’intéresse :ça n’est pas une insulte, juste une constatation, vous êtes dingue. Et je ne sais pas lequel de nous deux à le plus de mal à la comprenette, enfin si, j’ai une petite idée.
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@philippe913
Il est un fait certain, c’est que l’OMS est une organisation commerciale au service des laboratoires pharmaceutiques, infiltrée et corrompue par eux, à un point qui dépasse l’imagination.Ses chiffres et ses recommandations concernant les vaccins sont grossièrement mensongers, cela fait maintenant 6 ans que l’étude que j’en fais m’en donne chaque jour la certitude.Aussi des chiffres provenant de l’OMS ne me font ni chaud ni froid.Trouvez des études indépendantes sur le SIDA, indépendantes de l’OMS et donc des laboratoires, et vous verrez des différences considérables.Je vais chercher ça ce week-end, et je vous promets des surprises (ça ne se fait pas en deux clics).La mission de l’OMS, sa mission principale, est de vendre. Vendre du vaccin, vendre du test HIV, vendre du traitement antirétrovirus, mais aussi vendre tout ce qui est à vendre.Si vous ne partez pas sur cette base, alors vous avalerez tout.Elle partage cette infâme corruption avec tous les organismes de santé officiels, depuis la HAS et jusqu’à la FDA. Les labos ont infiltré tout ce qui compte avec leurs lobbies, l’Europe de Bruxelles est un immense réservoir de lobbyistes qui corrompent député après député, commissaire après commissaire. La ville de Bruxelles en compte 20.000, ça vous parle ?Je sais, ce n’est as facile à avaler. C’est pourtant ainsi.Comme vous êtes tous deux de grands naïfs, à ce qu’il semble, je vous signale que Google est un organisme commercial. C’est pourquoi les articles qui figurent dans les premières pages, après que vous ayez tapé vos mots-clés, y sont propulsés à coups de dollars. Pas besoin de vous dire qui les allonge. Aussi, pour obtenir des infos intéressantes, il ne faut pas hésiter à aller voir les pages suivantes, parfois fort loin, là où vous êtes sur que personne n’a payé pour les y mettre.C’est ce que je vais faire pour vous, puisque vous semblez trop paresseux ou trop naïfs pour le faire.A lundi, sauf synthèse précoce. -
@philippe913
J’ai commencé à réfléchir sur votre propagande OMS, et en particulière sur cette phrase :« Les personnes vivant avec le VIH et infectées par la tuberculose multiplient par 29 et jusqu’à 31 fois le risque de développer une tuberculose évolutive que les personnes qui ne sont pas infectées par le VIH. »D’abord, je trouve extraordinaire cette fourchette 29-31. On m’aurait dit 20-40, ou même 25-35, j’aurais été moins surpris, dans un pays où les distances sont énormes, les population dispersées, les communications difficiles, et donc les statistiques très aléatoires. Là, on est dans une précision difficile à croire, une précision sans doute destinée à faire croire à une rigueur scientifique pour éblouir les naïfs, donc pour les aveugler. Mais passons, et admettons.Ce chiffre nous dit qu’on trouve 30 tuberculeux séropositifs pour un tuberculeux séronégatif. Ou bien j’interprète mal ?Or le nombre de tuberculeux en Afrique est à peu près le même en 2015 qu’en 1980, avant l’apparition du Sida.Cela voudrait dire que sans le Sida, la tuberculose en Afrique aurait diminué de 97% ?Bon, si ça ne vous pose pas de problème, alors c’est incurable.Ce chiffre est une authentique arnaque.Tout ce qu’il peut signifier, en analyse objective, c’est que l’exposition au Bacille de Koch positive les test Elisa et Western Blot (de grandes supercheries), parce que ces tests détectent des antigènes non spécifiques au VIH, mais communs à de nombreuses particules biologiques (dont le BK) comme cela a été expliqué plus haut.Il me semble qu’alors, et alors seulement, ce 29-31 devient compréhensible.A trop vouloir prouver, on prouve le contraire, dit-on.Alors je réécris la phrase, avec autant d’honnêteté que je peux :« Les personnes atteintes d’une tuberculose évolutive multiplient par 29 et jusqu’à 31 fois le risque de développer une positivité aux tests VIH. »
Avec ça, je peux être d’accord.Donc voilà ce qui doit se passer : ces pauvres gens attrapent la tuberculose, comme tout le monde. Du coup, ils deviennent séropositifs. Du coup on les décrète sidéens en puissance. Du coup, au lieu de s’occuper prioritairement de leur tuberculose, on les bourre d’antiviraux inutiles et dangereux.Et on dit qu’ils meurent du Sida, alors qu’ils meurent d’une banale tuberculose, et des effets iatrogènes des médicaments qu’on leur a donnés pour combattre un virus qu’ils n’avaient même pas.Grandeur et misère de la médecine moderne... -
Salutations à tous, je suis tout nouveau, c’est le gros mensonge sur le sida-vih qui me pousse à réagir ici pour la première fois, je trouve ce site très intéressant.
Dans les années 80 on nous parlait d’une hécatombe en Afrique, aujourd’hui la population a plus que doublé si ce n’est plus, je vous rappelle que là bas, le préservatif est un luxe, le sida en Afrique se limite à la malaria, tuberculose, malnutrition, ce qui n’est pas souvent le cas ailleurs.
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@nagon
« le sida en Afrique se limite à la malaria, tuberculose, malnutrition... »
vous entendez quoi par là ??sinon,
http://www.planetoscope.com/mortalite/354-deces-dus-au-sida-dans-le-monde.html3/4 des décès en Afrique.
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@philippe913
Le sarcom de kaposi était la pathologie la plus courante dans les premiers cas de Sida découvert chez les homosexuels aux États Unis avant que d’autres pathologies ne soient ajoutées comme le cancer de l’utérus.
Bref, c’est pour dire que le Sida en Afrique ne comporte pas de cas de « sarcom de kaposi » qu’on ne retrouve qu’en occident.
Ma question, qu’elle est donc cette maladie qui diffère d’un continent à un autre.
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@nagon
pourquoi ? parce que vous racontez n’importe quoi sans savoir...
http://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/presse/fiches-info/sarcome-kaposi -
@philippe913
Autant pour moi, j’aurais pu dire quelque cas de sarcome de kaposi en Afrique, tout comme je pourrais dire quelque cas de sida dû à la malaria en occident.
Ma pensée était de dire que les pathologies causant le sida ne sont pas souvent les mêmes d’un continent à un autre, tout comme les test différent d’un pays à un autre, si cela ne vous interpelle pas tant mieux pour vous. je ne suis pas un spécialiste, mais le simple fait qu’un furoncle puisse vous rendre positif au Sida me rend perplexe.
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@nagon
et pourquoi ce ne sont pas les mêmes à votre avis ? Le VIH, qui donne le SIDA, implique quoi ? une destruction des défenses immunitaires. Du coup, vous chopez ce qui traîne là où vous êtes, et il ne traîne pas tout à fait les mêmes saloperies dans tous les coins du monde non ?
Compliqué de se faire piquer par un moustique porteur de la malaria à Paris... -
@philippe913
Pendant que vous continuez à accabler l’inoffensif VIH de tous les maux dont souffrent les sidéens, vous laissez agir les véritables coupables en toute tranquillité.C’est ce qui se passe quand il y a erreur judiciaire : non seulement un innocent est en taule, mais le coupable court toujours : double scandale.Dans le cas présent, tous ces milliards perdus à combattre un faux coupable auraient été beaucoup plus efficacement employés à creuser des puits, faire des installations d’hygiène et acheter nourriture et vitamines pour les pays pauvres plutôt qu’à engraisser les laboratoires pharmaceutiques.L’argent est le grand moteur de cette arnaque. Comme toujours. -
Merci à tous pour vos réactions,et spécifiquement à Doctorix pour son fort investissement dans ce débat ! Pour moi qui suit cette affaire depuis de nombreuses années et lui consacre un article de temps en temps, je remarque de manière générale que l’aspect religieux du débat (la nécessite de « croire » en l’hypothèse du VIH afin de ne pas se faire excommunier par la « bonne société » et, accessoirement, continuer à faire tourner la pompe à fric de l’industrie du même nom ) est toujours aussi vivace mais aussi de plus en plus fragile : des gens qualifiés, issus de cette « bonne société », qui n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre à remettre en cause le dogme dominant, se font entendre. Le delta entre la communication pro-VIH et la réalité épidémiologique est de plus en plus visible pour peut que l’on s’y intéresse un peu.
A ’heure actuelle, le principal frein à la destruction du dogme du VIH, outre l’énorme puissance commerciale, politique et communicante de l’industrie pharmaceutique et des Etats qui ne pourront jamais admettre publiquement une telle erreur, est que la cause réelle du Sida reste complexe - il n’y a pas une réponse toute simple pour remplacer le tout-VIH. C’est donc petit à petit, au fil des possibilités de recherche « dissidentes » et des remises en question en provenance de l’establishment lu-même, qu’un jour on assistera à une réalisation globale de comment une erreur de diagnostic par un faussaire patenté (Gallo) se sera transformée en un empire commercial hyper-profitable (pour certains, dont Gallo) avec tout ce que cela implique de corruption et de pensée unique.Ca prendra encore des années de travail de sape, mais cela en vaut la peine.-
@Vincent Verschoore
Oui, je me suis fort investi et je désespérais de vous lire...Nous avons eu ici deux bons spécimen de la « bonne société » dont vous parlez, fermement accrochés au dogme. On les retrouve d’ailleurs dans tous les débats sur ce type de sujet, avec toujours le même type de verrouillage intellectuel.Il faut les contrer bien sûr, mais aussi les considérer comme nécessaires, parce qu’au lieu de nous ramener dans le rang comme ils l’espèrent, ils stimulent à fond notre esprit critique. Ce qui les rend fous, particulièrement,c’est qu’un sujet issu de la bonne société, un renégat comme moi, ose interférer dans une mécanique si bien huilée, alors que le rôle d’un médecin est censé être de ramener les brebis égarées au bercail. D’où des insultes, attaques ad hominem, à défaut d’arguments concrets autres que copiés-collés.C’est grâce à eux, paradoxalement, que nous avancerons, car ils caricaturent de façon évidente pour tous l’immobilisme et la sclérose d’une science aussi orgueilleuse que corrompue.Merci pour cet article, et bravo d’avoir réussi à le faire passer. -
@doctorix Par expérience, tenter de convaincre se révèle le plus souvent contre-productif car le cas est trop complexe. On ne peut comprendre le problème qu’en passant un certain temps à se documenter.
L’enjeu de ce type d’article est de semer des graines de doute, d’aiguiser la curiosité de gens a priori non concernés. L’erreur à ne pas faire est de prétendre que nous, les opposants au dogme officiel, avons tout compris, avons toutes les réponses.Ce que nous demandons, c’est un grand débat public et scientifique sur la question. Tout comme il en faudrait sur les vaccins et plein d’autres thématiques. Le refus de tout débat réel, l’anathème porté sur les « dissidents » pourtant tout aussi diplômés que les dogmatistes, anathèmes relayés par l’ensemble des médias dont une bonne part des revenus provient de la pub - donc des annonceurs pharmaceutiques - et des subsides - donc de l’Etat, corrompu par les lobbies et petits arrangements entre amis - est un signe de la peur d’une confrontation ouverte.Et comme vous le dites, la loi big brother du 5 mai servira surtout à surveiller les « terroristes » qui visent à « déstabiliser l’Etat » au travers d’une communication « négationniste », dont certains sont cachés derrière des pseudonymes faisant explicitement référence à un groupe obscurantiste gaulois ayant refusé la civilisation libératrice de Manuel - pardon, Jules César ! -
@Vincent Verschoore
Bien vu...Mes premières interventions se sont faites sue un blog appelé « Le Gaulois déchaîné » (qui vit toujours), où nous avions tous adopté des pseudos en ix, en hommage à Astérix et à la petite communauté gauloise résistante à l’envahisseur.J’ai toujours gardé mon pseudo. Et je suis toujours médecin généraliste, en exercice, et résistant.Je ne sais pas quand nous gagnerons, mais je sais que nous gagnerons. Connaissez-vous cette association « colibri » ? Elle s’appelle ainsi en hommage à l’histoire de ce petit oiseau qui faisait des aller-retours entre la rivière et la forêt en feu, rapportant une ou deux gouttes d’eau à chaque voyage. Quand on se moquait de lui, il annonçait calmement : « Je fais ma part ».C’est quand chacun fera sa part que nous gagnerons. Dans ce domaine, chacun doit devenir un résistant, voire un terroriste. Car nous ne terrorisons que des crapules et des menteurs. -
@Vincent Verschoore
« pompe à fric de l’industrie », « dogme dominant », « dogme du VIH », "énorme puissance commerciale, politique et communicante de l’industrie pharmaceutique et des Etats« , »recherche « dissidentes »« , »establishment« , »réalisation globale« , »faussaire patenté« , »empire commercial hyper-profitable« , »corruption« , »pensée unique« , »travail de sape« .
Allons bon, vous n’avez pas peur des mots valises, vous.
Question à mille francs : l’auteur de ce champ lexical est il :
- un scientifique sérieux ?
- un idéologue de comptoir ?
Conseil gratuit : inutile de vous plaindre d’être marginalisés par »l’establishment« . Vous vous ridiculisez tous seul, vous n’avez besoin de l’aide de personne pour ça.
Vous voulez être pris au sérieux ? Travaillez sérieusement !
Je connais parfaitement le sujet. Et qu’est-ce que je constate quand je vous lis ? A chaque ligne vous dites une bêtise énorme. Même un bac+2 en biologie poufferait de rire en vous lisant.
Il est facile d’élaborer des théories fumeuses en cherchant des »informations« sur Internet. Surtout quand elles ne font que confirmer des croyances toute faites ( »on nous ment« , les gens puissants nous manipulent »...). C’est la pensée zapping.
Mais aller au fond des choses c’est beaucoup plus difficile. Le savoir, le vrai, ça demande un effort important, ça demande du temps et de la sueur. Renoncer à ses croyances, travailler beaucoup, apprendre encore et encore...
Allez passer un Master de bio ou un diplôme de de science médicale... Au bout de cinq ans d’effort vous ne saurez pas grand chose, mais vous aurez au moins une base minimum pour parler de ces sujets sans raconter n’importe quoi.
Et alors, on vous prendra un peu au sérieux. Non pas parce que vous aurez un diplôme... mais parce que vous prouverez plus votre ignorance en affirmant une connerie par phrase !
Sans rancune.
-
@Agerate
Ne sachant pas qui se cache derrière votre pseudo je ne perdrais pas mon temps à discuter de votre possible crédibilité, d’autant que ce n’est pas le sujet : je ne fais que présenter un article paru dans un journal médical américain. Si vous n’êtes pas d’accord, ce qui est votre droit bien évidemment, adressez-vous au Dr Miller. Et expliquez-nous pourquoi des gens comme lui (il n’est pas le seul scientifique à remettre en cause le dogme du VIH) se risquent à pareilles volées de bois verts s’ils n’ont pas de solides raisons éthiques de le faire ? Par « expliquer » j’entends ici autre chose que de simples insultes et dénigrements. -
@Agerate
« Je connais parfaitement le sujet. »Çà commence mal.Il faut comprendre : « J’ai le diplôme, j’ai la science, et vous êtes donc des ânes ».Ou alors : « Taisez-vous, c’est moi le docteur ».Je vais compléter la réponse de l’auteur, qui est bien trop respectueux à mon goût envers un être aussi méprisant et suffisant.Des diplômes, j’en ai aussi. Du temps pour étudier ce sujet, j’en ai passé en quantité. Des livres, j’en ai lu par dizaines, mais pas les mêmes que vous.Vous croyez savoir, parce que vous régurgitez le dogme. Mais le dogme est très probablement faux, il se nourrit de ses erreurs. Votre fatuité évidente et affichée vous prive d’une remise en question salutaire.Nous nous fichons pas mal, nous, d’être marginalisés par l’establishment, et nous n’avons pas grand respect pour une partie de ses représentants. Moi-même mes convictions me font perdre beaucoup d’argent, puisque j’ai renoncé à vacciner. Je risque mon diplôme presque à chaque mot que j’écris.Vous même avez choisi de ne pas prendre de risque, en suivant soigneusement les sentiers battus.A ce titre, vous êtes coupable d’ignorance, et coupable auprès des victimes des erreurs que vous pérennisez.Nos références comptent parmi les plus grands scientifiques de ce temps, en particulier dans le domaine de la virologie, nous n’en rougirons pas.Et votre intervention n’a strictement rien apporté au débat. Vous n’avez peut-être pas la pensée zapping, mais vous avez la pensée engluée, et stérile.Restez assis sur vos diplômes supposés, et laissez nous travailler, si vous n’avez rien à dire. -
@doctorix : je ne dis pas que vous êtes un âne, et je ne vous reproche encore moins de ne pas avoir de diplôme, je vous reproche seulement de parler d’un sujet que vous ne connaissez pas.
Et je vous explique - puisque vous semblez vous en étonner ! - pourquoi on ne vous prend pas au sérieux : toute personne connaissant la médecine voit immédiatement votre ignorance... Et ce n’est pas une question de diplôme. Sans parler de votre jargon idéologique qui décrédibilise votre discours encore plus (Votre réponse en est un nouvel exemple).
Comment critiquer une science, quand soit-même on n’en maîtrise pas les subtilités ?
C’est cela, et rien d’autre, que je dis. Et c’est bel et bien un argument de fond.
Vous pouvez toujours monter sur vos grands chevaux, vitupérer contre ma fatuité, ça ne changera rien à ce constat évident pour tout médecin, biologiste ou étudiant, même très jeune.
Quand aux « livres » que vous avez lus, la belle affaire... C’est la spécialité des marchands de rêves modernes que de lancer les rumeurs les plus farfelues sur Internet pour ensuite vendre des milliers de livres. Il suffit d’enrober les théories dans du jargon pseudo-scientifique et des théorie complotistes pour convaincre tous ceux qui n’ont pas le bagage suffisant pour lire une étude scientifique... et se faire du fric facile !
La bible aussi c’est un livre. Ca n’en fait pas un ouvrage pertinent sur le plan médical.
-
@Vincent Verschoore
Houllaaa, que de soupçons ! Ca confirme ce que j’imaginais des gens qui soutiennent cette théorie : ils croient intimement être manipulés en permanence.
Et bien non, désolé mais je ne vais pas correspondre à ces croyances, je ne suis pas financé par un labo pharmaceutique, et je n’appartiens pas à des services secrets ni aucun groupe occulte... Je n’ai même pas encore de patients, pour peu que vous ayez la folie d’imaginer que les médecins répandent des mensonges pour gagner de l’argent ! Je suis juste un jeune homme de 33 ans, encore étudiant en médecine après avoir repris mes études suite à une précédente carrière qui ne m’intéressait plus.
Je peux même vous transmettre ma carte d’identité et mes relevés de compte si vous le souhaitez.
Plus sérieusement, votre remarque est intéressante : quel est l’intérêt pour le Dr Miller et d’autre personnes de répandre ces âneries ? Il y a plein de réponses.
- D’abord comme je l’ai déjà dit, toute théorie de conspiration permet d’écouler de grandes quantités de livres pour se faire du fric facile. Il suffit de constater les centaines de livres qui ont été publiés sur les soit-disant mensonges concernant les vaccins ou le VIH.
A noter que le fameux Dr Miller, lui aussi, vend des bouquins.
- Deuxièmement, des raisons de conviction idéologiques. Par exemple, il ne m’a pas fallu chercher longtemps pour constater que le Dr Miller est aussi un fervent militant de la cause libertarienne. C’est son droit. Mais quand il utilise son statut pour déformer la réalité scientifique et la faire rentrer dans une case idéologique, ça me dérange un peu plus.
N’oubliez pas qu’aux Etats-Unis, il est souvent considéré normal de mélanger croyances et sciences...
- Troisièmement pour vendre de l’image. La médecine étant essentiellement privée aux Etats-Unis, faire parler de soi est un excellent moyen de se faire de la publicité gratuite pour sa clinique ou son cabinet... Et faire grimper le prix des consultation ! Ca vaut bien quelques approximations.
- Quatrièmement pour faire parler de soi, tout simplement. La recherche du bonheur chez chaque individu est d’une complexité infinie... Chez certains ça passe par la reconnaissance, la célébrité... Devenir connu en faisant ou racontant n’importe quoi, c’est très facile. Surtout aujourd’hui à l’ère d’internet. Faire des méta-analyses sérieuses de la bibliographie scientifique, ça long, c’est chiant, et ça ne rend pas célèbre. Balancer les théories les plus farfelues sur Internet, c’est facile, et ça fait parler de soi.
Ça fait déjà quatre bonnes raisons qui chacune, à elle seule, peut expliquer qu’un scientifique se mette à raconter n’importe quoi.
Vous voyez, ce n’est pas parce que Dr Miller dit quelque chose dans le journal de son association professionnelle que c’est vrai...
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@Agerate
« Je n’ai même pas encore de patients, pour peu que vous ayez la folie d’imaginer que les médecins répandent des mensonges pour gagner de l’argent ! Je suis juste un jeune homme de 33 ans, encore étudiant en médecine après avoir repris mes études suite à une précédente carrière qui ne m’intéressait plus. »A 33 ans, vous semblez d’une incroyable immaturité, vous avez l’air d’un jeune poussin sorti de l’ oeuf !Quid de vos expériences passées dans cette merveilleuse « école de la vie », si riche d’enseignements dont vous semblez totalement dépourvu ? -
@Agerate
Ainsi vous êtes étudiant en médecine, vous pensez que des médecins établis tels le Dr Miller s’amusent à risquer leur carrière en critiquant le dogme du Vih pour se faire mousser et vendre qques bouquins, et vous pensez tout savoir sur ce sujet (et sur de nombreux autres sujets, à n’en pas douter). Super, continuez comme ça ! Je préfère vous savoir dans le camp des dogmatistes que dans le mien :) -
@Vincent Verschoore @vipère
Je comprends mieux pourquoi vous vouliez absolument savoir qui je suis : malgré la grande banalité de mon profil, vous avez tous les deux sauté sur l’occasion pour vous lancer dans des attaques personnelles.
Si ça peut vous éviter de réfléchir à ce que j’ai écrit et vous conforter vos croyances, après tout c’est votre liberté...
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@Vincent Verschoore Oui, je crois avoir cité quatre bonnes raisons qui peuvent pousser certains (médecins ou pas, des êtres humains tout simplement) à raconter n’importe quoi. D’autant plus que la société anglo-saxonne est beaucoup plus libérale que la notre à ce sujet et que ces médecins ne risquent absolument pas leurs carrières. Je ne vois pas ce qu’il y a de dogmatique là-dedans. Au contraire, de nous deux c’est moi qui affirme qu’on peut douter du discours de Miller et vous qui penser qu’il est... impossible d’en douter.
Qui est dans le dogmatisme ?
La vérité c’est que c’est votre croyance qui vous aveugle, la même dont je parle depuis le début : celle d’un monde en noir et blanc où les « puissants », les savants, les majoritaires sont des menteurs. Les minoritaires, les faibles sont eux toujours sincères... C’est exactement votre argument : il est minoritaire donc il est forcément sincère et risque gros par rapport à la puissance et le vice de la majorité, des compagnie pharmaceutiques et des états ! Eh bien figurez vous que la réalité est plus complexe : parfois les gens minoritaires se trompent. Ça arrivent souvent, même.
Personnellement je n’avais pas d’avis préconçu. J’ai lu. J’ai constaté que c’était idiot. Je le dis.
Deuxième point : le seul argument que vous avancez (vous et les autres) est un argument d’autorité : le « grand » docteur machin affirme que blabla, et d’ailleurs il est soutenu par des dizaines d’autres médecins. Ok, la belle affaire... 100 médecins d’un coté. De l’autre coté :
- Environ 100 millions de médecins dans le monde, donc une part importante de leurs 10 ans d’études consiste à apprendre à lire et critiquer sous tous les angles possibles les études scientifiques
- Des dizaines de millions de chercheurs en biologie
- Des centaines de journaux indépendants qui se sont donnés pour mission de critiquer les avancées médicales
- Les autorités de santé indépendante qui existent dans pratiquement tous les paysCes centaines de millions de personnes ont pour l’écrasante majorité une foi dans leur métier, l’intention d’aider les gens et une solide formation critique. Ils travaillent dans des centaines de milliers d’établissements, d’institutions, de comités scientifiques et de journaux qui sont autant de possibilités d’attaquer une vérité établie, pour peu qu’on ait des doutes (et ça arrive souvent !)
Et selon vous, tous ces gens, toutes ces institutions indépendantes, tous ces comités indépendants, tous ces journaux indépendants, sont tous, sans exception, soit idiots, soit menteurs ?
Tous sauf vos quelques dizaines de Dr Miller ? A qui, accessoirement, vous achetez plein de livres ? .....
Vous m’avez convaincu : je suis un naïf et un dogmatique
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@doctorix : je ne dis pas que vous êtes un âne, et je ne vous reproche encore moins de ne pas avoir de diplôme, je vous reproche seulement de parler d’un sujet que vous ne connaissez pas.
Et je vous explique - puisque vous semblez vous en étonner ! - pourquoi on ne vous prend pas au sérieux : toute personne connaissant la médecine voit immédiatement votre ignorance... Et ce n’est pas une question de diplôme. Sans parler de votre jargon idéologique qui décrédibilise votre discours encore plus (Votre réponse en est un nouvel exemple).
Comment critiquer une science, quand soit-même on n’en maîtrise pas les subtilités ?
C’est cela, et rien d’autre, que je dis. Et c’est bel et bien un argument de fond.
Vous pouvez toujours monter sur vos grands chevaux, vitupérer contre ma fatuité, ça ne changera rien à ce constat évident pour tout médecin, biologiste ou étudiant, même très jeune.
Quand aux « livres » que vous avez lus, la belle affaire... C’est la spécialité des marchands de rêves modernes que de lancer les rumeurs les plus farfelues sur Internet pour ensuite vendre des milliers de livres. Il suffit d’enrober les théories dans du jargon pseudo-scientifique et des théorie complotistes pour convaincre tous ceux qui n’ont pas le bagage suffisant pour lire une étude scientifique... et se faire du fric facile !
La bible aussi c’est un livre. Ca n’en fait pas un ouvrage pertinent sur le plan médical.
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Agerate, des médecins vont dans le sens des propos de l’auteur, ce qui vous discrédite totalment, pour ce faire, lisez ceci :LETTRE A UN CONFRERE MEDICALEDécembre 1992
Cher Confrère,
Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés,de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.
Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité,de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.
Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi.A cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA -la soi-disant « Epidémie du Siècle ».
JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe Et Le Virus Ne Sont Pas La Cause Du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.
Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention.Les noms des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lisent comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :
le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard,fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
le Dr Gordon Stewart, Professeur Emérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
- et bien d’autres !
Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine Américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des Etats-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.
Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D-
@Vipère
1° Je ne vois pas ce qui me discrédite dans votre lien.
2° 100 médecins ? Vous savez combien il y a de médecins dans le monde ? Environ 100 millions, et encore, sans compter les chercheurs.
3° C’est marrant cette propension à faire des copier-coller et de n’avoir que des URL comme arguments...
4° J’ai déjà expliqué dans un précédent commentaire que ce n’est pas parce que 1, 10 ou 100 médecins disent une ânerie qu’elle en devient vrai. En effet, potentiellement, plein de gens (surtout dans les pays anglo-saxons) peuvent avoir des intérêts à vous mentir :- D’abord comme je l’ai déjà dit, toute théorie de conspiration permet d’écouler de grandes quantités de livres pour se faire du fric facile. Il suffit de constater les centaines de livres qui ont été publiés sur les soit-disant mensonges concernant les vaccins ou le VIH.
A noter que le fameux Dr Miller, lui aussi, vend des bouquins. Que des bouquins sur les « mensonges » sur le sida, il s’en vend des pelletés.
- Deuxièmement, des raisons de conviction idéologiques. Par exemple, il ne m’a pas fallu chercher longtemps pour constater que le Dr Miller est aussi un fervent militant de la cause libertarienne. C’est son droit. Mais quand il utilise son statut pour déformer la réalité scientifique et la faire rentrer dans une case idéologique, ça me dérange un peu plus.
N’oubliez pas qu’aux Etats-Unis, il est souvent considéré normal de mélanger croyances et sciences...
- Troisièmement pour vendre de l’image. La médecine étant essentiellement privée aux Etats-Unis, faire parler de soi est un excellent moyen de se faire de la publicité gratuite pour sa clinique ou son cabinet... Et faire grimper le prix des consultation ! Ca vaut bien quelques approximations.
- Quatrièmement pour faire parler de soi, tout simplement. La recherche du bonheur chez chaque individu est d’une complexité infinie... Chez certains ça passe par la reconnaissance, la célébrité... Devenir connu en faisant ou racontant n’importe quoi, c’est très facile. Surtout aujourd’hui à l’ère d’internet. Faire des méta-analyses sérieuses de la bibliographie scientifique, ça, c’est très long, c’est chiant, et ça ne rend pas célèbre. Balancer les théories les plus farfelues sur Internet, c’est facile, et ça fait parler de soi.
Je remarque que ce sont souvent les gens qui parlent de conspirations qui sont les premiers à tomber dans les panneaux les plus grossiers ... -
«° 100 médecins ? Vous savez combien il y a de médecins dans le monde ? Environ 1.00 millions, et encore, sans compter les chercheurs »Méditez ceci, Monsieur l’étudiant en... ?Savez-vous qu’il y a très peu de bergers pour des millions de moutons ?Que ces millions de moutons restent sagement dans le pré carré, sans jamais se demander ce qu’il y a derrière la clôture ?-
@Vipère « Savez-vous qu’il y a très peu de bergers pour des millions de moutons ? »
Super, vous seriez très bon comme prêcheur ou gourou.
Mais moins bon débatteur puisqu’en l’occurrence vous confirmez mes propos : je ne faisais que répondre à l’argument de l’un de vos copain d’idéologie : « Il est impossible que 100 médecins se trompent ».
Et bien si, il est possible que 100 médecins se trompent... C’est le cas ici.
-
@Vipère PS : je viens de voir que c’est... à vous que je répondais sur le nombre de médecins.
C’est donc encore pire : vous vous contredisez tout seul.
- D’abord vous me dites que « une centaine » de médecins sont d’accord avec vous, et donc que c’est vrai.
- Je vous réponds que 100 sur 100.000.000 c’est pas beaucoup
- Vous me répondez que ce n’est pas le nombre qui compte !Faut savoir... Sérieusement, j’ai pas l’impression de discuter avec des gens très sérieux ici. Comment, avec une capacité de raisonnement aussi faible que la votre, vous pensez être capable de critiquer et d’évaluer une science moderne ? Avec la complexité et la rigueur inimaginable qui la caractérise aujourd’hui ?
Sérieusement ?
-
@Agerate
« Et bien si, il est possible que 100 médecins se trompent... C’est le cas ici »
Eh bien prouvez-le avec des arguments scientifiques, alors que vous, vous complaisez dans la surenchère polémiste stérile !Je vous mets sur une piste, un seul médecin, en l’occurence une femme, Irène Frachon, pneumologue a mis à le pavé dans la marre avec le Médiator.Seule contre tous. Contre tous ses confrères médecins qui se taisaient en connaissance de cause. Des morts auraient été évitées, si le corps médical avait parlé dès le début ...Donc, le nombre ne fait rien à l’affaire, il suffit d’une seule voix qui dénonce la nocivité d’un produit ! -
@Agerate
« Et bien si, il est possible que 100 médecins se trompent... C’est le cas ici » »
Eh bien prouvez-le avec des arguments scientifiques, alors que vous, vous vous complaisez dans la surenchère polémiste stérile !Je vous mets sur une piste, un seul médecin, en l’occurence une femme, Irène Frachon, pneumologue a mis le pavé dans la marre avec le Médiator.Seule contre tous. Contre tous ses confrères médecins qui se taisaient en connaissance de cause. Des morts auraient été évitées, si le corps médical avait parlé dès le début ...Donc, le nombre ne fait rien à l’affaire, il suffit d’une seule voix qui dénonce la nocivité d’un produit ! -
@Vipère Trois points :
- « Surenchère polémiste stérile » : vous êtes bien mal placé pour dire ça, de tous ceux avec qui j’ai discuté ici, vous êtes de loin celui dont les interventions sont les plus creuse, les moins intéressantes et les plus bêtement agressives.- Concernant le médiator, ça prouve bien que même pour une affaire infiniment plus petite qu’un éventuel mensonge global sur la physiopathologie du SIDA, ses tests et ses traitement (il ne s’agissait que d’un effet secondaire d’un anti-diabetique, infiniment plus facile à cacher, d’autant que fabriqué par un seul laboratoire) la vérité fini toujours par sortir. Et contrairement à ce que vous dire, elle n’était pas seule. De nombreux institutions nationales (comme en Suisse par exemple) on interdit très tôt le médicament à cause de ses dangers à long terme. De nombreuses publications ont soutenu que le médicament était dangereux (la revue prescrire par exemple). Le pire exemple de ratage dans la pharmacovigilance (le médiator) est infiniment plus petit qu’une conspiration entre tous les laboratoires de la terre, toutes les revues scientifiques, toutes les institutions de pharmacovigilance de la planète pour nous faire croire à une maladie qui n’existe pas, faire des tests qui inventent des maladies, et des traitements dangereux pour des maladies inexistante. Vous ne vous rendez pas compte de ce que vous dites !
- Troisième point, vous vouliez de l’argumentation de fond ? OK. Le Dr Miller affirme que le test de VIH n’est pas spécifique et donc créerait de faux malades. C’est simplement faux. Le diagnostic se fait avec plusieurs tests, dont un test sensible = avec des faux positifs (dépistage) en général un test ELISA et un test spécifique = avec des faux négatifs (confirmation), en général un Western Blot, le cumule des deux éliminant toute erreur. Qui plus est on est capable de mesurer précisément le taux de virus dans le sang, c’est même ce qu’on fait en routine, ça s’appelle la « Charge virale ».
Donc Miller raconte n’importe quoi. Si vous gobez vraiment que les médecins font des diagnostics de VIH à l’aveugle, comme ça, au petit bonheur la chance, alors effectivement, je comprends que vous puissiez croire à toutes les conneries qu’il raconte.Voilà. Vous en voulez encore ?
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Je remarque que de tous ceux avec qui j’ai débattu ici, et qui défendent les théories du Dr Miller, aucun n’a le moindre bagage de connaissances biologiques ou médicales que nous permettrait de discuter un peu du fond ensemble (et non pas seulement des attaques ad hominem, des arguments d’autorité ou des copier/coller idiot de textes en anglais mal traduits...)
D’un coté je le regrette.
D’un autre coté c’est logique : quiconque s’y connait un peu ne peut que sourire (ou pleurer) en lisant ces âneries.
J’aimerais avoir quelqu’un qui s’y connait en face de moi, juste pour lui parler de dépistage, de test de confirmation, de sensibilité et de spécificité, d’antigène, d’ELISA et de Western Blot, juste pour qu’il constate par lui-même que ce raconte le Dr Miller à propos des tests qui créeraient de faux malades (en autre) est complètement débile...
Mais non, je n’ai en face de moi de des gens qui n’y connaissent rien et qui sont impressionnés par l’apparence scientifique des textes de Miller et les autres, et qui sont convaincus de faire parti de l’élite qui est au courant du « mensonge » et de la « conspiration ». Difficile de discuter
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@Agerate
En conclusion et pour terminer là !
A l’inverse, un seul homme, le puissant Jacques SERVIER a pu imposer à de nombreux médecins et confrères, la prescription d’un médicament dangereux pour des patientes par des méthodes dont on peut aisément imaginer qu’elles n’ ont rien à voir avec l’éthique et la déontologie médicale et, cela a passé comme un lettre à la poste, jusqu’à ce qu’Irène Frachon dénonce le pot aux roses. (c’est une métaphore, ne cherchez pas de midi à quatorze heures)
La puissance d’un grand groupe et l’argent corrompent tout et tous, y compris des médecins !
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@Vipère
Déjà répondu dans un autre commentaire. Non, l’argent ne corrompt pas tout. Ça c’est votre croyance (les puissants sont méchants, les petits sont gentils).La preuve, la revue prescrire et de nombreux médecins ont dénoncé le problème depuis des années. Des études scientifiques ont remis en cause les qualités du médiator, plusieurs autorités de santé dans le monde ont rapidement interdit le médiator (la Suisse par exemple) et Frachon a, courageusement permis de donner le coup de grâce en France.
Il y a eu un énorme raté, c’est clair, le médiator est le pire exemple de raté dans l’histoire de la pharmacovigilance, en France. Mais même ce pire raté (aussi terrible soit-il) demeure un tout petit phénomène en regard de l’immensité de l’avancée médicale française, du nombre de patients soignés et du nombre de médicaments ou de gestes médicaux effectués. C’est bien la preuve que la pharmacovigilance est globalement très efficace en France (dans tous les pays occidentaux).
Comparativement, votre théorie du SIDA qui ne serait pas le VIH est complètement farfelue. On ne parle pas d’un effet secondaire rare d’un obscure antidiabetique... Vous décrivez un mensonge infiniment plus gros, qui impliquerait une conspiration entre tous les laboratoires du monde, avec toute les agences de médicaments du monde, toutes les agences de santé du monde, et tous les (vrais) journaux scientifiques du monde. Excusez moi de le dire aussi crûment mais c’est débile.
Enfin, je vous rappelle que Frachon a publié des études scientifiques pour se faire entendre... C’est quand même une grosse différence avec vos « scientifiques » qui postent des articles sur des blog, mais qui ne publient aucun article scientifique.
On ne risque pas de critiquer leur méthodologie : il n’y en a pas !
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@Agerate
(...) Je remarque que de tous ceux avec qui j’ai débattu ici, et qui défendent les théories du Dr Miller, aucun n’a le moindre bagage de connaissances biologiques ou médicales que nous permettrait de discuter un peu du fond ensemble (...)C’est une constante sur Avox. Ceux qui affirment leurs certitudes sont souvent dénués de connaissances sérieuses, et d’objectivité... On est dans la théorie du complot et la paranoïa permanente à toutes les sauces. Et le débat ne peut pas avancer face à des convaincus nourris aux seuls sites complotistes... Alors bon courage -
J’attends avec impatience de lire votre these sur la causalite vih/sidafermez le ban !-
@Vipère
Ma « thèse » ? Tapes « hiv aids » dans le moteur de recherche PubMed Ben oui, c’est autre chose que les scriboullis du Dr Miller. Mais tu me diras, Miller lui, au moins, il en vend des bouquins !Une chose est sûre, en tout cas, mais thèse comme tu dis ce n’est certainement pas celle d’un mec qui explique avec tout le sérieux du monde que les tests du VIH ne sont pas spécifiques (il a fumé quoi ce mec ? :-0 )
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@Vipère PS : la causalité VIH-SIDA nécessite de connaissances tellement basiques en immunologie pour la comprendre qu’elle est enseignée au baccalauréat aujourd’hui.
Acheter un livre de biologie de première / terminale, lisez le, et ensuite on discutera de pertinence ou non de ce que dit Miller.
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@Agerate
Au programme du Bac, on enseigne aussi que la France est une grande démocratie et la Russie une dictature.Et là encore, vous n’avez aucun doute. -
@doctorix Ce sont vos fantasmes. Je l’ai passé voilà pas si longtemps et je n’ai rien vu de tel.
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« Oui, je crois avoir cité quatre bonnes raisons qui peuvent pousser certains (médecins ou pas, des êtres humains tout simplement) à raconter n’importe quoi. »
Agerate, là, vous avez bien résumé la situation. C’est à peu près la seule chose évidente qu’on peut retenir, et Gallo rentre bien dans cette catégorie.Maintenant, vous me dires que vous n’avez jamais encore vu un patient, et je ne vous le reproche pas.Seulement des patients, cela fait 40 ans que j’en soigne. Je pense avoir ce qui vous manque, c’est-à-dire l’expérience.J’ai encore quelques souvenirs de mes études, et j’ai une fille en cinquième année, très brillante, dans une grande faculté : je sais donc que, comme les siennes, vos connaissances en virologie sont encore extrêmement réduites (surtout par rapport à ce que vous nous en dites) et limitées au dogme. Je sais que vous allez passer quelques heures à étudier les vaccins, pas plus, et que vous croirez tout en savoir. Quand vous aurez terminé votre cycle, ce que je vous souhaite, vous serez pris en main (c’est déjà commencé, je suppose) par cette engeance mercantile qu’on appelle les visiteurs médicaux, qui peaufineront votre intoxication sur le long terme, et vous aurez alors l’impression de tout savoir.Un jour viendra, et je souhaite que ça ne mette pas trente ans, comme moi, où vous vous direz : « Mais on se fout de ma gueule, là !!! ».Je souhaite que cela vous arrive, mais c’est quand même assez rare : parce que, comme vous le verrez, c’est quand même bien plus confortable d’entrer dans les pantoufles de la science officielle, d’adopter ses mensonges, et de s’en remplir les poches.C’est aussi très difficile de reconnaître qu’on s’est planté pendant 30 ans, humainement parlant. En plus, c’est très risqué, et les chiens de garde du Conseil de l’Ordre tiendront fermement votre laisse. Alors, argent et sécurité d’un côté, pénurie et risques de l’autre, ça ne vous incitera pas beaucoup à vous poser des questions.Aussi, une fois de temps en temps, quand vous aurez un petit moment, dans les années qui viennent, pensez très fort à moi, et demandez-vous, juste un tout petit peu : « Et s’il avait raison ? »..Vous avez mentionné ces médecins dissidents « qui vendent des livres ».. ; En dehors de quelques-uns qui percent, les auteurs de livres, et surtout de ce genre de livres, ont une diffusion extrêmement limitée, et travaillent à perte. Croyez-moi, ça ne vaut vraiment le coup d’y risquer sa carrière, surtout si on est brillant, comme c’est souvent leur cas. Pensez à Duesberg, le meilleur virologue du monde, reconnu tel avant ses « pêchés », qui s’est vu vilipendé, honni par la secte médicale, et privé de toute subvention, des laboratoires ou de l’Etat : ça, c’est un vrai courage.Il est bien plus rentable de se faire un book en publiant dans les revues officielles, ce qui vous vaut honneurs, invitations fortement rémunérées dans les congrès, voyages dans les îles payés par les labos sous divers prétextes plus ou moins légaux. Mais alors il faut se contenter de régurgiter le vomi conventionnel, toute idée destructrice du passé étant proscrite.Allez, bon courage mon p’tit gars. Mais ouvrez l’œil.Très joli, l’agérate : attention, c’est aussi une fleur de cimetière...-
@doctorix Premier point, l’âge :
Ne le prennez pas personnellement, mais la plupart du temps ce sont les jeunes médecins les meilleurs. La science évolue tellement vite, qu’à moins de faire un gros et régulier travail de mise à jour, on est très rapidement dépassé. Les jeunes médecins qui ont en même l’expérience de l’internat le bagage scientifique le plus récent, et les connaissances scolaires les plus fraiches, sont de loin les plus à même de faire du travail efficace.Exemple personnel (qui n’a pas de valeur universelle, mais qui est quand même parlant) : j’ai trainé pendant 15 ans une maladie chronique rare (mais pas si rare !) qui ont progressivement détruit mes reins. J’ai vu une douzaine de médecins (des vieux médecins) qui, tous sont restés perplexes. Ce n’est que le douzième, un dermato qui venait d’ouvrir son cabinet, qui a immédiatement compris ce que j’avais et m’a hospitalisé directement, me sauvant la vie du même coup (ma fonction rénale est sévèrement altérée à cause des 15 années perdues).
Et vous savez quoi ? J’ai appris en... seconde année de médecine que le symptôme que je présentais devait toujours être pris très au sérieux car qui faisait soupçonner une atteinte rénale. En seconde année de médecine !
Donc quand vous me dites « Mon petit, tu verras quand tu auras 40 ans de métier » ... Avoir 40 ans de métier n’est pas du tout une garantie d’être un bon médecin, au contraire.
Encore une fois ne le prenez pas personnellement. C’est bien vous qui avez mis en avant cet argument de l’âge, vous comprendrez que j’y réponde. C’est quand même frappant de se dire que qu’à l’époque de vos études, le SIDA n’existait même pas ! Je ne vois vraiment pas en quoi ça fait de vous quelqu’un de plus crédible !
Enfin pour conclure sur la question de l’âge : une immense majorité des vieux médecins pensent que vos histoires de conspiration, ce sont des conneries. Ce n’est donc pas une question d’âge.
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@doctorix Second point, le fond :
Je suis super choqué que vous soyez vraiment médecin.Comment un médecin (en exercice ) peut ne pas bondir sur sa chaise, quand il entend affirmer Miller que les tests du VIH amène à diagnostiquer des faux malades !
Sérieusement ? Ca ne vous choque pas ???
Vous avez déjà entendu parlé de spécificité, de sensibilité, de tests de dépistage et de tests de confirmation, de ELISA, de Western Blot, de charge virale ?
Quel genre de médecin êtes vous pour gober de telles conneries ? Si un patient vient dans votre cabinet avec un test de dépistage positif, que doit-on fait à votre avis ? Vous croyez vraiment que la recommandation est de dire « Le diagnostic est posé, vous avez le VIH ? »
Sérieux vous me faites peur...
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@Agerate
J’ai certainement de grosses lacunes, et je tente d’y remédier. Les connaissant, je collabore largement avec de bons spécialistes, et ne m’obstine jamais dans mes insuccès (j’en ai !) : la modestie, en tous cas en ce domaine, est ma règle.Mais il est des domaines où aucun jeune (ou vieux) médecin ne me sera supérieur, parce que je les ai énormément étudiés, sans doute plus que tout autre : les vaccins en font partie, et pendant un long moment en tous cas, je ne serai pas d’accord avec vous ; mais vous y viendrez tôt ou tard, avant ou après le consensus.Quant au Sida, je suis né avec, si on peut dire.J’en ai vu tous les balbutiements, et je les vois encore. Je le connais bien. Mais je ne le soigne pas, c’est un domaine réservé...Quant un jeune a le malheur de me présenter un test positif, il m’échappe. Je lui dirais bien d’aller se faire négativer en Australie, mais c’est trop cher...Maintenant, si j’avais à le soigner, je serais bien embêté (heureusement, dans nos campagnes, c’est assez rare).Je serais aussi embêté que ces dissidents repentis qui ont cédé au « A cause de vous, des centaines de milliers de gens vont mourir », rien de tel pour vous glacer le dos, même si intérieurement je me dirais « Et pourtant elle tourne ». Cet argument massue est un vrai handicap pour toute réflexion saine et impartiale.Pour les vaccins, c’est autre chose. En dehors des vaccins obligatoires (précaution oratoire), c’est non, et j’explique, longuement, je donne à lire. Ou bien on me suit, ou bien on va voir ailleurs. Parfois on vient me voir de loin parce que c’est non, mais c’est loin d’entraîner ma richesse...Je fais ce qui est prescrit par la loi, et jamais appliqué, j’explique les avantages et les inconvénients de la vaccination : il y faut des heures ! Et quand on a tout bien expliqué, la réponse ne peut être que « Non ». Ou alors vous avez mal expliqué, avec a-priori et partialité. Certains salopards de pédiatres n’hésitent pas à proférer : « Mais vous voulez tuer votre enfant ? », alors qu’en cédant, leur enfant sera cinq fois plus souvent malade et pourra parfois mourir, ou subir un trouble neurologique irréversible.Mais trois sont encore obligatoires, alors à quoi ça sert d’expliquer ? Il ne faut expliquer que pour obtenir une réponse positive ? et dans la négative piquer quand même pour que l’enfant entre à la crèche ? Dictature de la pensée...Hypocrisie monstrueuse.Vous avez peur de moi ? Vous avez tort. Il n’y a pas plus prudent que moi. Ainsi, je ne prescris jamais un nouveau médicament avant dix ans, sauf exception extrêmement rare. J’en ai trop vu arriver avec tambours et trompettes et repartir en catimini, la queue entre les jambes : une bonne partie de ceux dont vos cours de pharmacologie et de thérapeutique (extrêmement réduits, je le sais) vous vantent aujourd’hui les mérites.Cette médecine toute chimique, qui vous paraît aujourd’hui la seule valable et possible (et elle l’est parfois), vous en reviendrez : l’expérience, c’est ça.La chimie médicamenteuse tue officiellement 13 à 14.000 personnes par an, et un médecin tue donc un patient tous les huit ans. Officiellement. A mon avis trois plus souvent. Et certains bien plus que d’autres.Mais chut !!! Il ne faudrait pas que les médicaments tuent plus que le cancer... -
@doctorix Vous pensez vraiment qu’il faut 40 ans d’expérience pour savoir qu’un nouveau médicament est plus dangereux qu’un ancien ? Et à part ça vous êtes modeste... Pour info c’est la première chose qu’on apprend à la fac... avant même de commencer la pharmacologie. On va pas non plus vous donner une médaille.
Vous avez l’air également d’être très fier de savoir que les médicaments ont tous.... des effets secondaires. Je suis très impressionné.
Sur le fond vous n’avez pas répondu à ma question : si vous ne savez même pas qu’un diagnostic de VIH ne se fait pas sur une simple sérologie, je comprends pourquoi vous prenez pour argent comptant les âneries que raconte Miller !
Bien sûr que le dépistage donne des faux positifs.... C’est ce qu’on lui demande ! Le but d’un dépistage est d’être le plus sensible possible. On peut même le répéter plusieurs fois le test ELISA pour augmenter la sensibilité. Dans un second temps on réalise un test de confirmation à l’aide d’un Western Blot, qui lui, a l’avantage d’être spécifique. Et ensuite, quand le diagnostic est posé, on est réalise des Charges virales pour mesurer le taux de virus dans le sang et suivre l’évolution de l’infection.
Évidemment qu’on sait détecter le virus dans le sang ! Comment, en tant que médecin, pouvez-vous croire un type qui raconte de telles conneries ? C’est ahurissant, vraiment.
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@Agerate
Pour la dernière fois, on ne trouve pas de virus chez un malade du sida.On amplifie un acide nucléique qui est censé lui appartenir, parce qu’il est beaucoup trop rare.Une maladie virale mortellement évolutive sans virus trouvé, ce serait ça le Sida ?C’est une plaisanterie. Dans toute maladie virale évolutive on trouve des virus à la pelle.Il n’y pas de virus parce que l’organisme s’en est débarrassé par des anticorps, et ce sont les seules traces qu’il laisse.
Ce n’est pas lui qui tue, parce qu’il a disparu, et qu’il n’était pas dangereux.On peut être VIH positif et avoir le SIDA, comme on peut avoir la vérole et un bureau de tabac.Concernant la PCR, cet article a quatorze ans mais je crois que rien n’a changé : -
@Agerate
« Bien sûr que le dépistage donne des faux positifs.... C’est ce qu’on lui demande ! »Ah bon ?Et on lui demande aussi de donner des faux négatifs ? Ces tests remplissent alors admirablement leur fonction.Alors autant demander à ma concierge si tel patient a le Sida : statistiquement, elle ne se trompera pas plus souvent.Je croyais, dans ma naïveté, que ce qu’on demandait à un test, c’était de donner des vrais positifs et des vrais négatifs...Ce que c’est que le progrès, tout de même ! -
L’expérience a déjà été faite mille fois : en supprimant le facteur drogue, on observe une transmission directement liée aux risques sexuels.
Quand à la sexualité tarifée, le VIH ne se transmet pas par les billet de banque... Et alors ??
Le type vous explique de le VIH ne se transmet pas par le sexe, et qu’on ne sait pas détecter le VIH (Le Western Blot c’est de la merde ? La RT-PCR, c’est du caca ?), et vous vous gobez tout ça ? Formidable !
Sérieux les mecs, faut vous réveiller là !
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@Agerate
« Le Western Blot c’est de la merde ? La RT-PCR, c’est du caca ? »Je ne vous le fais pas dire, même si je ne l’aurais pas dit comme ça.Sortez de vos bouquins.Ce n’est pas parce qu’on confirme un test de merde par un autre test de merde encore plus coûteux qu’on obtient une fiabilité.Quand bien même on détecterait un VIH, s’il est inoffensif, quel intérêt ? Et s’il est inoffensif, que nous importe qu’il soit transmis par voie sexuelle ?Et c’est là le cœur du problème, et la question qu’on se pose.De plus, la PCR, de l’avis même de son inventeur, n’est pas fiable pour détecter le VIH.« et vous vous gobez tout ça ? Formidable ! »On aurait pu tout aussi bien dire ; vous êtes positif à la grippe, donc vous avez le Sida ; et il y aurait des millions de sidéens. Je crois que c’est ce qui s’est passé : une association arbitraire au départ, décrétée non par des scientifiques mais par un Etat, sur aucune preuve tangible, juste sur les délires d’un type, un raté et escroc notoire, par ailleurs, Robert Gallo (Montagnier ne confirmait pas cette hypothèse saugrenue, avant d’être pris dans le bain, et il est resté bien plus prudent).Avec ensuite des centaines de scientifiques qui refusent d’envisager une seconde qu’ils puissent avoir été trompés, et qu’ils aient marché à côté de leurs pompes pendant des années.Et une industrie qui s’y retrouve et empêche toute recherche sérieuse, en ne subventionnant que les recherches et les résultats qui ne vont que dans un sens : celui de leur porte-monnaie.Vous imaginez les ruines, les scandales, les procès à n’en plus finir, si on revenait en arrière sur des bases saines ?Je vous laisse un document, sur la fiabilité qu’on peut attendre d’un Robert Gallo. Lisez-le : il est ancien, mais la crapulerie est toujours aussi présente :Dès la première année, les tests du Sida ont commencé à rapporter 100 millions de dollars par an. Le reste coule de source. -
@Agerate
Ne trouvez vous pas étrange que parmi les milliers de chercheurs honnêtes de cette planète, qui tous planchaient sur le sujet, ce soit précisément le plus crapuleux d’entre eux qui ait décroché le Jack-Pot, après avoir tenté vainement de fourguer son HTVL1 dans la leucémie et son HTVL 2 je ne sais où. Le HTVL 3 lui a enfin donné les clés de la gloire.Je vais vous dire comment ça a du se passer, à mon sens (simple hypothèse, à prendre avec le sourire, jaune au besoin).Le jour de l’annonce, grand branle-bas de combat dans les stafs de tous les labos du monde.« Mes cocos, cet enfoiré de Gallo a réussi à persuader une connasse au gouvernement des USA que le Sida était une maladie virale et que le HIV en était le coupable. Il est bien le digne de descendant de Rockefeller, qui vendait son pétrole contre la toux. Pour nos recherches, c’est complètement grillé.Vous et moi, nous savons que c’est une foutaise, mais maintenant, avec la publicité faite autour, on ne peut plus revenir en arrière.Il n’y aura plus de subventions que pour ce qui concerne le HIV.Donc on ne cherche plus sur le SIDA, mais on va combattre le HIV. Ça n’a rien à voir mais tant pis. Dans un premier temps, on va leur fourguer un vieux poison qu’on avait abandonné tellement il tuait de monde, l’AZT. Ensuite, on trouvera des trucs qui tuent aussi, mais plus lentement, faut pas que ce soit trop visible.Le premier qui remet en cause l’idée que le HIV n’a rien à voir avec le Sida est viré : c’est une question de survie du labo, et de l’industrie pharmaceutique en général, qui ne trouve vraiment plus rien à vendre ces temps-ci.Compris ? A vos éprouvettes. »Je ne tenais pas la chandelle, mais je vois bien ça comme ça. -
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@Agerate
Votre lien a tout à avoir avec la Kamasutra, mais rien avec le rapport Sida-drogue.S’il y en a eu mille, vous devez bien pouvoir me trouver une étude ? Moi, j’ai celle de Duesberg...et bien d’autres. Mais elles disent qu’il y a 10 à 20 fois plus de sidéens chez les usagers de drogues IV. Même les moins dissidentes. -
@doctorix C’est donc confirmé : vous ne savez pas lire une étude scientifique (c’est pourtant la base de votre métier)
En plus, vous ne savez rien de la façon dont on rend un diagnostique certain (test sensible + test spécifique), ce qui est du niveau de seconde année de médecine, en 2015.
Vous êtes non seulement un mauvais médecin, sortant directement de la préhistoire scientifique (les années 70 !) sans aucune mise à jour sérieuse de vos connaissances.
Vous êtes dangereux. La chose la plus sûre que vous pourriez faire pour protéger vos patient, c’est d’arrêter de travailler. Vraiment. Je suis sérieux.
Rien à ajouter. Vous êtes flippant.
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@Agerate
test sensible + test spécifiqueDécidément, vous ne voulez pas comprendre que ces tests ne sont ni sensibles (ou trop) ni spécifiques.Ils concernent un VIH qui est sans rapport avec le Sida, et ne sont même pas capables d’en affirmer la présence avec certitude (ce qui est d’ailleurs sans importance).Vos livres vous trompent, et pérennisent un mythe.Les jugements d’un petit mec a moitié médecin qui fait encore dans ses couches ne me font ni chaud ni froid. Ils sont de plus en totale contradiction avec le serment d’Hippocrate, dont rien ne nous dit que vous le prêterez un jour. Vous savez, ce vieux truc qui parle du respect dû aux confrères, et plus encore aux aînés.Ils ne méritent qu’un petit coup de pied au cul.Vous êtes le prototype de la médecine qui à le vent en poupe et que je déplore : ignorance et prétention. Croyance aveugle. Fatuité sans limite. Celle qui a permis au Médiator de survivre plus de trente ans.
La chose la plus sûre que vous pouvez faire pour protéger vos patients est de ne pas en avoir. Jamais. Parce que les miens, de patients, ils ont un taux de bonne santé et de survie dont vous ne pouvez même pas rêver. -
Allez plutôt vous faire recruter par les labos : ils confirmeront toutes vos illusions, vous n’aurez pas de contradicteur, pleins d’encouragements (les naïfs de votre trempe ne courent pas les rues) et en plus ils payent bien.
Pendant ce temps là, la mortalité directe va diminuer, avec un prédateur en moins. -
Et dix, vingt ans plus tard, vous ferez vos confessions :
Qui sait, vous ferez peut-être un best-seller sur l’escroquerie du VIH SIDA ? -
@doctorix En faisant le tri entre vos insultes et vos attaques ad hominem, il ne reste pas grand chose niveau argument de fond. Juste :
"Décidément, vous ne voulez pas comprendre que ces tests ne sont ni sensibles (ou trop) ni spécifiques.
Ils concernent un VIH qui est sans rapport avec le Sida, et ne sont même pas capables d’en affirmer la présence avec certitude (ce qui est d’ailleurs sans importance).«
1° C’est bel et bien ce qu’explique le docteur Miller-Machin : les tests ne sont pas fiables, et donc on invente des faux diagnostic de VIH. C’est là-dessus que je réagis. C’est une grosse connerie et ça prouve bien qu’il raconte n’importe quoi et que seuls les gens qui n’ont strictement aucune connaissance médicale (je ne parle pas de connaissances évoluées) peuvent ne pas voir que c’est un charlatant.2° »ne sont même pas capables d’en affirmer la présence avec certitude« Eh bien si, bien sûr que si, cher confrère...
Et quoique vous en dites c’est important puisque c’est un point clef de son argumentaire.
Et si ça ne fait pas parti de son argumentaire, ça signifie qu’il essaye à tout prix d’instiller le doute même là où il n’y en a pas, ce qui confirme qu’il est dans un objectif de manipulation, et non d’argumentation rationnelle.
Dans les cas, son argumentaire n’est pas rationnelle.
Vous pouvez toujours m’insulter et vous cacher derrière votre logorrhée à propos des labo qui contrôlent le monde, des étudiants soumis aux »dogmes« , des médecins »malhonnêtes" à la manipulation des états et des médias, blablablabla, ça ne rendra pas le papier du Dr Miller-machin plus intelligent. -
@Agerate
si tu veut te prendre la tête avec lui, parle de laetril ou de végétarisme.
tu vas rire. le sérum de quinton est drôle aussi. -
Je vais lire le lien, l’étude de Willner de 1992 (y a plus de 20 ans quand même) sur la (soi disante ?) supercherie liée au SIDA et déjà dans l’intro, je tombe là dessus :(...) C’est la fin du rationalisme matérialiste, car des études sont également faites sur l’effet bénéfique de l’amour, l’espoir et la joie (...)Waou !!! et l’eau ça mouille !!! ça valait bien le « coût » de faire des études universitaires pour découvrir que quand on a le moral, ben ça va mieux .... (La Palisse n’aurait pas dit mieux...)J’ose espérer que les étudiants en médecine n’ont pas besoin de cours spécifiques pour leur enseigner que le moral d’un patient est essentiel dans sa guérison. Il suffit d’être perspicace et surtout humain...-
Quand des médecins osent dire que le SIDA ne se transmet pas sexuellement, ils devraient être jugés, condamnés et interdits d’exercice de la médecine.
C’est carrément des criminels....-
@Agafia
On dit « ce sont des criminels », prouvant ainsi qu’on a un minimum de culture et de crédibilité.Ceux qui déconseillent les vaccins aussi.Quant à ceux qui cumulent, la peine de mort ne serait que trop douce.Pourtant nous sommes un certain nombre à survivre, avec la conviction de faire et de dire ce qu’il faut, en toute conscience, et sans bénéfice espéré, au prix de nombreux risques et désagréments..Mais si le VIH n’est pas responsable du SIDA, et qu’on n’en cherche pas les causes véritables, et si on terrorise inutilement plusieurs générations au sujet du sexe, si on les soigne inutilement avec des médicaments dangereux alors qu’ils n’ont rien, alors dites moi : qui sont les criminels ?Quand vous aurez un commentaire éclairé et argumenté à faire, ne vous gênez pas.Il est bien possible que le VIH se transmette sexuellement, il n’entraîne qu’une maladie bénigne et on s’en fout un peu.Le SIDA a d’’autres causes, que vous connaîtriez si vous ne vous contentiez pas de survoler le sujet. Vous êtes un fasciste.Et si je vous en donne la définition, vous comprendrez que ce n’est pas une insulte gratuite ou inadaptée :« Niant l’individu et la démocratie au nom de la masse incarnée dans un chef providentiel, le fascisme embrigade les groupes sociaux (jeunesse, milices) et justifie la violence d’État menée contre les opposants assimilés à des ennemis intérieurs. »Je crois que vous venez d’en donner un exemple.Et si l’amour et la joie de vivre sont un facteur de santé et de guérison au moins aussi important que les médicaments, il n’est jamais inutile de le rappeler de temps en temps. -
@Agafia Laissez tomber, j’ai parlé un peu avec lui, cette personne qui se dit « médecin » ne sait même pas lire une conclusion d’étude scientifique (je ne parle même pas de lire et critiquer une étude entière !). Il ne connaît rien des concepts sémiologiques de base (sensibilité, spécificité). Il ne connait à peu près rien des techniques biologiques moderne, à part les âneries qu’il a lu sur quelques sites conspirationnistes...
D’un coté il n’a même pas les connaissances de base pour comprendre, évaluer, et critiquer quoique ce soit rationnellement, et de l’autre... Il s’est convaincu que « tout ça c’est de la merde ».
Bref, mon dernier espoir est qu’il mente, parce que si réellement il est médecin, c’est une vision cauchemardesque.
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@Agerate
Un médecin ignorant sera un jour un médecin malhonnête.Que dis-je, il l’est déjà...Professeur Jean Gosset.C’est ce qui figurait au mur de mon bureau lorsque j’étais étudiant.Cette citation figure toujours dans mon cabinet.Je vous conseille de l’adopter.Parce qu’à force de certitudes et d’orgueil, vous êtes en train de devenir ce médecin malhonnête.Vous avez sans doute fort bien jusqu’ici développé votre capacité d’ingurgitation (encore que plus on cause, et moins on fait, et je ne serais pas étonné d’apprendre que vous êtes en fait assez médiocre).Il y a encore beaucoup de travail en ce qui concerne votre sens critique.Vous vous sentez très fort parce que vous défendez le dogme, qui vous protège. C’est absolument sans risque. Et c’est très confortable, encore que pas très glorieux. Vous ferez certainement beaucoup d’argent, car vous avez la capacité de prendre une veste, et d’attendre que ce soit la mode pour la retourner. C’est ainsi qu’un jour, vous renoncerez aux vaccins, ainsi qu’au mythe du Sida. La mode en viendra au milieu de votre exercice, car d’autres que vous, plus courageux, plus vigilants et plus honnêtes, l’auront lancée. Dans vingt ans, peut-être moins, vous rirez de vous-même, et vous rappellerez de moi.Mais vous serez un mauvais médecin, c’est une certitude, parce que vous êtes incapable de vous remettre en question.Que dis-je, vous l’êtes déjà. -
@doctorix Vous avez réussi à publier un argumentaire de 25 lignes avec ... aucun argument de fond.
Uniquement des attaques ad hominem. Vachement « honnête » comme procédé.
Bravo champion !
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AgerateEnfin, vous devriez savoir que la soutenance d’une thèse n’est pas du niveau bac, mais d’un doctorat de médecine, à l’exemple de celle de Gauthier ci-dessous :Année 2011 n° __________ THÈSE POUR LE DOCTORAT EN MÉDECINE (Diplôme d’Etat) PAR GAUTHIER Raphael Né le 8 février 1983 à Paris 14 Présentée et soutenue publiquement le 19 octobre 2011 Etude DEPIVIH : Faisabilité et acceptabilité de la réalisation des tests rapides d’orientation diagnostique du VIH par les médecins de ville en France Président : Professeur Jean François BERGMANN Directeur :Docteur Alain WAJSBROT DES de médecine généraleen France Président : Professeur Jean François BERGMANN Directeur : Docteur Alain WAJSBROT DES de médecine générale........................................................................... ..............................C’est cette thèse sur leVIH que j’aurai aimé lire de votre part, avec les contre arguments que vous avez opposés à Doctorix, pas la dissertation d’un bachelier !-
@Vipère
Oui Vipère.Ce que je remarque, c’est que notre jeune étudiant ne nous a jamais parlé des TRODs.Il nous a abondamment parlé des tests Elisa et Western-Blot, qui datent un peu quand même, de la PTR, mais jamais des 8 TRODs ou tests rapides d’orientation diagnostique, qui ont pourtant près de dix ans d’âge.C’est un peu curieux, sachant que nos débats sur le dépistage étaient centraux.Pourtant, il me semble qu’en fac de médecine, on doit parler des vieilles techniques mais surtout des nouvelles.Je crois que ce petit c.. prétentieux nous mène en bateau, et que sa science se résume aux pages de garde de Google.Par contre cette thèse est remarquable, par ailleurs.Dommage que son sujet soit probablement bidon. -
@doctorix @Vipère
Bel tentative de diversion. Mais en vous acharnant à mettre en avant des tests diagnostiques, vous ne faites que confirmer que vous n’avez rien compris :
- ni en la différence en dépistage et diagnostic
- ni en la quasi totalité de mes messages précédents.Et en plus vous vous permettez de me traiter d’ignorant. Venant de votre part c’est assez plaisant
Vous pouvez toujours me citer 1, 10 ou 100 nouveaux types de test, en ajoutant comme des gosses dans une écoles maternelle « Tu connais pas ça hanlala trop la honte ! ».... Ca ne change rien au fait que les tests de dépistage ne peuvent créer de faux diagnostiques puisque ce ne sont... pas des tests diagnostiques ! C’est ce que je dis depuis le début. Et c’est ce que vous êtes incapables de comprendre, depuis le début. Ce qui en dit long sur vos compétences en médecine (sémiologie médicale niveau bac+2).
Les TRODs ne sont pas des tests diagnostiques.
Donc Dr Miller machin dit n’importe quoi.
Ma démonstration est d’une grande simplicité : pas besoin d’une thèse, ni pour la confirmer ni pour la contre-dire.
Il semble que ce soit votre seule façon de « penser » : faire des copier-coller de trucs écrits par d’autres et que vous ne comprenez pas et insulter les interlocuteurs que vous ne comprenez pas...
Grand bien vous fasse. Aussi je vous laisse dans votre bac à sable. Amusez vous bien, les rigolos.
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@doctorix
Bonjour, je ne sais pas si vous avez été notifié de mon dernier commentaire car je n’ai pas utilisé la fonction « répondre ». Je reposte donc en espérant que vous recevrez mon message et que vous y répondrez rapidement. Encore merci.
Bonjour. Je réagis tardivement à cette discussion car je m’intéresse depuis peu à la remise en question de la théorie VIH=SIDA. J’ai beaucoup lu sur le sujet et je suis de plus en plus convaincu que beaucoup de choses ne collent pas et j’ai à minima la certitude que l’épidémie que les intérêts financiers introduisent un biais très important dans les « vérités » matraquées médiatiquement.Pour tout dire, l’approche consistant à dire que le SIDA existe en tant que syndrome d’affaiblissement immunitaire mais sans pour autant que la cause soit virale retient mon attention. En revanche je pense qu’un test VIH+ indique bien que quelque chose ne va pas bien dans le corps et pourrait être utilisé comme une forme de signal d’alarme devant nous pousser à changer des choses dans notre mode de vie, notre alimentation ou notre médication ou bien simplement à soigner une autre maladie latente qui pourrait évoluer des années plus tard. Je pense que ma position (sauf erreur de ma part), rejoint celle du groupe de perth sur l’analyse globale du test VIH d’une part et du SIDA de l’autre.Néanmoins, 2 points me posent question et alimentent mes doutes quant au positionnement dissident, et je voudrais si vous le voulez bien votre avis sur le sujet.1) Le premier point est que d’après mes lectures, il semblerait que le taux de mortalité parmi les dissidents séropositifs soit assez élevé. L’explication que je m’en fais pour le moment vient conforter l’idée que le test VIH est une sorte d’alerteur qui peut avoir une valeur prédictive sans qu’on comprenne (il me semble) comment cela fonctionne et qu’est ce qu’il détecte exactement.2) Le deuxième point me pose plus de problèmes car je me heurte à mon manque de connaissances en virologie. En effet, j’ai pu lire que des thérapies récentes contre certains cancers (notamment la leucémie) utilisent le VIH modifié pour utiliser ses propriétés de tueur en ciblant les cellules cancéreuses. Il semblerait que cette technique ait un taux de succès important et évite aux malades des traitement lourds et destructeurs (chimios, radios,...). Je suis donc perplexe face à cela car cela voudrait non seulement dire que le VIH existe mais aussi qu’il a bien les propriétés de tueur de cellules immunitaires que lui prête l’orthodoxie médicale.Voilà, je vous souhaite d’ici là une bonne continuation dans votre quête de la vérité car je pense qu’il faut des gens qui se posent des questions dans ce monde ou rien n’est impossible -
@doctorix
Bonjour. Je réagis tardivement à cette discussion car je m’intéresse depuis peu à la remise en question de la théorie VIH=SIDA. J’ai beaucoup lu sur le sujet et je suis de plus en plus convaincu que beaucoup de choses ne collent pas et j’ai à minima la certitude que l’épidémie que les intérêts financiers introduisent un biais très important dans les « vérités » matraquées médiatiquement.Pour tout dire, l’approche consistant à dire que le SIDA existe en tant que syndrome d’affaiblissement immunitaire mais sans pour autant que la cause soit virale retient mon attention. En revanche je pense qu’un test VIH+ indique bien que quelque chose ne va pas bien dans le corps et pourrait être utilisé comme une forme de signal d’alarme devant nous pousser à changer des choses dans notre mode de vie, notre alimentation ou notre médication ou bien simplement à soigner une autre maladie latente qui pourrait évoluer des années plus tard. Je pense que ma position (sauf erreur de ma part), rejoint celle du groupe de perth sur l’analyse globale du test VIH d’une part et du SIDA de l’autre.Néanmoins, 2 points me posent question et alimentent mes doutes quant au positionnement dissident, et je voudrais si vous le voulez bien votre avis sur le sujet.1) Le premier point est que d’après mes lectures, il semblerait que le taux de mortalité parmi les dissidents séropositifs soit assez élevé. L’explication que je m’en fais pour le moment vient conforter l’idée que le test VIH est une sorte d’alerteur qui peut avoir une valeur prédictive sans qu’on comprenne (il me semble) comment cela fonctionne et qu’est ce qu’il détecte exactement.2) Le deuxième point me pose plus de problèmes car je me heurte à mon manque de connaissances en virologie. En effet, j’ai pu lire que des thérapies récentes contre certains cancers (notamment la leucémie) utilisent le VIH modifié pour utiliser ses propriétés de tueur en ciblant les cellules cancéreuses. Il semblerait que cette technique ait un taux de succès important et évite aux malades des traitement lourds et destructeurs (chimios, radios,...). Je suis donc perplexe face à cela car cela voudrait non seulement dire que le VIH existe mais aussi qu’il a bien les propriétés de tueur de cellules immunitaires que lui prête l’orthodoxie médicale.Voilà, je vous souhaite d’ici là une bonne continuation dans votre quête de la vérité car je pense qu’il faut des gens qui se posent des questions dans ce monde ou rien n’est impossible-
@cerebrozone
Bonjour
Pour info, la dernière « production » de doctorix sur ce sujet s’est faite sur ce fil :
www.agoravox.fr/tribune-libre/article/libye-en-route-vers-le-mensonge-d-176134
Dans lequel il défend comme théorie que "Le Sida vient bien de la malnutrition ou de l’abus de drogues« , que »le virus VIH est en aucun cas un danger pour organisme en bonne santé" et que ce sont les traitements médicaux qui génèrent la mort des malades !
PS : Doctorix est aussi capable d’affirmer que la présence d’ovnis sur terre est prouvée mais que les voyages Apollo sur la lune sont bidons
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pemile,
c’est vraiment mesquin, méprisable. -
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