On dit
« ce sont des criminels », prouvant ainsi qu’on a un minimum de culture et de crédibilité.
Ceux qui déconseillent les vaccins aussi.
Quant à ceux qui cumulent, la peine de mort ne serait que trop douce.
Pourtant nous sommes un certain nombre à survivre, avec la conviction de faire et de dire ce qu’il faut, en toute conscience, et sans bénéfice espéré, au prix de nombreux risques et désagréments..
Mais si le VIH n’est pas responsable du SIDA, et qu’on n’en cherche pas les causes véritables, et si on terrorise inutilement plusieurs générations au sujet du sexe, si on les soigne inutilement avec des médicaments dangereux alors qu’ils n’ont rien, alors dites moi : qui sont les criminels ?
Quand vous aurez un commentaire éclairé et argumenté à faire, ne vous gênez pas.
Il est bien possible que le VIH se transmette sexuellement, il n’entraîne qu’une maladie bénigne et on s’en fout un peu.
Le SIDA a d’’autres causes, que vous connaîtriez si vous ne vous contentiez pas de survoler le sujet. Vous êtes un fasciste.
Et si je vous en donne la définition, vous comprendrez que ce n’est pas une insulte gratuite ou inadaptée :
« Niant l’individu et la démocratie au nom de la masse incarnée dans un chef providentiel, le fascisme embrigade les groupes sociaux (jeunesse, milices) et justifie la violence d’État menée contre les opposants assimilés à des ennemis intérieurs. » Je crois que vous venez d’en donner un exemple.
Et si l’amour et la joie de vivre sont un facteur de santé et de guérison au moins aussi important que les médicaments, il n’est jamais inutile de le rappeler de temps en temps.