@Vincent Verschoore
Oui, je me suis fort investi et je désespérais de vous lire...
Nous avons eu ici deux bons spécimen de la « bonne société » dont vous parlez, fermement accrochés au dogme. On les retrouve d’ailleurs dans tous les débats sur ce type de sujet, avec toujours le même type de verrouillage intellectuel.
Il faut les contrer bien sûr, mais aussi les considérer comme nécessaires, parce qu’au lieu de nous ramener dans le rang comme ils l’espèrent, ils stimulent à fond notre esprit critique. Ce qui les rend fous, particulièrement,c’est qu’un sujet issu de la bonne société, un renégat comme moi, ose interférer dans une mécanique si bien huilée, alors que le rôle d’un médecin est censé être de ramener les brebis égarées au bercail. D’où des insultes, attaques ad hominem, à défaut d’arguments concrets autres que copiés-collés.
C’est grâce à eux, paradoxalement, que nous avancerons, car ils caricaturent de façon évidente pour tous l’immobilisme et la sclérose d’une science aussi orgueilleuse que corrompue.
Merci pour cet article, et bravo d’avoir réussi à le faire passer.