@Mmarvinbear
Vous devriez savoir que si on trouve des anticorps chez une personne en bonne santé, cela veut dire qu’elle a vaincu la maladie (n’importe quel test sanguin vous le confirmera, indiquant que vous avez été exposé à telle ou telle maladie, parfois sans vous en apercevoir).
Le diagnostic de séropositivité entraîne un cercle vicieux de stress, de dépression et de médication mortel (voyez la liste des effets secondaires de la trithérapie) et c’est souvent cela qu’on appelle « sida ».
Il n’y a pas de consensus autour du sida, juste une sorte de décret publié par le ministère de la santé américain vers 1984 : « HIV is the probable cause of AIDS ». Ce « probable » laisse suffisamment de marge pour explorer dans d’autres directions. Or ce n’est pas la cas en raison des intérêts financiers en jeu et de la censure et de l’intimidation déployées à la moindre hypothèse non conforme.
Le test de dépistage du sida est éminemment douteux et le « consensus » autour du sida n’existe que parce qu’on interdit depuis plus de trente ans toute autre piste de recherche que la piste virale. Il s’agit d’un cas de corruption scientifique et médicale.
De plus, le test n’est pas harmonisé, ce qui fait qu’en plus de réagir à plus de 70 conditions différentes (stress, rhume, grossesse et j’en passe), il peut être positif ou négatif d’une région du monde à l’autre. (il est du reste renié par son inventeur Kary Mullis ; et je tiens de source fiable que même le mode d’emploi de la machine utilisée pour le test décline toute responsabilité en ce qui concerne le HIV). Le diagnostic est donc bien fragile.
Il y a plus de trente ans, alors qu’on admettait déjà ne pas savoir comment agissait le HIV, on ressortait quand même des placards un traitement, l’AZT, qui est reconnu aujourd’hui comme un véritable poison, même par les tenants de l’orthodoxie VIH. IL y a trente ans, ils auraient affirmé qu’il fallait se soigner à l’AZT et que boycotter ce produit équivalait à un meurtre de masse.
Lisez donc bien les arguments des personnes qui ne croient pas à la causalité VIH/sida ; regardez les documentaires (House of numbers et d’autres sur internet). Lisez, pour un exemple édifiant des effets du conformisme en médecine le Semmelweis de L-F Céline, documentez vous sur une maladie qui s’appelle SMON avant de vous faire une idée, si du moins vous n’êtes pas trop paresseux ou trop conformiste pour vous donner cette peine.