Merci à tous pour vos réactions,et spécifiquement à Doctorix pour son fort investissement dans ce débat ! Pour moi qui suit cette affaire depuis de nombreuses années et lui consacre un article de temps en temps, je remarque de manière générale que l’aspect religieux du débat (la nécessite de « croire » en l’hypothèse du VIH afin de ne pas se faire excommunier par la « bonne société » et, accessoirement, continuer à faire tourner la pompe à fric de l’industrie du même nom ) est toujours aussi vivace mais aussi de plus en plus fragile : des gens qualifiés, issus de cette « bonne société », qui n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre à remettre en cause le dogme dominant, se font entendre. Le delta entre la communication pro-VIH et la réalité épidémiologique est de plus en plus visible pour peut que l’on s’y intéresse un peu.
A ’heure actuelle, le principal frein à la destruction du dogme du VIH, outre l’énorme puissance commerciale, politique et communicante de l’industrie pharmaceutique et des Etats qui ne pourront jamais admettre publiquement une telle erreur, est que la cause réelle du Sida reste complexe - il n’y a pas une réponse toute simple pour remplacer le tout-VIH. C’est donc petit à petit, au fil des possibilités de recherche « dissidentes » et des remises en question en provenance de l’establishment lu-même, qu’un jour on assistera à une réalisation globale de comment une erreur de diagnostic par un faussaire patenté (Gallo) se sera transformée en un empire commercial hyper-profitable (pour certains, dont Gallo) avec tout ce que cela implique de corruption et de pensée unique.
Ca prendra encore des années de travail de sape, mais cela en vaut la peine.