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Commentaire de Loatse

sur Le vivre-ensemble a du plomb dans l'aile


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Loatse Loatse 18 mai 2015 15:42

Bonjour Siatom,


Ce cas de figure est plutôt courant hélàs, car le maître mot est : maintenir coute que coute la paix sociale !

Les fauteurs de trouble ont bien compris (sont pas sots non plus) qu’en jouant la carte de la victimisation que leur ont tendu paradoxalement nos politiques en tentant de nous maintenir dans un repentir permanent malsain (le colonialisme, l’esclavagisme etc...) tout ou presque leur est permis..

Rajoutons à cela l’impuissance de nos élites à occuper tout ce petit monde (le mettre au travail), la non volonté de rappeler les perturbateurs de tous poils à leur devoirs (ce qui serait vu comme de la stigmatisation)

Le tout pour, ne soyons pas crétins, préserver l’ électorat le plus fidèle et qui tend à s’agrandir (ne pas fixer de quotas surtout...) de tout ce qui serait perçu comme une contrainte..

Ce laxisme apparemment volontaire doublé d’un mépris institutionnel pour la population autochtone vieillissante qui « n’a pas assuré le renouvellement des générations », ne peut que mener à la généralisation des situations comme celle ci ou l’injustice se révèle flagrante... et ce, dans un contexte propice à tous les débordements, tous les excès..

Le vivre ensemble passe aussi par le rapport de force, celui qui consiste à mettre des limites, à sanctionner quand cela s’avère nécessaire, à IMPOSER les règles du savoir vivre si celle ci font défaut, à respecter les us et coutumes en vigueur dans « une région, une localité, un pays »...

Faute de quoi, on s’expose à l’exclusion, au rejet, puis après on pleure de ce que l’on a soi même contribué à provoquer...

ce qui entraine de grandes campagnes contre le racisme, la xénophobie, et « l’impression du sentiment d’insécurité »

Ce qui entraine les citoyens de bonne volonté exaspérés et parfois en détresse à se regrouper comme dans mon quartier et à gérer eux même la problématique..(dans les limites de la loi bien entendu)

Ce qu’il en ressort c’est le tragique constat que nous sommes livrés à nous mêmes, abandonnés..et qu’en haut lieu, on s’en lave les mains...





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