@francesca2
La famille Le Pen a lancé une procédure contre moi pour des raisons qui vous échappent.
Ils ont profité d’une petite faille pour faire pression sur moi parce que je révèle des choses très importantes sur leurs réseaux.
Dans mon journal Facebook, qui était alors privé, j’expliquais alors à mes contacts que le père de Marion Maréchal Le Pen était un agent de la CIA (choses que la presse a tout de même révélé récemment), je leur demandais de réfléchir sur sa présence en 1989 aux côtés de la fille de JMLP et des conséquences actuelles de ce fait.
Cela me semblait des informations majeures, à la fois pour des cadres politiques et pour les personnes qui s’intéressaient à la politique et à l’analyse.
Je n’ai jamais donné le nom du père de Marion, j’ai seulement dit que Samuel ne l’était pas pour le dédouaner évidemment des accusations que je portais.
A cette époque, je révélais surtout les liens libertariens entretenus par la famille Le Pen.
Ils ont tenté de profiter de la faille juridique via l’atteinte à la vie privée et ont pour cela, fouillé la mienne et mis plusieurs personnes sur ma surveillance.
J’ai gagné le procès qu’ils m’avaient fait et je les ai fait condamner en retour.
Pour ne rien dire de ces puissants qui s’en prenaient à une femme seule qui élevait ses quatre enfants avec un maigre salaire, ils m’auraient condamnée à vie s’ils avaient gagné.
Et ils connaissent parfaitement ma situation.
Demander 23 000 euros à quelqu’un qui ne vit que des 1 000 euros mensuels de son travail (je n’ai jamais gagné un seul sou de la politique et ne l’aurait jamais voulu), c’est le condamner à plus que la misère la plus extrême avec la même peine pour mes enfants.