Une moyenne de 4/5 bien mérité au moment où j’écris pour l’article.
Quelques courbes peut être complémentaires à l’article.
La première c’est la courbe PIB/hab et satisfaction de vie, on s’aperçoit qu’à partir de 15.000$ il n’y a plus de corrélation entre les deux, que le surplus d’argent n’amène rien de plus. Le capitalisme à outrance n’est pas une nécessité.
La seconde et la troisième montrent le rapport entre l’énergie et le PIB, le pic du pétrole est passé à priori, avec plus de demandes avec les émergents, l’opulence c’est fini, l’aliment du capitalisme des dernières décennie va baisser.
Maintenant on peut voir que depuis les crises pétrolières, la baisse de consommation de pétrole arrive avant la crise, au fil du temps c’est de plus en plus flagrant. La ressource a maintenant plus d’impact que le capital.
Pour éviter des discussions sur l’élévation de la température dans le style ’’depuis 98, ça n’a pas évolué’’ 98 c’était une année El Niño, il faut raisonner avec des moyennes sur plusieurs années et ça donne ceci.
Bonne chance dans la définition du capitalisme.
Je suis assez primaire, pour moi le communisme primaire est passé au capitalisme au passage du néolithique à la protohistoire. Du commun on est passé à la propriété privée. Il y a eu quelques jacqueries qui ont essayé de remettre ce communisme primaire à la mode, il en reste des traces souvent avec le qualificatif de communal comme par exemple : jardins communaux.
L’abondance d’énergie et surtout du pétrole à permis une explosion du capitalisme, il y en a eu tellement qu’une classe moyenne est apparue. Dans les années 90 est apparue la financiarisation à outrance pour combler l’essoufflement énergétique, ce n’est plus de la transformation de ressources avec du travail, j’ai des doutes de la tenue dans le temps, actuellement l’argent échangé c’est 86 fois la valeur des biens échangés. Quand on voit la durée de détention des actions on peut avoir d’autres doutes.