@sarcastelle
L’ennemi du vol c’est le poids, le moteur et le carburant c’est beaucoup de poids, il vaut mieux avoir un bon rendement global pour éviter de la puissance perdu donc du poids pour rien.
Je suis plus hélice qui bouge et calcul aérodynamique, le stationnaire je ne connais pas trop.
Evaluer le rendement a vitesse nulle :
la notion de rendement propulsif devient
inutilisable en stationnaire car le rendement propulsif est calculé en multipliant la
poussée par la vitesse de déplacement du fluide. A vitesse nulle le
rendement propulsif est donc nul.
Pour apprécier et évaluer la qualité de l’hélice a vitesse nulle on
utilisera le Chiffre de mérite. Le chiffre de mérite permet de
caractériser une hélice au point fixe (stationnaire, vitesse amont=0) .La
littérature donne parfois des définitions différentes du chiffre de
mérite, il y à la définition donnée par J.M.Bousquet dans
« aérodynamique des hélices » édité par SUPAERO département aérodynamique
de l’ école nationale supérieur de l’aéronautique et de l’ espace :
Je répète, en vol stationnaire je n’ai pas trop de connaissances, j’ai aidé un ami à la construction d’un hélico, le choix est assez limité, en ULM 3 axes ce n’est pas le cas, on peut regarder de plus près les caractéristiques.
Les fournisseurs d’hélices en fonction de la puissance moteur et la vitesse de rotation donneront l’hélice optimale, il ne calculent pas le moteur en fonction de la vitesse, c’est là que le concepteur se plante parfois. Comme le poids c’est l’ennemi, on part dans la spirale infernal.
Si vous vous intéressez à ce sujet il y a le site inter-action qui est pas mal, ils interviennent assez souvent lors de rassemblements, c’est un plaisir de les écouter et d’échanger.
Dans les années trente-quarante ils faisait des avions plus fins que maintenant, de mémoire les allemands avaient fait un moteur diesel avec une puissance massique jamais égalée depuis.
Avec une régulation mécanique l’équivalent d’un osprey ce n’était pas dans leurs moyens.
Décollage/atterrissage osprey
Décollage/atterrissage Fieseler Storch, 50m, pour décoller et 25m pour atterrir, il ne transportait que deux soldats en plus du pilote mais coutait beaucoup, beaucoup moins cher.
Aux USA ils sont bons pour les décollages et atterrissages courts sans osprey.
Si on est bricoleur, avec 25.000$ on peut y jouer, c’est pas le prix d’un osprey..
31/10 16:06 - morice
l’autre crash qui condamne la FORMULE http://theaviationist.com/2015/10/30/agustawestland-aw6
25/05 23:29 - Mowgli
25/05 19:02 - Jean
@colere48 deuxième fois que vous produisez un portrait tout craché du faux capitaine (...)
24/05 22:56 - sls0
@sarcastelle L’ennemi du vol c’est le poids, le moteur et le carburant c’est (...)
21/05 23:31 - sls0
@ jako. Cet avion à force humaine (300-400W pas longtemps) a une hélice d’un grand (...)
21/05 20:19 - jako
merci, cela me rappelle les avions à décollage vertical type Harrier qui bouffent 80% de leur (...)
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