Engels « l’avilissement des femmes eut sa revanche dans celui des hommes et les avilit jusqu’à les faire tomber dans la pratique répugnante de la pédérastie et se déshonorer eux-mêmes en déshonorant leurs dieux par le mythe de Ganymède. »
« Les pédérastes commencent à découvrir qu’ils sont un groupe puissant dans notre Etat. Ce qui leur manque est une organisation, mais elle a l’air d’exister déjà, bien qu’elle soit cachée. Et puisqu’ils peuvent compter sur l’appui de nombreuses personnalités, dans les anciens comme dans les nouveaux partis, leur victoire semble assurée. ’Guerre aux cons, paix aux trous-du-cul’ dira-t-on dorénavant. C’est encore une chance que nous soyons personnellement trop vieux pour avoir à craindre de payer un tribut de notre corps à la victoire de ce parti. Mais la jeune génération ! Soit dit en passant, il n’y qu’en Allemagne qu’un type pareil (Ulrichs) peut se manifester, transformer la cochonnerie en théorie ». « Nous autres, pauvres amateurs de femmes, nous aurons à passer un mauvais moment. »
Encore Lénine « Je ne veux point, par ma critique, prêcher l’ascétisme. Loin de là. Le communisme doit apporter non l’ascétisme, mais la joie de vivre et le réconfort, dus également à la plénitude de l’amour. A mon sens, l’excès qu’on observe aujourd’hui dans la vie sexuelle n’apporte ni la joie de vivre ni le réconfort ; bien
au contraire, il les diminue. Or, pendant la révolution, cela ne vaut rien du tout.(...) Une âme saine dans un corps sain. Ni moine, ni don Juan, ni philistin allemand non plus comme moyen terme. »
1947 dans le PCI : « Nos jeunes filles devront s’intéresser de près aux problèmes économiques et sociaux des jeunes ouvrières et étudiantes, et à la lutte contre la corruption et la décomposition morale, ainsi que contre la presse pornographique. »