bonjour Gil
très inintéressant. mais il y a quelques fausses notes au sujet de l’aliénation.le rapport relationnel au travail que tu définis est celui du rapport dominant/dominé au fil des siècles, réorganisé par la sédentarisation humaine et la nécessaire répartition des tâches à partir de croyances et déspérances dans les différentes représentation de dominants qu’ils soient physiques ou mystiques, tels tous les grands chefs de guerres d’antan de tous ordres ou toutes les organisations théorisées par la pensée humaine qui ne se reconnaissent pas comme telles, mais imagine émaner d’un ordre naturel, alors que cet ordre n’est que ce que nous sommes capable de comprendre. De fait nous définissons ce que j’appelle les « dominants systémiques » qui représentent l’aliénation dont tu parles et que nous concourons à maintenir en continuant de réguler notre activité sociale et économique sur la base d’une organisation comptable issus historiquement de la position du dominant, de celle d’un chefs de guerres qui au fils des siècles c’est réformé en conservant le processus de capitalisation qui lui donne sa puissance hier par les armes, aujourd’hui par la comptabilisation de production au seins d’une structure d’entreprise. Et cette comptabilisation est faite pour accumuler la richesse et non la répartir. donc tant que nous ne mettrons pas en cause cette comptabilisation (soit le plan comptable) nous ne ferons que réorganiser « le capitalisme » . tu restes toujours sur une analyse productiviste du travail. ce n’est pas faux bien entendu, mais insuffisante. 28 millions de français sont actifs et nous sommes 68 millions à vivre dessus. l’activité productiviste représentait en 1850, 47% d’agriculture 25% d’industrie, aujourd’hui nous en sommes à 3,5% d’agriculture 22% d’industrie, la différence pour arriver au 100% étant les services. si l’on imagine les productions, les techniques, la population et les savoirs de 1850, nous pouvons qualifier nos résultats actuels de prouesses organisationnelles et de productivité, mais cela indique que nous avons pas besoin du travail de tout le monde. Cela est une donné que notre société n’arrive pas à intégrer, parce que nous avons volontairement supprimé la notion de travail productif et entretenu une confusion dans la notion de travail en l’assimilant à celle de consommation d’énergie pour réaliser une activité.
un médecin est un homme qui a une activité, mais ne fournit pas un travail productif, mais s’il devient le salariés d’une structure alors il devient un travailleur salariés productif pour le groupe qui l’emploi va en retirer un profit. l’analyse Marxiste du travail est indispensable pour qu’il n’y ait pas de confusion entre le travail au service d’un autre, le salariat et le même travail pour soi.
la problématique est donc bien une relation de rapport sociaux, ce que tu soulignes, sans envisager que même individuellement quand l’individu indépendant fait sa comptabilité les relation qu’il a avec les autres deviennent une CHARGE, et de ce fait nous ne sortons pas de la vision capitaliste du travail qui c’est construite au fils des siècles comme tu l’indiques et n’est pas apparut spontanément, même si le libéralisme la démocratisé en permettant aux « bourgeois » d’accéder à l’enrichissement en utilisant les relations du travail d’alors, qui étaient des relations « exploitatrices ». Ce n’est pas le libéralisme qui les a inventé, et l’industrialisation n’ été qu’un amplificateur rationaliste et aujourd’hui nous en sommes à accepter la condition salariale comme une finalité, de la même manière que les serviteurs gréco-romain pensaient qu’ils étaient nés pour cela. c’est dire la régression intellectuelle par rapport aux luttes du 19 et 20 siècle qui désiraient l’émancipation des humains et la fin de leur auto exploitation.
nous n’avons pas besoin du travail de tout le monde, l’entreprise n’a pas pour finalité de créer des emplois, mais tous les hommes pour vivre on besoin d’un revenu d’échange économique.c’est donc une autre vision de nos relations sociales qu’il nous faut avoir. Or aujourd’hui nous avons convenu que c’était l’économie qui les définissaient, seulement si elle entraient dans la définition de la comptabilisation. la négation de l’humain
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Nous-ne-pourrons-pas-survivre-a-une-societe-qui-ne-reduit-l-existence-humaine-qu-a-une-valeur-compta-7612473.html.
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html
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cordialement.
05/06 14:06 - ddacoudre
bonjour Gil très inintéressant. mais il y a quelques fausses notes au sujet de (...)
05/06 11:02 - erichon
Pour cela, il faut détruire toutes les aliénations et tous ceux qui s’approprient nos (...)
04/06 22:20 - Jean Keim
@lloreen Vous qui avez rédigé un commentaire sensible et l’auteur qui a écrit un bon (...)
04/06 16:28 - lloreen
Je suis d’ accord avec vos analyse sauf sur ce point. « Non, le travail n’est pas (...)
04/06 16:11 - César Castique
« La révolution socialiste libèrera des énergies et des trésors d’humanité. » Il y en a (...)
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