• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de ddacoudre

sur Derrière chaque fortune il y a un crime !


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ddacoudre ddacoudre 7 juin 2015 00:23

bonjour Gil

ce qui me gêne un peu c’est quand tu parles des libéraux en terme générique, en parlant de ceux qui en sont encore au libéralisme du 18 et 19 siècle. nous sommes une démocratie ou l’état c’est le pouvoir du peuple. alors je pense qu’il faut cibler ceux d’entre nous qui considèrent que les citoyens n’ont pas a intervenir dans l’organisation de leur existence en choisissant de s’organiser comme ils l’entendent. je suis socialiste et libéral et pas social démocrate qui est la forme de ceux qui veulent socialiser le capitalisme. ceux qui soutiennent l’organisation capitaliste économique pensent que les citoyens n’ont pas le droit de s’organiser en dehors de leur capacité a dominer par l’accumulation de richesse. si le libéralisme a permis aux bourgeois de commercer et s’enrichir dans le cadre de l’exploitation économique en vigueur dans ces siècles, cette possibilité c’est démocratisé et étendu, mais dans le même temps le capitalisme à continué son œuvre d’accumulation, faisant mêmes des bourgeois qui commerces des gens soumis à leur puissance, comme les salariés. Aujourd’hui mêmes les salariés sans le savoir participent à leur propre exploitation par l’utilisation de leur dépots par les banques pour faire des placements financiers qu’ils réalisent bien sur sur leur dos.
il est vrai que le libéralisme voulait s’affranchir de la puissance de la monarchie et que dans la continuité, des hommes ont pensé qu’ils pouvaient vivre dans une auto organisation issus seulement des accords entre individus, cela partait d’une idée généreuse ou les hommes seraient conciliants, or cela n’a jamais été le cas puisque l’organisation de l’économie capitaliste pousse a son exploitation.
parfois je me dis que pour que les citoyens comprennent cela au lieu de prélever des impôts et taxes il suffirai et que l’état édite une facture de ses services qu’il rends au nom du peuple, cela cloueraient le faux débat dans lequel nous sommes maintenus, puisque il n’y aurait plus de prélévement mais seulement le paiement de ce que l’on charge l’état de faire en notre nom et qu’il convient donc de régler suivant des modalités que nous fixerions comme pour les impôts et taxes.

cordialement.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès