Le végétalisme n’est pas un peuple, mais une condition de vie que certains s’imposent arbitrairement parce qu’ils en ont la possibilité dans cette société d’abondance technique et alimentaire.
Ce n’est d’ailleurs que dans ce type de civilisation que vous trouverez des végétaliens. Partout ailleurs, les hommes mangeront ce qu’ils auront à leur portée. Fruits, légumes, viandes, oeufs, laitages et poissons.
Simplement parce que ces aliments sont présent en relative faible quantité ou difficiles à se procurer. Y faire le difficile et se priver de telle ou telle source de nourriture, c’ est se condamner soi-même à mort.
Mais le plus pénible au sujet du végétalien, c’est en règle générale son prosélytisme qui fait parfois passer un chef de DAESH comme un modèle d’amour, de tolérance et de respect des autres en comparaison.
Et les « arguments » ne manquent pas. Entre la culpabilisation au sujet de « nos amies les bêtes », la comparaison douteuse qui fait d’une ferme un nouveau Treblinka et une forme certaine de négationnisme biologique visant à nier en bloc la chaîne alimentaire, la dentition humaine et son système digestif qui est fait pour TOUT manger à l’exception de l’immense majorité des végétaux ( vous viendrez me voir quand vous aurez essayé de brouter de la fétuque ou une salade de feuilles de chêne ou de châtaignier...), on a toutes les raisons de considérer le végétalien comme le pendant intégriste du végétarien.
A éviter, donc.