Merci à toutes et à tous pour vos réactions venant enrichir ce débat.
Fumer ou non, cela fait partie des libertés de chacun. Se sentir prisonnier
ou l’esclave de la cigarette n’entraverait-elle pas cette liberté de fumer ou
non ?
Les
manufacturiers manipulent le cerveau de fumeurs... Serait-ce une réalité
?
Contrairement aux idées reçues, la cigarette serait un antidépresseur ! d’où
vient l’expression : « le plaisir de s’en griller une » et cette nécessité de
fumer ressentie lorsque nous sommes sur les nerfs. La cigarette possède cet
effet d’apaisement.
— Que ressentez-vous lorsque votre paquet de cigarettes est vide ?
— Que ressentez-vous lors de la première bouffée de cette cigarette ?
Ce sont deux moments clés pour un fumeur invétéré. (En connaissance de
cause)
D’après le
professeur Robert Molimard, un spécialistes de la tabacologie en France, « la
nicotine seule ne rend pas dépendant »... il faut ajouter à la composition du
tabac une dose de sucre, afin que la la nicotine devienne un antidépresseur. Le
goût de la cigarette deviendrait alors beaucoup plus agréable pour le cerveau,
recevant un message de plaisir par le sucre ajouté, les différents additifs et
exhausteurs de goût. Le cerveau déviderait alors capricieux et accro à la clope
!
Cela
dit, lorsqu’un fumeur cesse ou tente de cesser de fumer, il devient parfois
accro aux bonbons. Ce serait peut-être une piste à suivre... ne faudrait-il pas
des patchs contenant des molécules de sucre pour satisfaire le cerveau de ceux
et celle qui veulent cesser de fumer ?