@files_walQer : À l’instant je viens de lire le compte rendu du Vatican de la visite de Putin au pape François. D’abord, il importe de rappeler que ni Lombardi, ni les journalistes n’ont assisté aux échanges entre le président Poutin et le pape François. Seuls, les deux interprètes présents seront en mesure de nous en dire quelque chose, bien que le secret professionnel ne le leur permet pas. Il est certain que le pape a été soumis à de fortes pressions de la part de Washington et qu’il apparait tendu à la réception du président Poutin. Par contre, après les 50 minutes d’échanges, c’est un pape souriant et un Poutin détendu qui ressortent de la salle des confidences. C’est à ce moment que chacun procède à l’échange des cadeaux dont ce médaillon de l’Ange de la paix qui vainc toutes les guerres. J’ai vu ce geste comme une reconnaissance d’une mission spéciale de cet homme qui aura à gérer les grands bouleversements et changements qui interpellent l’humanité entière. De façon, sans doute prophétique, la remise de ce médaillon de l’Ange de la Paix le consacre comme l’homme providentiel devant mener à terme cette marche vers la paix. Le geste ne vient pas d’un président des É.U. comme ce fut le cas de la remise, par le président Bush, de la médaille de la liberté des Amériques au pape Jean-Paul II. Il s’agit, cette fois, d’un pape qui remet ce médaillon de l’Ange de la Paix à l’homme le plus respecté dans le monde. Je pense que nous en apprendrons beaucoup plus lorsque Poutine prendra l’initiative de partager le contenu de ces échanges. Il s’est séparé du pape en lui disant que ce fut un plaisir de le rencontrer et d’ajouter, à la prochaine.