@Alex
Je réagis puisque vous me faites l’honneur d’une citation
« Wesson, qui vous traite de « sombre crétin » »
Tout en regrettant cette déclaration liminaire, je n’enlève rien à la suite de mon propos.
Cet emportement est simplement justifié par l’énervement qui est le mien lorsque je constate cette persistance imbécile à la poutinophobie, et dans laquelle Morice se vautre tel un phacochère dans son marigot. Se rends-il seulement compte que si à la place de Poutine nous avions par exemple Choïgou (un des prétendant potentiel), nous serions peut-être déjà en guerre contre la Russie. Comprends-il aussi que celui que l’occident voudrait voir prendre le pouvoir (Navalny) est un raciste et un antisémite notoire, qui ferait immédiatement éclater la fédération de Russie si il arrivait au pouvoir. ça non, il ne le comprends pas, et se contente de pisser la haine qu’on lui a apprise sans même en comprendre ni les mécanismes, ni les enjeux.
Cet unanimité dans la haine, dans les fausses évidences et dans cet argumentaire de caniveau me rappelle ce que j’ai pu lire sur la montée de l’antisémitisme dans la population à la fin du 19ème siècle et au début du 20ème, qui s’est principalement fait par la presse. Et là je dirai que aujourd’hui je ne voit pas un mais deux fers au feu dans ce domaine : l’arabophobie - déguisée en lutte contre l’islamisme radical, et la Russophobie déguisée en Poutinophobie.
Ou pour le dire en des termes plus historiques, c’est les romains qui ne désespèrent pas d’écraser tant les byzantins que les ottomans. ça réclame un peu plus de jugeote et d’analyse que les emportements d’éditocrates.