Vous mettez beaucoup de choses qui n’ont pas trop à voir ensemble dans votre mécano !
Ne serait-il pas un peu manipulateur et orienté, suggérant que nous aurions une dette culturelle par rapport à la Grèce, et que tenue de cette notion, il serait assez juste de passer l’éponge sur l’autre, d’épicier, avide, qui réclame ses sous. ( Thème évoqué pour empêcher sa sortie, mais déjà servi pour justifier son entrée : ON ne met Platon à la porte de l’europe )
On attend la même supplique des italiens, avec leur empire Romain et leur langue ancienne, non négligeable non plus. Quand à l’Irak, berceau de la population, voilà longtemps que ses habitants devraient touché des droits d’auteur, en raison de l’immense mérite de leurs ancêtres.
Je ne sais pas ce que Socrate aurait pensé de ça !
En aurait il fait une série de dialogues, en prenant Vinourakis et Merkell comme protagonistes.
Ca pourrait être marrant à mettre en épreuve du bac. Mais je crois que les sophistes auraient la part belle. Et le paradoxe de Zénon :
« On ne pourra jamais régler cette dette, car qu’elle que soit l’endroit où vous êtes de votre règlement, il vous restera toujours le solde, que vous pourrez divisez par deux, avant d’envisager à régler le reste, avec les intérêts... »
Mais les banquiers sont plus accrocs aux bonus qu’à la philosophie. Ou plutôt c’est l’économie qui est une nouvelle philosophie, à même soi disant d’expliquer la vie, et de définir ses buts.
Devant la situation Grecque on ne sait que penser. Faut il avoir une opinion sur tout, et définir en deux minutes à un pékin moyen, comment Thésée devrait se sortir de ce labyrinthe où il n’aurait jamais du mettre les pieds. ...
Quelle idée aussi d’aller vouloir traire ce minotaure Bruxellois, en mentant sur la capacité de sa laitière ?
Tout le monde en Grèce à cru un moment qu’ils suffisait de parvenir à l’euro, pour décrocher la toison d’or et s’en faire un paletot.
Erreur tragique non prévue au distributeur, et retour au principe d’Archimède ; La loi de la pesanteur est dure, mais c’est la loi.
J’aime beaucoup les mythes grecs, splendides, qui sont des clins d’œil des dieux, que l’on peut interpréter de mille façons, qui ouvrent la réflexion, au lieu de la fermer