l’infini commence là où s’arrête l’imagination de la réalité. pour votre ami, c’est 100 000 ans.
Imaginer l’imaginaire n’étant que de l’imaginaire, c’est comme penser l’infini de l’infini, c’est une aberration du cerveau humain.
L’aberration du cerveau humain, consiste à vouloir s’affranchir du principe de relation de causalité. Vous dites que le but de la VIe est de développer les moyens de communications via la complexification de la vie. Cela suppose que la Vie au plus simple était sans communication, donc, qu’elle était divisé en toutes ses parties, isolés les unes des autres. C’est remonter à l’état primitif, primordial avec que des atomes épars dans l’Univers et qui se chercheraient l’un l’autre.
Ici, pas de Dieu, ni de big bang, puisque même ce dernier suppose un état initial fusionné, donc en communication absolu ou entière. Ou alors, c’est supposer que la division fut causé par la communion. En d’autres termes, l’Un, ou Dieu, à choisi de se diviser plutôt que de rester unité.
Mais pourquoi donc ?
La seule réponse possible est le temps. Autrement dit... « prendre le temps ».
Or, vous n’avez pas remarqué que ce qui caractérise l’humain d’aujourd’hui et le fait communicationnel en est une de ses plus forte caractéristique, nous sommes dans l’instant et voulons à toute force aller toujours plus vite.... Mais pourquoi donc aller plus vite si tant est que nous avons le temps, que c’est celui ci qui nous anime...
Et oui, l’aberration de l’humanité est de vouloir aller toujours plus vite dans l’instant, mais comme disait Coluche, blanc c’est blanc, mais plus blanc que blanc, c’est quoi ? Coluche répondait « ’transparent », mais pour le temps, on dira que c’est « après » ! Une aberration totale.
Pour finir, si vous voulez une synthèse de l’histoire de la conscience humaine, lisez ces deux articles
pour changer de paradigme 1
pour changer de paradigme 2