@pyjahman
Une cellule cancéreuse meurt avec son hote !
pour la méduse, déjà, il s’agit d’auto régénération, non d’immortalité, c’est à dire que si vous la sortez de son milieu naturel elle meurt.
La mort est un principe inhérent à la vie, si on considère la vie comme consistant à donner sens à l’existant. Cela implique donc qu’il y ait bien une entité immortelle, mais que l’on ne peut pas appeler vie, je la définit comme étant le néant, qui ici n’est pas absence de toute chose, mais absence de sens de toute chose.
Le sujet lié à l’infini, l’éternité ou ici l’immortalité, cause le plus souvent des aberrations du cerveau humain. C’est à dire que l’observation ne confère l’éternité et donc l’immortalité qu’à l’Univers en entier, en dessous, c’est à dire en ses composantes, on observe que tout naît, vit et meurt, à plus ou moins long terme.
L’humain immortel pose la question de sa descendance et du sens de sa propre vie. On peut postuler qu’il finirait par se nourrir de l’observation de la vie des autres espèces mortelles. La boucle est alors bouclé.
Le Bouddha s’affranchit de la souffrance en ne mourant plus, mais la conséquence est la fin de son cycle de réincarnation. Il atteint donc l’immortalité en cessant de vivre et donc de mourir. Dès lors, il entre dans le nirvana et celui ci est atteindre la béatitude qui est la contemplation de la vie mais plus action de vie.
Difficile d’accepter cette relation de causalité ?!
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