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Commentaire de bakerstreet

sur Grèce : Le bal des faux-cul fait recette à Bruxelles !


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bakerstreet bakerstreet 26 juin 2015 12:24
Reconnaissons à Victor d’avoir mis un peu de vin dans son louzo ; il a du se pencher un peu sur le passé, sans faire table rase de ce qui dérange. Les salauds et les aveugles, quand ils ne sont pas faussement subventionnés, ne sont pas que d’un seul coté. 
http://bit.ly/1BRdTHg
L’erreur n’est pas seulement européenne : les gouvernements de Georges Papandréou jusqu’en 2011, puis d’Antonis Samaras entre 2012 et 2015, y ont largement pris part, en acceptant pratiquement telles quelles les conditions imposées, et surtout en les appliquant de manière peu soucieuse du bien public, avec pour seule préoccupation de se maintenir au pouvoir… Ce que n’ont pas compris les Européens, c’est qu’il est difficile, voire impossible, de traiter une crise économique de manière thatchérienne lorsqu’on a affaire à un État et une société gérées durant les 40 dernières années par un mélange de mauvais keynésianisme et de « mobutisme », dans des proportions qui restent à déterminer, c’est-à-dire une économie « de pillage » qui plus est financée à crédit…

C’est curieux ce militantisme de certains,refusant de voir les chiffres et les fais qui dérangent, comme s’il avaient une fois pour toutes choisi leur camp, comme s’il fallait choisir un camp...En 2012, la moitié de la dette grecque a déjà été effacé, tout de même. Et les tengiversations incessantes des gouvernements successsifs, en supprimant les dettes des fraudeurs, quand par miracles elle les trouvait, ça fait mauvais genre, et explique le raidissement des « technocrates », qui en sont maintenant à faire marcher la planche à billets, une façon d’avouer que la dette sera payé par les autres, au grand bénéfice de certains....Jusqu’à quand le tonneau des danaïdes, cette pyramide de ponzi, qui consiste à continuer à emprunter des sommes de plus en plus considérables pour rembourser les dettes les plus urgentes ?
Je souhaite que la Grèce s’en sorte, mais je ne suis pas dupe des forces en présence, de ceux qui ne veulent pas changer les règles qui s’en satisfont, et qui chargent les « méchants », coupables de leur avoir filé des tunes.

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