@bakerstreet
Désolé, Olivier Perriet, de vous avoir oublié dans la liste de la brillante équipe qui va recevoir la médaille du sauvetage. Pour votre copain bakerstreet, je n’ai pas qu’un livre et j’ai été élevé dans une culture universelle, qui impliquait la connaissance d’écrivains du monde entier. Par exemple, mes parents ont été parmi les premiers lecteurs de « pleure ô pays bien aimé », le livre de l’écrivain blanc sud africain Alan Patton (un des premiers héros de la lutte contre l’apartheid). J’ai chez moi de la littérature du monde entier (des années 50-60, quand il y avait de vrais écrivains). Sans compter mon imposante bibliothèque de mathématiques et de sciences physiques. Tout ceci est bien loin de votre étroite culture de la rue de Solférino.
J’ai parlé de Zorba, car ceci me paraissait approprié dans ce contexte. En effet, l’idéal n’est pas opposé à la réalité, même en économie, et la joie de vivre n’est pas opposée à la réalité, même en économie. C’est votre prétention socialiste de vouloir imposer une réalité sans idéal qui est une chimère.
Ceci dit, vous et votre pote Sapin qui condamnez le peuple Grec ; vous vous gardez bien de dire que la Grèce emprunte à 10 % alors que l’Allemagne emprunte à 0.4 % et la France à 0.85 %.
Puisque je n’ai lu qu’un seul livre dans ma vie, je vous conseille aussi de lire l’Espoir, d’André Malraux et aussi, sur le thème des situations désespérées et de l’espoir, « La peste », d’Albert Camus.
Merci en tout cas pour vos commentaires, car ce débat est d’une importance capitale.
Juste pour vous faire enrager, sans penser à mal, je pense que la Russie va sauver la Grèce comme elle va sauver le monde.