@Pierre JC Allard
Je ne pense pas qu’une seule personne sensée et intelligente accorde encore foi a ce que racontent les médias
Peu leur importe, puisque c’est la masse des abrutis qui fait la décision électorale, et que seule compte cette décision : quelle équipe, et avec quelles méthodes, sera chargée d"appliquer la politique des chefs de Wall Street et de Tel Aviv. La différence se verra dans quelques détails mais, sur l’essentiel, comme on le voit et comme on l’a vu, il y a une homogénéité parfaite.
La presse se moque complètement d’être crédible aux yeux des personnes sensées et intelligentes. C’est la différence avec le passé, quand par exemple un journal comme l’Immonde se devait d’être crédible. Au contraire, plus c’est gros, plus ce sont de grosses ficelles, plus c’est jouissif pour eux, car ça leur montre à quel point ils ont le pouvoir total. Ils mentent sur tout, sur la Russie, sur l’Ukraine, sur le proche Orient, sur le climat, sur la politique énergétique, sur le nucléaire (relayant sans vergogne tous les mensonges des écolos), sur le désastre de l’enseignement et de la recherche, sans aucune contrepartie. Ils veulent imposer, même en matière d’art et de culture, les goûts et les couleurs, et ça leur paraît naturel.
Les gens du peuple ne sont pas dupes, seulement ils sont fatigués. Ils savent très bien ce qui se passe, mais ils n’ont plus le courage d’aller jusqu’au bout de leurs interrogations. Trop submergés, trop déprimés. Quand je discute avec eux dans mon village, je remarque souvent qu’ils baissent la tête d’un air triste. Ils aiment bien Poutine car c’est un type qui a l’air de se battre pour son pays, mais les journaleux leur ont tant parlé des chars russes ! Ils sont comme l’amie dont parle l’auteur. Il y a quelque chose d’étrange, un mélange de mépris et de respect quasi religieux envers la presse. Les plus forts se réfugient dans l’humour.
En plus, la dure main de la Najat et de feu Steeve Jobs (ce qu’ils représentent) finit de les pousser au fond.