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Commentaire de Jean Keim

sur L'Islam sous les yeux d'Argos


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Jean Keim Jean Keim 3 juillet 2015 15:00

@philouie
Il est parfois étonnant comme dans la formulation d’une question il y a parfois la réponse.

Si nous ne savons pas où plus quoi faire, il reste la possibilité de rejeter ce qui ne va pas.
Une réponse n’est pas forcément une formule mais aussi le fait de dire « je ne sais pas », si viscéralement une question n’a pas de réponse, la question n’est plus un problème et même parfois l’esprit se libèrant du problème, une réponse alors s’invite sans pour autant prendre la forme d’un développement.
Nous sommes habitués par notre éducation et notre culture à voir la réponse comme une suite de données logiques et analysables, ça marche bien dans le domaine pratique ... Mais à des questions sur le bien, la mort, Dieu, les dieux, la psychologie, la vie après la mort, ... l’inconnu donc, la pensée n’est pas adaptée, elle ne peut produire que ce qu’elle connaît (notre savoir mémorisé). 
Et mon dieu pourquoi voudriez-vous que je me prive de lire ou d’écouter les autres, si vous comprenez une chose essentielle et si vous avez envie de la partager, vous le ferez avec des mots pensés n’est ce pas et éventuellement je vous lirais ou vous écouterais et là commence ma responsabilité, à moi de voir le vrai du faux et de ne pas vous mettre sur un piédestal.

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