@Le p’tit Charles
un autre aspect qui tempere serieusement votre position...
oubliez 2 secondes l’Europe et regardez les regions de France. est-ce que vous croyez que la région centre, le Poitou-Charente et les autres régions « pauvres » de France sont des voleurs parce que Paris, Lyon, Marseille,Bordeaux, les régions riches payent pour elles ???
Sur le fond, les Allemand si intransigeants, ... « »elle ferait quoi, leur economie« » (texte parlé) si les grecs, les portugais, les espagnols, les irlandais n’avaient pas d’argent comme le Burkina Faso pour acheter leurs bagnoles et tout le fruit de leur industrie ?
Qu’est-ce que nous ferions, a Paris, si les regions de France se mettaient a acheter ailleurs que sur des societés dont le siege social est a Paris ?en région parisienne ?
Nous sommes face a un probleme de répartition de richesse. on ne peut pas concentrer cette richesse et se plaindre ensuite que certains n’en n’aient pas, alors qu’on a tout fait pour la leur piquer....
et attention, ce qu’il se passe en Grece, parce que la Grece n’a pas de moyens de production a part la Feta et quelques bricoles.. tout le reste ayant été internationalisé comme les armateurs, ... Cela permet aux banques d’exercer un chantage inacceptable sur un pays complet.
Lorsque la France n’aura plus que des entreprises de services dont par essence l’action est non de-localisable donc non internationalisable, ces mêmes banques mais pas necessairement les notres pourront a leur tour agir sur la politique d’un pays par etranglement tel que cela se passe actuellement en Grece... alors qu’un pays ayant des industrie n’est pas contrôlable comme cela !
Vous vous êtes laissé intoxique. Que l’administration grecque ait des défauts, certes, elle a fait de gros efforts, et rien n’est suffisant pour l’instant, mais les Grecs sont des gens sérieux, autant que nous, français, qui malgré le matraquage mediatique contraire, font des efforts et sont contraints par l’Europe de ne pas appliquer ce pour quoi ils ont élus Siryza (quel deni de democratie), comme pour le souhait d’augmenter les impots des plus riches qui est fermement rejeté par Bruxelles.