@Valouchkaïa
A mon tour de commencer à comprendre où vous voulez en venir.
Plutôt que de répondre, je vous invite à lire, si vous n’en avez pas eut la curiosité, l’article suivant
Vous verrez que je n’envisage pas la disparition de la monnaie car celle ci étant une unité de compte, sa disparition implique d’entrer dans le monde de la spiritualité, de l’amour universel et donc du partage dont la condition est le détachement, celui là même enseigné par les grandes religions et philosophies orientales.
Ce n’est pas impossible,mais en attendant, je propose une solution plus proche de la réalité actuelle où il s’agit donc de passer d’une monnaie en tant qu’échange de marchandise à celle d’échange de temps de vie dédié. Ce dernier système ne durera pas éternellement, mais peut être le passage vers cette société post monnaie, après avoir pris conscience que la propriété n’étant pas ou disons plus nécessaire à la prospérité générale, alors, on peut aussi se libérer d’une monnaie, car nous n’aurions plus rien à compter dans nos échanges, mais cela signifiera que l’humanité a su évoluer vers une conscience planétaire sur laquelle chaque individu pourra s’appuyer en toute confiance.
l’Univers entier fonctionne selon les lois des relations de causalité, rien n’y échappe et c’est de croire pouvoir s’en affranchir qui conduit l’humanité vers le néant, dans le vide de sens de sa propre existence.
Une relation de causalité c’est pour prendre un exemple en rapport avec le sujet de l’article, penser pouvoir lutter contre l’explosion des dettes dû aux taux d’intérêts abusifs, quand soi même on place son argent dans le but d’en tirer le plus d’intérêt possible. C’est une aberration du cerveau humain qui oubli les bases de la logique simple. On ne peut pas lutter et s’indigner contre quelque chose que l’on applique par ailleurs. L’un interfère avec l’autre et annule son effet ou force. C’est de la simple physique !
C’est croire qu’on puisse faire une union économique fondé sur la concurrence économique ! C’est totalement contradictoire et absurde. L’union c’est la coopération, la concurrence la guerre. Autrement dit, on dit aux gens qu’on va s’unir les uns aux autres, pour mieux se faire la guerre les uns contre les autres. Personne n’aurait l’idée d’inviter des amis pour se foutre sur la gueule, sauf certains cas particuliers considérés comme pathologiques. Alors pour compenser on parle de social... Sauf que si le social compense la concurrence, cette dernière perd son intérêt, son moteur et il faut donc choisir ! Là aussi, c’est une aberration.
La solution pour résoudre cette contradiction existe et c’est l’objet des prochains articles.
Rassurez vous, j’ai mes propres contradictions et m’en défaire me coûte énormément !