[...] le travail et l’argent sont relégués au second plan derrière la charité, la culture du partage et la vie associative.
Si je rejoins votre avis sur la relégation au second plan de l’argent pour bien de nos concitoyens, je peux admettre que le travail, source des revenus de la plupart d’entre nous subit les influences de cette approche. L’argent est une nécessité pour vivre mais n’est pas un objectif dans la vie ; incidence, à mon sens, de notre émancipation par nos valeurs historiques qui sont plus d’ordre philosophiques que religieuses (même si nous pouvons douter d’une rupture franche et réelle entre notre philosophie et la religion).
Nous considérons aujourd’hui que la vraie valeur est l’épanouissement dans les loisirs, la famille, les hobbies et la participation aux associations diverses et variées (à but non lucratif).
Là nous divergeons un peu dans les exposés. Nous sommes favorables à une plus grande liberté sociologique ; chacun pense donc ce qui lui convient le mieux pour s’épanouir dans sa vie. Certes les cas que vous citez animent certains de nos concitoyens, mais il y a bien d’autres motivations dans chacune des vies.
Ceci implique naturellement la dévalorisation du travail, qui devient une « corvée nécessaire » puisqu’il nous empêche de nous tourner vers les « vraies valeurs ».
La dévalorisation du travail est-elle le résultat de l’approche humaine ou inversement, l’approche humaine n’est-elle pas le résultat de la dévalorisation du travail ? Cette question est centrale dans votre propos. Or, depuis vingt à trente ans, il est incontestable que le partage des richesses a mis la valeur du travail dans une position de faiblesse en favorisant plus les placements voir la spéculation au détriment des rapports du travail.
Je trouve votre article intéressant car il traite des premières bases à approcher pour comprendre les mécanismes sociologiques.
I will try to translate that in order to leave to Claire the leisure be able to take part in the debate. Thus we could approach our various perceptions with a woman of a male culture and men of a female culture according to the anthropological approach of Geert Hofstede (thank you LoinDelà). Claire, I hope you will understand what I mean !
[...] work and money relegated to a second objective behind charity, the culture of the division and community life.
If I join your opinion on relegation to a second objective of money for good of our fellow-citizens, I can admit that work, source of the incomes of the majority among us is subject to the influences of this approach. Money is a need to live but is not an objective of the life ; consequence, with my direction, of our emancipation by our historical values which are more order philosophical than religious (even if we can doubt an honest and real rupture between our philosophy and the religion).
We consider today that the true value is blooming in the leisure, the family, the hobbies and the participation in associations various and varied (with non lucrative goal).
There we diverge a little in the talks. We favor a greater sociological freedom ; each one thus thinks what is appropriate to him to open out best in its life. Admittedly the cases which you quote animate some of our fellow-citizens, but there are many other motivations in each life.
This naturally implies the devaluation of the work, which becomes a « drudgery necessary » since it prevents us from turning us towards the « true values ».
Is the devaluation of work the result of the human approach or conversely, the human approach is the result of the devaluation of work ? This question is central in your matter. However, since twenty to thirty years, it is undeniable that the division of the richness put the value of work in a position of weakness by supporting the placements specifically the speculation with the detriment of the reports of work.
Thus, I find your article interesting because it treats first bases to be approached to understand the sociological mechanisms.
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31/05 15:11 - SB77
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