@Ben Schott
Dans le cas de l’auteur, c’est le père qui ne veut pas de l’enfant et obligerait à l’avortement.
Mais où est la limite ?
Et si ce sont les enfants de la parturiente qui ne veulent pas d’un nouveau frère ou sœur ?
Ou son père, ou sa mère, ou l’Etat, ou le curé, ou l’imam, le rabbin, ou le pape ?
Faut-il qu’elle obtienne aussi leur bénédiction pour garder son enfant ?
Où est la limite ?
Pour l’auteur, je ne vois qu’une solution à son problème : pratiquer à l’aide d’une lame effilée une perforation sous-ombilicale. Parce que les avortements contre le gré de la mère, on n’est pas près de trouver un médecin pour accepter de les faire.
Enfin j’espère...
Déjà qu’avec son agrément, ça n’a rien de jouissif, et on ne se bouscule pas...
Une autre solution pour l’auteur est de se couper les couilles.
Au moins, il cessera de casser les nôtres.
Homme libre, d’accord. Mais pas de proposer n’importe quoi.