Bonjour,
Merci de soulever cette question fondamentale.
Par contre je suis totalement en désaccord avec votre solution.
Je pense que le refus et la possibilité légale et durable (il s’agit bien de cela) de refuser la paternité est la seule solution, bien qu’imparfaite.
Par rapport à la loi actuelle il faudrait par exemple que le test de paternité (action en recherche, ou en contestation) ne soit initiable que par le père, et sans l’accord de la mère (aujourd’hui c’est exactement le contraire) !!
Vous tombez justement dans le piège de cette égalitarisme. Non, hommes et femmes ne sont pas égaux, et encore moins face à la parentalité. Un homme ne pourra jamais se protéger à 100% d’une s*l*pe. Dans le cas qui nous intéresse, oui il y aura un enfant dans la nature, mais c’est ainsi. A la loi de ne pas aggraver les choses en le forçant en plus à l’assumer, et à financer les plans de vies de la « mère » en question.