@Aristide. En notre Féministan du 21e siècle où la femme n’a que des droits et des privilèges, et où l’homme mâle n’a que des obligations, tu as oublié le cas fréquent où la femme maîtrise tout de la reproduction, se fait faire un enfant par le plus viril et le plus incontrôlable, puis le fait élever par un pasteurisé bien obéissant. C’est ce dernier qui va payer toute sa vie pour un enfant qui n’est pas le sien.
C’était le scénario du dernier épisode de Moonlight : Enceinte jusqu’aux yeux du beau play-boy viril, « Maddy » (jouée par Sybil Shepherd) épousait un homme pasteurisé, insipide et obéissant, « parce que pour tous les jours, c’est quand même plus pratique ».
Cerise sur le gâteau : quand madame veut assassiner son époux mais sans se faire pincer, sans jamais aller en cour d’assises (par exemple parce qu’elle en assez de l’hétérosexualité), elle peut charger l’enfant adultérin d’une mission parricide, en arguant pour la déculpabiliser « De toutes façons ça n’est pas ton vrai père, alors ce ne sera même pas un vrai parricide ! ». Cela fait vingt-sept ans que ma fille aînée a accepté cette mission parricide, et elle en paie un prix psychique colossal ; avisée, elle fait partager le fardeau à son frère, et voilà le résultat, du moins tel que le gang s’en vante (mais le gang ne dit jamais la vérité, c’est un principe) : http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=253.0
http://fr.bio.medecine.narkive.com/iodhHr4V/ce-toubab-qui-se-vantait-de-tuer-a-distance.3
http://fr.sci.zetetique.narkive.com/OWgCiqLV/ce-toubab-qui-se-vantait-de-tuer-a-distance#post3
Le gang décrit mon fils comme une épave droguée, retourné dans les jupes de sa môman, et habité de pulsions meurtrières.
Jusqu’à l’âge de huit ans, quand sa mère lui a fait sauter une classe (le CE2) pour le placer en échec scolaire pour le restant de sa scolarité, mon fils était un surdoué qui faisait l’envie générale. Voilà ce que ça donne, la JUSTE dictature du Femellariat (et de la paranoïa)...