Hommelibre@
Votre article est excellent, il soulève un réel problème.
L’égalité, en mathématique est une relation symétrique et la géométrie reste souvent étrangère aux femmes... Je souhaite, très sincèrement, que le problème soit porté devant l’Assemblée Nationale.
D’un point de vue juridique, dans le cas où le géniteur n’est pas d’accord, il y a, tout simplement vice du consentement, et le vide juridique actuel est tout simplement une insulte à la condition masculine ! Ce vide juridique est intolérable de par l’engagement exorbitant de la paternité.
Personnellement, je me contenterai d’un refus solennel de paternité, avec une obligation de déclaration de grossesse au géniteur, dans un délai qui serait à définir légalement dans la forme et le temps. Ce refus officiel de paternité dégagerait le géniteur de toute responsabilité morale et financière et globalement de filiation, de par l’absence de consentement, renvoyant la mère devant sa seule responsabilité, dans le cas où elle déciderait de garder le fœtus.
Le cas aggravé de tentative de tromperie, ce qui n’est pas exceptionnel (...), devrait être assorti de sanctions pénales, comme c’est toujours le cas, quand un engagement exorbitant est extorqué.
Je pense, personnellement, que le temps du « bisounours » est terminé !