@cathy30 : « Mon dieu que c’est bête un homme ! Alors deux, vous pensez ! »
Ils sont bêtes et naïfs, les hommes ! Un homme, ça n’est même pas capable de prévoir que la femme qui l’a choisi va devenir paranoïaque, meurtrière et gouine...
Un célèbre message de Windows 95 annonce que « Next mood swing = 6 minutes ».
Version en métal émaillé :
http://www.amazon.co.uk/Metal-Sign-minutes-afraid-Humorous/dp/B00DK7GIR4
http://www.ebay.co.uk/itm/Mood-Swing-Metal-Sign-Next-Mood-Swing-in-6-Minutes-Novelty-Sign-/161476764961
En fait il faudrait plusieurs années avant d’être certain du rythme des sautes d’humeur, et du flip-flop amour-désamour chez une femme, ainsi que de son degré de dissimulation selon les âges.
Les plus sçavants piscologues négligent malheureusement l’un des plus
lourds fardeaux qui pèsent sur les épaules de ces féministes qui malgré
les meilleures mises en garde, persistent à demeurer dans
l’hétérosexualité, par exemple parce qu’elles ont provisoirement besoin
d’un reproducteur pour s’assurer d’un cheptel de petits : Comment
choisir un mâle de façon à pouvoir le mépriser, le dominer et le haïr
tout son soûl ?
Vous le choisirez le plus faible et le plus taré
possible, d’humeur la plus incompatible. Ensuite c’est au choix, si vous
voulez surtout le maltraiter et le mépriser au quotidien, prenez le
plus immature et le plus dépendant des hommes. Si vous voulez le haïr au
maximum après avoir obtenu de lui une ou plusieurs grossesses,
évidemment il sera plus jouissif de le choisir plus viril et plus
impulsif.
Ensuite, il vous faut avoir une idée du rythme de votre
bascule flip-flop : amour, désamour, amour, désamour, etc. jusqu’au
désamour final. Le cas le plus connu est : « Next mood change in six minutes ».
Pour
obtenir une grossesse d’un beau viril qui sera ensuite mis à la porte,
il vaudrait mieux choisir un rythme sur six mois. Mais êtes-vous
maîtresse du rythme de votre flip-flop ? Celui-là demeure un des choix
les plus prisés par les vraies féministes : il facilite beaucoup votre
propriété privée exclusive sur votre cheptel d’enfants, dont ensuite
vous ferez ce qu’il vous plaira.
Alors que si vous vous en tenez
sur un flip-flop de période inférieure à la journée ou à l’heure, vous
aurez du mal à changer souvent de mâle à maltraiter, il vous faudra
rester avec celui qui est assez bonne poire, assez dépendant pour ne pas
vous jeter par dessus les moulins. Sinon, les autres mâles que vous
tenterez de capturer pour les faire entrer sous votre maltraitance
s’apercevront trop vite de votre jeu et se dégageront à temps. Vous
voilà condamnée à maltraiter stable, à tenir stables les pires
situations sans issue.
Il peut être délicat de choisir le moment
où l’on déverse des torrents d’injures à la tête du mâle qui fait un dur
chantier chez vous. Si vous êtes trop impulsive, vous déclenchez ça
trop tôt, et il rentre immédiatement chez lui en vous laissant sur les
bras le chantier inachevé, que vous êtes bien embarrassée pour terminer.
Il vaut mieux attendre le moment où il n’a plus guère que ses outils à
nettoyer. Comme ça vous jouissez immédiatement de tout le résultat des
travaux. De la ruse, que diable ! De la ruse, à la guerre ! Savoir
paraître faible quand la force extraordinaire s’approche insoupçonnée,
voilà l’art de la guerre qui nous a été enseigné voici déjà vingt-trois
siècles. Et comme l’enseignait le maître d’armes à monsieur Jourdain : « Tout l’art des armes en famille consiste à infliger le maximum de coups à son proche, sans s’en ramasser aucun en retour. »
Quand vous êtes féministe, il vous est interdit de former un « nous » de couple hétérosexuel, car l’hétérosexualité est contre nature. Vos seuls « nous »
ne sont formés qu’avec votre maman, et vos copines féministes. C’est à
elles que vous rendez compte de toutes les avanies que vous faites subir
à votre « mec ». Le jeu consiste à s’épater l’une l’autre en
racontant le pire qu’on lui aura fait subir. Sinon, elles vous
traiteront d’hétéro...