@sls0
Nouvelle Zélande, la référence de ceux qui ne sont ni pour ni contre :
« les animaux restent dehors et les agnelages et les vêlages ont lieu en plein air, sans assistance. Cela est rendu possible par les conditions climatiques, qui restent relativement clémentes à l’exception des zones en altitude, mais surtout grâce à une certaine rusticité maintenue dans la génétique ovine, avec la quête permanente d’aptitudes maternelles et à l’agnelage sans assistance. »
Mais surtout, ce qui n’est pas précisé dans cet l’article issu de la bibliothèque de référence de slsO, :
« PAS DE PRÉDATEURS CARNIVORE », normal pour un philosophe qui n’est ni pour ni contre d’oublier de citer cette constante qui permet de laisser les animaux en liberté totale, COMME NOUS LE FAISIONS AVANT. pour le reste on était au même niveau avec une brebis a l’hectare dans les terres arides et selon les régions 2 mois d’hiver en plus ou en moins !
Pour ceux qui nous reprochent les grands troupeaux, voici l’exemple d’une ferme qui gère avec un minimum de personnes et sans surveillance avec évidemment des normes moins contraignantes, plus de 20 000 agneaux et plus de 3500 bouvillons. Pour quelqu’un qui a horreur du fallacieux la comparaison avec la N.Z. est à la hauteur du personnage !