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Commentaire de César Castique

sur Le Banksterthon (introduction)


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César Castique César Castique 9 août 2015 10:31

@gabin

"
 « …e pense pourtant qu’être libre est la base du bonheur sans cette liberté comment tendre vers lui ? »

 

Je ne vois pas du tout les choses ainsi. La liberté est un leurre, nous ne choisissons même pas nos convictions et engagements politiques, ils s’imposent à nous sans qu’on sache précisément de quels recoins de notre inconscients, ils nous viennent.


Par ailleurs, je ne crois pas à la recherche délibérée du bonheur. Quand il est là, il faut en profiter tout en sachant qu’il n’a pas vocation à durer indéfiniment. Il me paraît donc beaucoup plus important et plus accessible d’aspirer à la sérénité que procure, par exemple, le sentiment du travail bien fait et du devoir accompli.

 

« D’autre part, chose étonnante, vous ne prenez qu’une entrée philosophique pour commenter notre article alors que ce n’est pas sa principale entrée et encore moins la seule. »


Si vous faites allusion à la dénonciation de la finance et de son rôle planétaire, je dois dire que je suis désormais au-delà de la saturation. Ma bibliothèque contient une douzaine d’ouvrages s’ijnscrivant dans cette ligne, le plus ancien d’entre eux – sans remonter aux démodés Alphonse Toussenel (« Les Juifs, roi de l’époque, histoire de la féodalité financière », 1847), et Edouard Drumont (« La France juive », 2 vol. 1886) – est « Les Financiers qui mènent le monde », d’Henry Coston, remonte à 1955, le moins ancien à 1989, avec « La politique, le sexe et la finance », de Yann Moncomble.


Après la lecture desquels je me suis avisé que toute cette littérature, à part soulever une stérile indignation, n’apportait rien de fructueux sur le plan du combat politique, et que la défense de la Nation était le seul combat que redoute réellement l’oligarchie, à en juger par le mal qu’elle se donne pour la détruire, de l’extérieur avec des instances supranationales, comme l’U.E., et de l’intérieur avec l’accueil toujours accru de populations allogènes et alterculturelles.


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