Le faux révolutionnaire lsga a comme de prévisible, du haut de son incompréhension fondamentale (en vérité de son ignorance) des mécanismes géopolitiques et macro-économiques, basculé dans le néoconservatisme pro-américain.
1/ Tant les Etats-Unis que la Russie sont contraint par des traités bilatéraux, qui les obligent à restreindre leurs arsenaux nucléaires respectifs. Par conséquent soutenir que les Etats-Unis désarmeraient pendant que la Russie armerait est un mensonge et une idiotie.
3/ Dire que les américians, dont l’arsenal stratégique opérationnel (non tactique) est aujourd’hui supérieur à la Russie, abandonneraient aujourd’hui l’aspect stratégique est une absurdité et un non-sens : la volonté de l’hyperpuissance d’installer des ABM aux fronières de la Russie est, comme le rappelle Cheminade (mais isga est évidemment incapable de le comprendre du haut de sa superbe médiocrité), un fait stratégique majeur puisqu’il a pour conséquence et pour objectif en réalité de neutraliser la capacité de frappe en second de la Russie, et donc de subvertir le principe même de toute dissuasion nucléaire.
Cela est vérifié également par le fait que les américains ont modifié très recemment, sous Bush fils mais confirmé par Obama, leur doctrine d’emploi de leur forces nucléaires, en acceptant dorénavant le principe d’une frappe en premier, principe qui avaient toujours été refusé par leurs prédécesseurs.
4/ Isga fustige aujourd’hui Poutine non pour les raisons qu’il avance, puisque Poutine ne fait que répondre à des provocations fomentées par l’authentique - et en réalité le seul à l’échelle mondiale - impérialisme US à ses frontières naturelles (Géorgie, Ukraine, Caucase), alors que dans le même temps il est d’un silence assourdissant lorsque ce même impérialisme s’ingère et intervient à 10000km des siennes : Irak, Syrie, Libye, Kosovo, Serbie, Somalie, Afghanistan, etc.... C’est donc par partisiannisme et tropisme pro-américian, et finalement pro-impérialiste, qu’il feint de s’offusquer des agissements d’un Poutine (ou hier d’un Chavez, qu’il fustigeait également), qui est un opposant crédible et cohérent à la volonté hégémonique de l’Empire thalassocratique.
Sur tous ces sujets, sa tartufferie est donc totale et généralisée.