Bonjour Gruni,
ravi que vous abordiez ce sujet j’avais préparé ma réponse après avoir accepté l’article.
La politique de la sécurité
routière a échoué, malgré les dispositifs
ingénieux ultra sophistiqués et fort coûteux imaginés par les
autorités, le solde est encore négatif. Malgré les lignes
blanches, les panneaux fluorescents qui aveuglent, les panneaux
contrariants tous les cinquante mètres qui distraient l’attention,
les radars raccordés au réseau électrique indispensables pour
transmettre au PC routier...malgré les personnels embarqués en
véhicules banalisés, les satellites, les multiples équipements qui
alourdissent encore les véhicules roulants...encore raté ! Et croyez vous que les autorités
envisageassent de remettre en question leur logique infaillible ? Que nenni ! Ils accusent encore
l’automobiliste et monsieur le ministre de l’intérieur, qui
d’ailleurs n’est pas très rieur, se targue dès l’annonce d’une
mauvaise statistique d’une réaction en plein milieu des vacances
pour nous annoncer un nouveau tour de vice. D’où ma question :
à quel moment les autorités vont elles finir par reconnaître
qu’ils sont sur la mauvaise route et dans le mauvais sens ? A quel moment vont ils réaliser que
big brother sécurité c’est bidon fumé ? Mais à quelle logique peuvent bien
répondre les hommes au pouvoir, si ce n’est rouler en berline tout
confort pour aller d’un bureau confortable à un autre, puis d’une
bonne table à une autre comme d’autres vont d’une femme à l’autre ?
Il s’agit là d’un désir d’entrepreneur et de financier. Ces hommes
qui du haut d’une tour en périphérie de la ville décident des lois
pour tous mais ne roulent jamais sur les départementales participent
au danger par des règles intruses. Tout ce que ces hautes autorités
entreprennent de décider, les financiers l’assurent et le financent,
jusque là c’est parfait sur le papier. Mais là où ça se
complique, c’est que tous ce que ces messieurs entreprennent, le
peuple l’entretient et le paye bien avant la fin du mois. Et tous ces
comptables en chef impriment un rythme insoutenable où chacun se
retrouve coincé entre compétitivité et compétition jusqu’à
l’heure des vacances où le gps les envoie dans les bouchons
énervants sous la canicule dans les rocades menant au supermarchés...
Un peu d’auto critique en haut lieu ne ferait pas de mal.