Tous cela contient du vrai. Socialismes nationalistes, internationalistes. Des idées, des programmes proches. Mélange des élites, des cadres, des adhérents et ce ne sont que les apparences. Ils y a aussi la perméabilité, des électorats, des catégories sociales qui soutiennent..
C’est une approche marxiste qui mieux que tout autre, et au delà des épiphénomènes comme un soutien d’un industriel, ou le virage d’un dieudo du trotskisme a autre chose, montre qu’on a bien affaire aux mêmes forces, aux mêmes courants, aux mêmes gens et aux mêmes risques. la classe moyenne plus ou moins lettrée et stressée, au besoin de prenant pour les classes populaires ou se proclamant telle, est bien la base sociale unique qui produit tous ces mouvements totalitaires
On sait même aujourd’hui quelle est la seule différence réelle entre les deux. Ces gens, quand ils sont pessimistes, donnes des fascismes, et des bolchevismes quand ils sont optimistes.
C’est pourquoi aujourd’hui, et malgré ses cotes parfaitement groupusculaires - a cause d’eux-c’est l’extrême gauche qui représente le plus grand danger fasciste en France.
Les démocrates doivent donc être vigilants. Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas. Aujourd’hui, le FN constitue incontestablement un pare feux contre les risques fascisant des extrêmes gauche, en ramenant une partie de leur électorat dans le champ démocratique