CONTROVERSES SUR LA THÉORIE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE
7 Novembre 2014 : Climat : Où en est-on ? Y a-t-il des raisons de s’inquiéter ?
(extrait de la conclusion)
« Tant que les modélisations informatiques n’auront pas résolu leurs (graves) problèmes de divergence avec les observations, il est, sans doute, pour le moins prématuré d’anticiper l’avenir de la planète dans l’état actuel de nos connaissances et de mettre en place des mesures contraignantes qui peuvent s’avérer lourdes de conséquences.
Ainsi, dans l’état actuel des choses, nous ne voyons rien, ni dans les observations objectives ni dans les modèles manifestement pris en défaut qui puisse affecter le bien-être futur de nos enfants et de nos petits enfants (fréquemment invoqué dans les médias et jusques et y compris dans les déclarations politiques les plus officielles) qui, sans doute, dans quelques années, s’ils n’ont pas eux-mêmes sombré dans le pessimisme généralisé, s’interrogeront (ou s’amuseront), au sujet de l’étrange psychose collective qui s’est emparée d’une proportion notable des dirigeants et des communicants de notre planète en ce début du XXIe siècle. »
Time will tell.
Stay Tuned !
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Août 2015 : Analyse statistique de la divergence entre les modèles numériques et les observations.
D’autre part, on constate que la ’« sensibilité climatique » au CO2, évaluée dans les publications successives, s’amenuise, année après année, ceci en contradiction flagrante avec l’alarmisme actuel.
...Ce qui ne semble guère préoccuper les médias qui poursuivent leur intense campagne d’« information », comme nous le verrons plus bas.
Comme le savent les lecteurs(trices) de ce site, la quasi-totalité des mesures envisagées par les politiques en matière de climat et notamment celles qui seront discutées lors de la prochaine conférence COP21 à Paris, reposent fondamentalement sur les prédictions des modèles numériques du climat. S’il est exact que la prévision reste l’un des objectifs fondamentaux de la science, encore faut-il s’assurer que ces prévisions sont robustes et fiables avant de prendre des décisions lourdes de conséquences. Ce billet, tout comme nombre de ceux qui le précèdent et qui figurent ci-dessous, montre qu’il est légitime d’avoir quelques sérieux doutes à ce sujet.
Dans le prolongement direct des déclarations (en forme d’avertissements) présentés indépendamment par John Christy et Judith Curry devant les élus des USA que j’ai rapportées dans les billets précédents et qui attiraient, une fois encore, l’attention des décideurs sur la divergence croissante qui existe entre les résultats des modèles numériques du climat et les observations, nous allons rapporter ici une analyse statistique de la robustesse de cette divergence. Cette analyse démontre, entre autres, que la divergence entre les modèles et les observations est une fonction croissante du temps qui passe, qu’elle est tout à fait significative du point de vue statistique et qu’elle en est arrivée au point de remettre sérieusement en question les fondements mêmes des modélisations climatiques sur lesquelles repose l’intense activité politique (et médiatique) que nous connaissons actuellement.
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