J’aurais aimé enfin voir des propos concrets, constructifs,...
Je suis resté là :
Monsieur le Président de la
République,
L’esprit de serre du CO2, ça n’existe
pas.
Si la planète chauffe, c’est à cause
de la chaleur. La France se « réchauffe » deux fois plus que
le reste de la planète, et c’est bien la faute du nucléaire car 60
% de l’énergie primaire est directement issue du nucléaire.
Mettez 1 litre de pétrole dans un
poêle et vous produirez 10 kWh de chauffage dans votre salon ;
avec le nucléaire, pour avoir 10 kWh dans votre salon, il faut en
produire 40, soit 4 fois plus de chaleur à disperser dans la
nature !
1 litre de pétrole ( 10 kWh) = 40 kWh
de nucléaire
Du temps où l’on avait des idées, on
avait déjà fait le bilan des actions à prendre.
Qu’attendez vous pour interdire les
radiateurs électriques, les cumulus, mais aussi les chaudières au
profit de pompes à chaleurs entraînées par des groupes
électrogènes à récupération de chaleur, tout cela pour chauffer
deux logements mitoyens sans ligne à haute tension ni centrales
nucléaire et pour une consommation à peine supérieure à celle de
la chaudière remplacée par le groupe à énergie totale !
Il faudrait aussi « interdire »
les avions qui déposent des résidus carbonés faisant fondre la
neige et la banquise.
Mais il est aussi vrai que le chauffage
concerne les pays froids et que le réchauffement climatique va
réduire les besoins (+2°C=-20% de chauffage).
Dans le cadre du développement durable
de la planète, vous pourriez commencer par taxer les importations
massives de chine (sans retour, transformant nos régions en une
véritable poubelle- et sans connaître l’incidence réelle de ce
« déménagement » sur la rotation de la planète, son
inclinaison,....)
On pourrait aussi réduire ce
déménagement en réduisant la consommation en biens « jetables »
en réparant, en reconditionnant ou en améliorant sans cesse nos
biens. Pour cela, il faudrait établir des normes de réparabilité
conduisant à une standardisation des composants de nos produits,
pouvant conduire à une plus grande diversification des produits par
réduction du coût de développement.
En espérant un monde meilleur pour nos
enfants...
Je vous prie d’agréer, Monsieur le
président de la République, l’expression de ma haute considération.