@soi même
Bonjour
Il reste toujours à l’argent le pouvoir d’acheter (les biens ou les personnes).
Le pouvoir de l’argent reflète seulement le pouvoir de la possession, celui qui nous enferme aussi dans nos opinions et notre vision du monde. Cela s’inscrit dans notre corps en terme de tensions physiques qui sont les points de repères de notre personnalité auxquels nous sommes très attachés. Voir cela et s’en désidentifier réclame un grand travail de présence avec un pré-requis : il faut d’abord comprendre que c’est la priorité des priorités, ce que peu entrevoient, car le chaos global que ces mécanismes ont généré, fait percevoir d’autres urgences totalement extérieures à l’individu qui semblent bien plus prioritaires.
Se reconnecter avec « soi-même » dans le présent est une priorité. C’est au delà des idées et des préjugés. Car ce qui est important ce n’est pas l’idée véhiculée par l’acte, sinon on peut justifier même le meurtre. C’est si l’acte permet à l’esprit d’humanité de grandir ou pas. Et le seul point de repère est à l’intérieur. Si je suis obligé de me justifier par des idées c’est sûrement pas la bonne direction. Si j’avance vers la simplicité et l’intégration de toutes choses, il y a des chances (peut-être...) que j’avance dans la bonne direction.
L’argent, et surtout le rapport à l’argent n’est qu’un symptôme de l’état général de l’humanité.
Au fait t’as pas cent balles ? 
Bonne route !