@njama
Vous prenez en exemple un article d’un journal de propagande, ce n’est pas sérieux...
L’article 51 invoqué pour faire quoi que ce soit en Syrie est illégal car lisez qu’un seul extrait de ce qu’est cet article... (il est développé, précisé et il y a encore d’autres précisions qui ont déjà été fait à l’ONU... La France avec droit de véto le sait !)
Le principal problème qui se pose est que l’article 51 ne définit pas
l’expression « agression armée ». Lors de la conférence de San
Francisco, les Etats ont renoncé à en donner une définition, tout comme à
en dresser une liste. En 1974, l’Assemblée générale des Nations Unies a
adopté la résolution 3314 aux termes de laquelle l’agression est
définie comme « l’emploi de la force armée par un Etat contre la
souveraineté, l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique d’un
autre Etat, ou de toute autre manière incompatible avec la Charte des
Nations Unies ».
De son côté, la CIJ exige que l’attaque soit attribuable à l’Etat
contre le territoire duquel est dirigée l’action en légitime défense.
Partant, au regard de ces différents éléments, il apparaît que l’acte
d’agression, qui conditionne le recours à la légitime défense
individuelle ou collective, est forcément le fait d’un Etat.
Une bande de terroristes peu se nommer comme ils veulent mais aucun État du monde n’a reconnu l’EI comme étant un État...