@ddacoudre
 Cher Monsieur Ddacoudre, votre commentaire est surprenant ! Et il me donne envie de vous répondre.

1- « citoyenneté méritée » : chez nous en France ce n’est pas le cas, mais ailleurs... Aux E.U. on attend des nouveaux citoyens qu’ils adoptent grosso modo la mentalité US ; et d’après ce que j’ai vu à la télé et lu ds certains journaux, les « récipiendaires » sont vachement contents. Je ne sais ps ce qu’il en est des pays où règne la religion-d’amour-et-de-paix, mais je suppose qu’on n’ y obtient pas la nationalité aussi facilement qu’en France où elle est octroyée automatiquement sans aucune condition.

2- « des citoyens à virer » : ça ce serait pas mal si c’était possible ; c’est ce que j’ai pensé plus d’une fois. Mais il faut faire avec ce/ceux qu’on a. Mais pourquoi pas une déchéance de nationalité ?

3- « liberté de changer de nationalité » : d’accord ! mais on renonce alors à certains avantages liés à cette qualité. On est libre mais on est aussi responsable de ses choix ; OK ?

4- « pas de liberté méritocratique » : je ne comprends pas votre intention avec cette association de mots. Est-ce-que ça signifie qu’on est fondamentalement libre ( de toute entrave ou juste juridiquement ?) sans avoir à mériter cette commodité ? ou est-ce-que ça veut dire qu’on accède , ou qu’on ne doit pas accéder, à la liberté par une évolution juridique de son état ?
Des sages enseignent que la liberté se mérite, que l’ignorance entrave la liberté de pensée et par extension de choix et de mode de vie. Ont-ils tort ?
Un état légal et légitime a-t-il tort d’accorder des droits, donc des libertés, à ses ressortissants citoyens ? ( Sujet de Bac ?)

5- « des individus naturellement xénophobes » : sans doute. Comme des pervers et des voleurs et des « bons comme le pain », etc...Et aussi des xénophiles.
Il conviendrait de s’entendre sur ces mots suffixés en -phobe ; depuis que les ayatollas les ont utilisés à des fins de propagande pro-islam ils pourrissent notre lexique quotidien.

Je ne peux pas parler en votre nom, mais pour moi c’est simple : je ne suis pas islamophobe : je pends le mots phobie ds son acception première ( crainte irraisonnée) ; en revanche je suis islam-hostile, ce qui ne m’empêche nullement d’avoir un pote qui s’appelle Mouloud.

Je crois comprendre ce que vous insinuez ; votre xénophilie consiste à accorder toute confiance ( et, dans le cadre du sujet de cet article, accueil, sécurité, nourriture, logis, travail, garanties d’avenir, libertéS,...) par sympathie, compassion, humanisme, bonté d’âme, générosité, altruisme... C’est un idéal ! Contrecarré par la réalité de l’humanité.
Et parfois par la réalité de faits sanglants.

Que le Tout-Puissant etc...