Commentaire de soi même sur Alain Soral démasqué : la fin d'un mythe ?

soi même 23 septembre 2015 16:27

Chair fraîche Poème sans rîmes pour réalité dissonante De la poésie glacée sur les abattoirs

De lentes volutes montent dans la nuit noire, tandis que du ciel sans lune descendent des flocons de glace.

L’être nu tremble dans sa peau, glacé par les bruits et les cris qui l’attendent à l’autre bout du couloir.

La lame luisante jette ses éclairs tranchants sur les murs et les yeux livides de peur.

Le corps terrassé par la machine humaine avide s’affaisse sur lui-même dans les mâchoires d’acier.

La bête se vide de son sang précieux tandis qu’une main gantée accroche son corps devenu viande à une vaste chaîne.

Son dernier souffle chaud monte dans la salle blanche et rouge, tandis qu’une neige froide la couvre d’un linceul de silence.

Les instruments coupants transforment alors sa délicate chair fraîche en tranches congelées, propres et prêtes à consommer..

Il a fait son boulot, c’est un intrus qui ment... !

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30/09 02:54 - johnsmith.jr

@Fifi Brind_acier parano d’autorisation spéciale de quoi ? gnnn... ? Désolé, je ne (...)
29/09 20:19 - confiture

@Fabien de Berchères-en-Beauce oui hein dingue ! apparement vous n’avez ni lu ni répondu (...)
28/09 17:26 - Fabien de Berchères-en-Beauce

Purée, je n’aurais pas crû que cet article ferait un tel carton ! Il en a des disciples (...)
28/09 17:24 - Fabien de Berchères-en-Beauce

@macha Le idées de Soral, Droite des valeurs = liberté d’insulter un père qui vient de (...)
28/09 10:57 - lermontov

Un oeil exercé remarque tout de suite ceci : Soral n’a pas de pensée politique, (...)
28/09 08:38 - fborion

@Béo Ulaygues Je vous cite :« De belles salopes et de grands faux-culs ». Voilà le genre de (...)

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