bonjour Robert
j’ai apprécié ton article. j’ai essayé de comprendre comment le capitalisme s’y prenait pour toujours être présent quoi qu’il advienne même après ses crises cycliques, dont nous devons à juste titre en craindre une, bien que les moyens technologiques nous permettent de l’anticiper. malgré ce, tôt ou tard elle arrivera, car le capitalisme porte en son sein sa propre auto destruction.
parfois je prends comme image une cellule qui ne reçois rien de l’extérieur, elle péri sous ses déchets, mais le capitalisme arrive a recycler ses déchets pour gonfler encore jusqu’à l’explosion. je dis quelque fois plus grossièrement qu’il se gave jusqu’au vomissement. sauf quand cela lui arrive ce sont des bulles ou des guerres, et il n’est pas dit, comme nous l’avons connu, que derrière en sorte une nouvelle organisation économique.
La raison en est simple. toutes nos activités économiques nous les inscrivons dans un plan comptable qui est fait pour créer du capital et seulement cela au profit de ceux qui en sont les actionnaires ou les patrons. Malgré l’utopie de Bérégovoy qui voulait faire de chaque français salarié un actionnaire, ceux-ci se seraient et sont, pour ceux qui le sont, entrain de s’auto détruire, puisque leur existence de salarié représente une charge qui entrave la formation du capital, si ce dernier n’est pas emmené à s’endetter pour compenser ce qui ne lui est pas retourné et l’emprunt viendra gonfler encore le capital. Le mettre d’œuvre de tout cela est le plan comptable. alors que l’on soit idéologiquement ce que l’on veut, si l’on inscrit son activité dans un plan comptable l’on renforcera le capitalisme, jusqu’à l’aporie. http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html.
cordialement.