Quatre jours après la publication de cet « article » sur
Agoravox, je suis bien obligé de constater un total échec. A aucun moment n’est
reconnu dans les commentaires le
caractère criminogène de textes divinisés, sacralisés et dogmatisés dans le
judaïsme et le christianisme (trahissant Jésus de Nazareth). Dans le meilleur
des cas c’est seulement un aspect « dérangeant » qui leur est reconnu.
A aucun moment n’est reconnu le rôle de ces textes, constituant une
véritable théologie criminogène,
dans l’existence de la même criminalité spirituelle au sein de l’islam, lequel l’a considérablement aggravée en
la rendant valable jusqu’à sa totale domination sur le monde.
Ceci n’enlève rien à l’intérêt réel de certains commentaires, mais
ça les fait paraître bien minces à côté de ceux qui justifient la barbare criminalité
attribuée à Dieu pourvu qu’elle soit "bien
interprétée".
Le constat d’échec a été aggravé hier par l’écoute de l’émission Répliques d’Alain Finkielkraut sur
France Culture, que j’ai entendue comme une fin de non-recevoir suite à mon
article précédent.
Je ne sais si je vais définitivement cesser d’essayer de
« casser ce refus de réfléchir ». J’ai décidé plusieurs fois de le faire
mais n’ai pu m’y résoudre, convaincu que, jusqu’au dernier jour de ma vie, je
serai révolté contre ce nouveau
négationnisme qui, déplorant la grandissante criminalité islamique,
continue de pérenniser sa principale cause théologique vieille de 2500 ans.
Pour l’heure je me contenterai de déposer, une fois de plus sur
Agoravox, mes 9 propositions de décembre 2006.