Bonjour fraternité,
France2 en parlait dans son JT de hier soir.
Uber pour les taxis n’est qu« une facette de l’histoire de l’uberisation.
Quand j’ai écrit »Travailler en 2020« , j’en disais
»Le numérique a, tout de suite, intéressé les sommets de la hiérarchie. Il finira par en descendre les marches une à une.
L’Uberisation est la première manière de d’utiliser le smartphone. Du travail sur mesure et à la demande en reliant l’employeur et l’employé par une entreprise du style d’Uber pour les taxis. Le prix de la transaction ou du travail évalué par l’utilisateur particulier. L’avantage est la liberté et la souplesse.
Le désavantage est pour les États qui n’auront plus que les cacahuètes en taxes et la sécurité qui n’existe plus pour l’employé « sur mesure ».
Moi qui ai fait partie du numérique, je savais que l’on arriverait à cela tôt ou tard.
Je ne suis pas pour mais le smartphone et Internet ce n’est pas moi qui les ai inventés.
La vie active se fera en plusieurs couches, divisée en différentes voies et interprétations mélangées de connaissances scolaires réactualisées tout au long de la vie active, non plus scolaires mais enrobées d’expériences sur le terrain, aussi bien manuelles qu’intellectuelles.
La solidarité se transforme dans une solide-hilarité, quoi...
Ce qui est peut-être un plus c’est que le client de ses services évalueront le travail effectué et que celui-ci sera évalué et payé en fonction de cette évaluation.
C’est déjà mieux que ce qui cela se pratiquait avec le jobdumping des prestations qui faisait remporté un travail par le prix le plus bas.