Merci à l’auteur pour cet article, remarquablement écrit et très intéressant. Soral y est présenté tel qu’il est. Deux faces d’une même médaille qui contribuent à son lynchage en règle. Mais le plus passionnant, c’est de comprendre, quelle que soit la nature torturée du personnage, pourquoi un tel lynchage. Dans une France qui se targue d’être une démocratie, la liberté d’expression n’existe que tant qu’elle n’indispose pas la classe des menteurs et corrompus professionnels. Pourquoi censurer quand le verbe n’atteint pas grand monde.
C’est là que le bât blesse. Soral et Dieudonné, chacun avec leurs forces et leurs faiblesses, ont eu le courage de dénoncer tout haut la réalité d’une situation catastrophique. De plus, ils ont osé s’en prendre au sionisme, et cela ne passe pas. Ils ont démontré avec brio et habileté, comment les juifs sionistes et les non-juifs sionistes, ont phagocyté les commandes de ce pays en se réfugiant, en cas d’attaque, derrière l’antisémitisme et la Shoah. Et là, on a lâché les fauves. Il fallait détruire ces deux hommes gênants, menaçants et diseurs de vérités. Il suffit de voir qui s’en est pris à eux et comment. Le sionisme est aujourd’hui le maître de notre destin. Ses relais sont affûtés et bien huilés. Par conséquent, celui qui a le malheur de comprendre le cynisme et la manipulation avec lesquels le sionisme avance masqué, doit être éliminé. C’est là la limite de cette démocratie. Parler, oui, mais pour ne rien dire d’essentiel. Soral et Dieudonné ont franchi la ligne jaune, il faut donc les supprimer et les lyncher jusqu’au bout du bout. Peu nombreux sont ceux aujourd’hui qui osent les défendre pour cette parole libérée. Le terrorisme intellectuel entretenu par le sionisme est implacable. On ne touche pas aux juifs sous peine d’être décapité. Et pour cela, nous devons remercier ces deux électrons libres de la dissidence. Même si Soral fait preuve d’une psycho-rigidité. C’est son problème, pas le nôtre.